Discussion :

[Gouyon]

Les développeurs sont souvent des psychopathes métalleux jeuderolistes.

Et en plus c'est des fan de héroïc fantasy et de SF avec un humour très particulier que personne ne comprend. Dès fois ils ont même plein de boutons sur la figure (sans doute une forme de mimétisme avec le clavier).

Bon allez plus sérieusement développeur c'est comme tous les métiers ça peut être ennuyeux comme ça peut être très enrichissant. Et pour ce qui est du coté asocial je connais quelques ours qui ne sont pas développeur. Par contre il y a un réseau social qui s'appelle "developpez.com" je crois et qui est très actif .

[Iridian]

Non-myth #1: Programming is boring.
C'est vrai qu'il faut vraiment aimer la programmation pour prendre plaisir à améliorer son code et ses pratiques d'un projet à l'autre, pour chercher la nouveauté par soit même dans des taches milles fois répétés. Sauf quand on a la chance de faire de la R&D.
Jusqu'a aujourd'hui (9 ans que je code "professionnellement") je ne me suis jamais ennuyé. Mais j'aime vraiment ca, contrairement à beaucoup de mes collegues d'études.


Non-myth #2: You spend most of your working life in front of a computer screen.
Vrai, mais ca ne me dérange pas. Au contraire passer trop de temps en réunion m'ennui.


Non-myth #3: You have to work long hours
Souvent vrai, mais pas pour moi. une bonne organisation dans la boite, avec ses collegues, et dans son travail personnel permet de faire ses horraires sans avoir à rougir de son travail.

Non-myth #4: Programming is asocial.
My god ! Faux, la communication règle la plupart des problèmes, le travail en équipe est indispensable ! Tout comme une bonne ambiance !

Non-myth #5: Programming is only for those who think logically.
Vrai, c'est un prérequis


Non-myth #6: Software is being outsourced
De plus en plus vrai, mais il faudra toujours des ingénieurs locaux ... j'ai fait l'experience d'une sous-traitance sur un projet assez lourd il y a quelques années. Le client à vite regreté et j'ai du reprendre le code source entamé ... une véritable horreur, aux antipodes de la qualité et de la réutilisabilité.
Beaucoup de francais n'étant pas encore réelement anglophone, la barriere de la langue joue en notre faveur pour les projet franco-francais.


Non-myth #7. Programming is a well paid profession
Faux ... je ne m'etendrais pas sur le sujet ...


J'ajoute ceux la, cités plus haut :

Non-myth #8. Les développeurs sont souvent des psychopathes métalleux jeuderolistes
Vrai pour moi et pour une bonne partie des membres du club de jdr ! Mais j'ai beaucoup de collegues psychopathes alcoolique ou psychopathes fan de R&B/rap non rolistes.
Je pense qu'un léger déséquilibre mental est primordiale pour réussir dans l'informatique.

Non-myth #9. Les développeurs sont rarement des développeuses !
Hélas vrai, les femme doivent être plus équilibrée ...

[parrot]

Asocial? Pas forcément complètement, mais cela aide probablement! Si l'on faisait une étude sur l'introversion ou l'extraversion des programmeurs, on trouverait à coup sûr que les programmeurs sont en moyenne plus introvertis que le reste de la population. D'ailleurs, j'ai entendu parler d'une boîte qui employe des gens souffrant du syndrome d'Asperger (une forme légère d'autisme).

Ceci dit, le travail en équipe amène énormément. Peut-être que moins de projets se planteraient si les programmeurs se parlaient plus! C'est probablement pour cette raison que la méthodologie Scrum prônent une entrevue quotidienne.

Pour revenir aux mythes ou non-mythes, je pense qu'il faut une certaine dose de ténacité. En particulier quand il faut trouver la raison d'une erreur!

[shenron666]

Comme le fait que « le développement est ennuyeux ». D'après lui, le métier de développeur peut l'être. Comme beaucoup d'autres métiers d'ailleurs.

il peut l'être, c'est au développeur de faire en sorte qu'il ne le devienne pas, changer de technologie, changer de boite, il y a plusieurs manières de relancer l'intérêt et c'est comme ça dans beaucoup de travails

Le deuxième non-mythe est « qu'il faut passer toutes ses journées devant l'écran de l'ordinateur ». C'est vrai, et c'est un point commun avec de plus en plus d'autres métiers (comme agent de voyage, traders, etc.).

c'est faux, on ne passe pas toutes ses journées devant un écran
il faut aussi passer du temps devant des feuilles de papier à réfléchir à l'implémentation, devant un tableau à expliquer des choses, dans des réunions pour défendre une technologie plutot qu'une autre, etc...

