Il faut arrêter de dire n'importe quoi
Qu'est ce qu'il ne faut pas raconter pour faire gober l'IA au bas peuple... Si en 2033 on travaille 4 jours par semaine pour gagner autant que 5 jours ... Vu l'inflation on sera pauvre
L'IA va bous faire travailler moins pour gagner autant!??? mort de rire.
"L'IA va nous faire gagner autant en travaillant moins"...
Mon dieu, cette affirmation débile qui ne peut peu être entendu que par une flopée de fainéant ignorants. Comprenez que l'histoire porte toute les réponse à cela. Le modèle économique actuel impose l'optimisation pour la croissance continue. La croissance continue ne pouvant se faire sur la finitude de la base de la pyramide, elle se fera au détriment des travailleurs. Comme cela a toujours été le cas. Ce modèle d'ailleurs profondément pervers qui impose de susciter la dépendance à la production pour optimiser ses performances ( qui impose de consommer par obligation des produits autrement inutile afin de garder une dynamique de croissance factice : croyez vous pouvoir vous passer de portable( téléphone et PC)) commence a montrer le sans gêne des prix sur ses produits en est la preuve.
Je ne parle pas de la dynamique ou l'on réduit la culture et l'apprentissage des enfants au strict minimum sauf pour une élite ( au passage savez vous que dans les écoles de ses élites les portables et ce qui supplante l'activité cérébrale est proscrit?, cela car plus on laisse la machine faire le travail moins on est capable de réflexion autonome, en bref on ne vaudra bientôt guerre mieux que des drones et cela semble un souhait. L'IA va bientôt faire des choix pour nous en supprimant certaines dimension humaine pourtant essentielle, qui sont probablement déjà absente du giron de certains politico-économiques élitistes qui se disent aujourd'hui intellectuels.
Pour en revenir a nos moutons, Il est hautement improbable sans changement majeur de paradigme économique et socio-culturel, que cela se produise. Dans l'histoire l’excès de liberté des un a toujours tendu vers l'oppression des autres et inversement (même si la liberté est essentiel dans le processus de vie, comme toute chose de ce type, tout abus mène a son contraire. L'IA va juste indirectement réduire drastiquement le nombre d'humain libre de notre monde. Bien sûr vous pourrez jouer sur les mots, et dire que "si t'as pas de boulot t'es libre de faire ce que tu veux....". auquel je répondrais, un sans abris et sans travail est libre en effet, libre de crever de froid et de faim mais finalement en aucun cas libre de choix et d’intégration en société.
En conclusion, comme tout discours politique, cette affirmation prends son sens en fonction du contexte égotique. Si on se positionne du point de vue du patronat, alors là, oui ça sera vrais. Mais si vous quittez se contexte vous devriez vous rendre compte qu'il y a un gros problème. Car rien que le fait que seul ce contexte parle, c'est démonstrateur du mépris qu'on certaines personne vis a vis de certaines caste de population pourtant majoritaires.
Ceux qui produise l'IA aujourd'hui seront responsable de changement majeur de demain, Tout sera dans leurs choix humains qu'ils vont faire dans la production de cette chose qui me fascine tout autant que vous. Vont-ils penser plus loin que leur porte feuille immédiat ?
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La semaine à 4 jours devient permanente pour la plupart des entreprises testeuses de la formule au Royaume-Uni
La semaine à 4 jours devient permanente pour la plupart des entreprises testeuses de la formule au Royaume-Uni
L’initiative relance le débat global sur la productivité des développeurs de logiciels
Sur les 61 organisations qui ont participé à un projet pilote de six mois au Royaume-Uni en 2022, 54 (89 %) appliquent toujours la politique en 2024, et 31 (51 %) ont rendu le changement permanent. Le tableau vient raviver l’attention sur ce mouvement mondial croissant en faveur d’une semaine de travail à 4 jours. Il relance surtout le débat global sur les avantages de l’approche sur divers axes dont celui de la productivité des développeurs de logiciels.
L’un des objectifs de l’approche est d’aider les entreprises à ne plus se contenter de mesurer le temps que les gens passent au travail, mais à se concentrer davantage sur les résultats obtenus. Ainsi, Plus de la moitié (55 %) des chefs de projet et des directeurs généraux déclarent dans le cadre de cette mise à jour que la semaine de quatre jours - au cours de laquelle le personnel travaille à 100 % de sa production en 80 % de son temps - a un impact positif sur leur organisation.
