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L'europe prépare discrètement la chute vertigineuse de l'Euro
L'europe prépare discrètement la chute vertigineuse de l'Euro
Le pacte de stabilité européen est mort
Étant donné que la France et le plus gros des états Européens (Espagne, Italie, Grèce, ... ) ne pourra jamais rembourser leur dette en euro, la solution qui reste c'est de dévaluer l'euro (cela à déjà commencé avec 20% de baisse par rapport au $ ) pour que ça devienne une monnaie de singe, ce qui ferai disparaitre du même coup la dette, c'est que qui se faisait autrefois par les états déficitaires dans le temps avant l'arrivée de l'Europe et de l'Euro.
Du coup le programme du FN de revenir au franc deviens obsolète car l'euro va devenir une monnaie faible comme l'était le Franc autrefois... Les riches allemands qui sont contre mais qui sont en minorité en Europe n'auront plus qu'à vendre leurs actifs en euro et à acheter à la place de l'immobilier, de l'or, ou des actifs en livres ou en franc suisse, l'euro va bientôt avoir autant de valeur que du papier cul.
C'est la fête, déficit à gogo pour tous le monde, retour aux années 70 :yaisse2: !
Pièce jointe 212179
<<Le pacte de stabilité européen est mort
Mi-mai, la Commission européenne a annoncé qu’elle décalait au mois de juillet sa décision de déclencher (ou non) un contraignant processus de surveillance budgétaire, pouvant déboucher sur une sanction, à l’encontre de l’Espagne et du Portugal. Madrid et Lisbonne avaient pourtant largement raté leurs « cibles » de déficit public pour 2015 (5,1 % du produit intérieur brut au lieu des 4,2 % attendus dans le cas espagnol, 4,4 % au lieu des 2,7 % prévus pour le Portugal).
Une marge d’erreur de 0,1 ou 0,2 point de PIB, passe encore ; mais avec près de 1 point d’écart dans les deux cas, il était impossible de fermer les yeux. C’est pourtant ce qu’a fait la Commission européenne, prenant des libertés manifestes avec le pacte de stabilité et de croissance, et sa fameuse cible d’un déficit public au-dessous des 3 % du PIB pour les pays membres. En 2015 déjà, la France était passée à un cheveu de la sanction, grâce à un très opportun rapport interne de la Commission, qui mettait comme par hasard en doute la « non-conformité » de son budget 2014 avec le pacte…
Quand l’eurozone n’en avait pas encore vraiment fini avec la crise, Bruxelles répétait, comme Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne, que ce pacte, renforcé entre 2011 et 2013, constituait la clé de voûte de l’eurozone et qu’il était un dispositif essentiel pour assurer un minimum de convergence entre les pays partageant la monnaie unique, et, partant, pour rassurer les marchés financiers sur la pérennité de cette dernière.
des déficits publics espagnol et portugais... Source >>