Autre lieu commun, incontestable pour lui, pour être développeur « il faut travailler durant de longues journées ». Là encore, notre professeur s'interroge pour savoir s'il existe de nos jours des métiers qui ne l'exigent pas.

7 à 8 heures est une longue journée pour lui ?

[quote]Plus provocateur, « développer est un métier asocial ». Mordechai Ben-Arin affirme (à l'attention des étudiants qui disent préférer aider les autres directement, plutôt que de leur développer des outils) que personne ne communique avec ses clients. Les développeurs peuvent certes parler à leurs clients comme le font les médecins, mais cette discussion reste superficielle et asymétrique dans les deux métiers.[quote]
faux et archi faux, il n'y a pas que les clients, il y a la hiérarchie, les collègues, et quand on travaille en ssii et qu'on est en régie on rencontre du monde et on noue parfois des liens, c'est loin d'être associal et certainement moins que chercheur en laboratoire par exemple (de l'idée que je m'en fait)

Enfin, l'affirmation « le développement nécessite un raisonnement logique » serait tellement vraie qu'il conseille fortement à ceux qui n'ont pas cette faculté d'embrasser une autre carrière que celle de développeur.

là dessus il a raison et... c'est logique

j'ajouterai que, pour être développeur, il faut aimer l'informatique et pas juste rester devant l'écran, il faut se tenir au courant un minimum du hardware et du software et évoluer, on ne code pas toute sa vie avec ce qu'on a appris à l'école, il faut évoluer avec les langages
et il faut aussi, souvent, une bonne capacité de concentration mais, heureusement, ça ne dure pas trop longtemps

[dissert]

[QUOTE=Iridian;5766577]Non-myth #1: Programming is boring.

Non seulement la programmation n'est pas ennuyeuse, mais maintenant que, en tant qu'indépendant, je dois m'occuper de toutes les facettes : ventes, juridique, ... je peux vous dire que la programmation est la moins ennuyeuse de toutes ces activités !!

Sur l’asociabilité de la profession, je vous encourage à rejoindre les différents User Group locaux (Java User Group, le fameux Paris Scala UG et autre NoSQL UG , Google Techno UG...).

[LilyX]

Non-myth #8. Les développeurs sont souvent des psychopathes métalleux jeuderolistes
Vrai pour moi et pour une bonne partie des membres du club de jdr ! Mais j'ai beaucoup de collegues psychopathes alcoolique ou psychopathes fan de R&B/rap non rolistes.
Je pense qu'un léger déséquilibre mental est primordiale pour réussir dans l'informatique.

Non-myth #9. Les développeurs sont rarement des développeuses !
Hélas vrai, les femme doivent être plus équilibrée ...

Voici peut-être une explication au fait que j'ai choisi ce métier...... (développeuse psychopathe métalleuse jeuderoliste fan de fantasy)

par contre, j'ai créé ma propre boîte et c'est :
- moins asocial parce qu'on deale directement avec les clients au quotidien (et plein d'autres interlocuteurs variés genre des comptables, des standardistes de l'URSSAF etc.)
- plus asocial parce qu'on travaille souvent tout seul

[amaillere]

C'est bien triste aussi mais il faut l'ajouter... on a la tête de l'emploi.
Pas très en forme : Le teint pâle, l'acné à 30 ans, l'embonpoint qui vient avec l'age
Le code vestimentaire uniformisé alors que peu de boites en ont un(si si, la chemise sous le pull).
Et puis l'air un peu gentil

Je mange le midi dans une ZC au milieu de 30000 ingénieurs... et c'est flagrant!

[Gluups]

Les développeurs sont rarement des développeuses !

N'aie pas trop de regret, va, il y en a, des développeuses, parfois fort esthétiques même, mais les quelques exemples que j'ai eu l'occasion de rencontrer sont toutes horriblement bêcheuses. Je n'ai aucun début d'explication à cela.

On s'éclate bien plus avec les utilisatrices, encore qu'il faille être prêt à assumer des périodes où cela n'est pas le cas.

Mais il s'agit là d'une dizaine de cas, cette discussion ne dépasse pas le niveau "café du commerce"

Bienvenue à l'exception qui confirmera la règle.