Pour 82 % de ce lot d’intervenants, il s'agit d'effets positifs sur le bien-être du personnel, pour 50 % d'une réduction de la rotation du personnel et pour 32 % d'une amélioration du recrutement. Près de la moitié (46 %) soulignent une amélioration de la productivité.
Le Royaume-Uni vient ainsi allonger la liste des pays lancée sur ladite expérience. Le gouvernement espagnol par exemple a accepté de faire passer la semaine de travail à 32 heures sur trois ans sans réduire l'indemnisation des travailleurs. Le programme pilote, similaire à celui de l'Écosse, vise à réduire le risque pour les employeurs en faisant en sorte que le gouvernement compense la différence de salaire lorsque les travailleurs passent à un horaire de quatre jours.
Le Japon est dans la même mouvance. Le pays envisage de mettre en place une semaine de travail de quatre jours. Le gouvernement japonais mène la charge. L'effort fait suite à la décision de Microsoft Japon d'essayer un programme de semaine de travail plus courte. L'objectif de la direction était de voir s'il y aurait une augmentation correspondante de la productivité et du moral lorsque les heures sont réduites. Les retours relatifs aux résultats de l'expérience font état d’une amélioration de l’équilibre psychique des travailleurs et de plus de productivité.
Le gouvernement belge a de même procédé à l'annonce d'une série de réformes qui devraient transformer la façon dont les gens travaillent. Le changement majeur est l'approbation de la semaine de travail à quatre jours. En vertu de ces dernières, les travailleurs ont le droit de demander à s’arrimer à une semaine de travail à quatre jours pour une période de six mois. Passé cette période, ils peuvent choisir de poursuivre selon la même formule ou de revenir à une semaine de cinq jours sans conséquences négatives.
Le professeur Adam Grant de Wharton School, une école de commerce américaine, fait partie des défenseurs de l’approche. Il préconise depuis longtemps une semaine de travail plus courte que le minimum de 40 heures auquel la plupart des professionnels sont encore astreints : « Je pense que nous avons de bonnes expériences qui montrent que si vous réduisez les heures de travail, les gens sont capables de concentrer leur attention plus efficacement, ils finissent par produire tout autant, souvent avec une meilleure qualité et créativité, et ils sont aussi plus fidèles aux organisations qui sont prêtes à leur donner la flexibilité nécessaire pour s'occuper de leur vie hors du travail. »
Source : Rapport
Et vous ?
:fleche: Quelle structure modulaire de la semaine correspondrait le mieux à l’entreprise de génie logiciel dans laquelle vous travaillez ou que vous dirigez ? (arrêt des activités au cinquième jour, alternance, décentralisée, etc.) ?
:fleche: En tant que professionnel de l'informatique, êtes-vous pour ou contre la semaine de quatre jours ? Dans quelle mesure ?
:fleche: Que pensez-vous du modèle mis en place par le pays dans lequel vous travaillez ?
:fleche: Quels avantages y voyez-vous ? Quels inconvénients également ? Le ratio est-il susceptible d'encourager une semaine de travail moins longue selon vous ? Pourquoi ?
:fleche: Que vous inspirent les conclusions de ce projet pilote ? Un essai à reproduire à plus grande échelle dans le même pays, voire à tester dans le vôtre ?
Voir aussi :
:fleche: La ministre du Travail Élisabeth Borne annonce la fin du télétravail systématique dès le 9 juin « il ne s'agit pas d'abandonner le télétravail ! Cette pratique reste recommandée »https://emploi.developpez.com/actu/3...e-recommandee/
:fleche: Êtes-vous pour le télétravail en permanence ou au moins pour l'approche hybride après la pandémie ? Une série d'études prédit des vagues de démissions dans les entreprises après les confinements
:fleche: Le raccourcissement de la semaine de travail réduit le tabagisme, l'obésité et améliore la santé globale, selon une étude sur la réforme française qui a réduit la semaine de travail de 39 à 35h
:fleche: Travailler plus de 55 heures par semaine serait nuisible et augmente le risque de décès, selon une étude conjointe de l'OMS et de l'OIT