[Gluups]

C'est bien triste aussi mais il faut l'ajouter... on a la tête de l'emploi.
Pas très en forme : Le teint pâle, l'acné à 30 ans, l'embonpoint qui vient avec l'age
Le code vestimentaire uniformisé alors que peu de boites en ont un(si si, la chemise sous le pull).
Et puis l'air un peu gentil

Je mange le midi dans une ZC au milieu de 30000 ingénieurs... et c'est flagrant!

C'est un défi à relever.
Quand on doit passer quelques mois avec un rythme de dingue à apprendre et développer fonction sur fonction, c'est clair que ça commence à être bien plus difficile de rester boute-en-train.

On devrait s'organiser en conséquence, et ça concerne aussi le fonctionnement de l'entreprise. On ne coupe pas à des périodes de développement intense, mais ensuite il faut des périodes plus axées sur la convivialité. Logiquement, il me semble que le déploiement de l'application qu'on a développée, et la formation des utilisateurs(trices) devraient y être plus propices. Il n'est pas exclu qu'un peu de repos entre les deux soit favorable à la réussite.

[Arola78]

Bonjour,
Cela fait bien longtemps que je fais du développement, essentiellement « site central » (fortran, cobol, pacbase ) et un peu sur micro (basic,VB) et je crois qu’il n’y a pas de qualités particulières à avoir pour faire un bon développeur si ce n’est un peu de logique et de méthode.
Par contre je crois que la programmation développe une qualité précieuse : la modestie (sans rire) et la remise en question.
Je m’explique : la confrontation avec la « machine » est redoutable et sans concession, impitoyable, il n’y a pas de compromis, pas de dérivatif : vous faites 20 milliards de fois la même opération, si elle est mal codée, ça fait 20 milliards de plantages et se sera comme cela ad vitam eternam si vous ne faites rien.
Lequel d’entre nous ne s’est pas retrouvé devant un plantage « inexpliqué » disant :
- Je comprend rien … j’ai rien changé … !!!
Et après 1 journée passée à débogger le bouzin, le collègue à côté vous dit :
- Mais là , le point qui termine le « if » a disparu !
Et bah oui, c’est normal que ça marche moins bien !! Et une fois de plus c’est encore cette satanée machine qui a raison.
Bonne journée à tous et bons développements !

[Gluups]

Pour un peu synthétiser, l'intervention de cet enseignant est une réaction (comme il a été dit) à une certaine tendance à encourager les étudiants à venir à cette branche.

J'ai eu un témoignage de quelqu'un qui s'est laissé convaincre, et qui se barbait à cent sous de l'heure, car manifestement ce n'était pas son truc. Aux dernières nouvelles il envisageait de développer plutôt des jeux.

Donc, je confirme : il ne faut pas faire ce métier parce qu'il paie bien (d'autant que ce n'est plus ce que ça a été, on va voir ce que va donner le départ à la retraite des papy-boomeurs, et si on peut longtemps resté bloqué à la même paie avec une demi-douzaine d'entreprises prétendantes au téléphone -pourtant je n'ai pas été épargné par 2008/2010), il faut faire ce métier parce qu'on en a envie.

Si ce n'est pas fendard de trouver l'erreur dans un programme et de le voir exécuter ce qu'on avait prévu au début, il faut faire autre chose.

Au demeurant j'ai d'abord embrassé la carrière de l'utilisateur, et je ne le regrette pas, ça élargit l'horizon.

[Gluups]

Bonjour,
je crois qu’il n’y a pas de qualités particulières à avoir pour faire un bon développeur si ce n’est un peu de logique et de méthode.

ça dépend de ce qu'on appelle un bon développeur.
Je n'ai pas vu beaucoup d'utilisateurs pouvoir admettre qu'un bon développeur ne soit pas un bon communiquant.
Sinon le risque, c'est que le programme fasse à la perfection ce qu'avait prévu le développeur, mais que ce qu'avait prévu le développeur n'ait qu'un très lointain rapport avec ce que voulait l'utilisateur. Sauf à imaginer que le développeur ne soit pas aussi analyste.

Pour ce qui est d'être boute-en-train ça dépend d'autres facteurs, j'en ai glissé quelques mots.

[Gluups]

Après être entré sur le marché du travail (une société publique, et une privée ont été essayée dans mes expériences) et tout ce que ce papier dit est vrai pour ma part.

Fais attention à comment tu dis les choses, on dirait qu'avec deux exemples tu tires des généralités sur la profession.

En tout cas, n'être en contact qu'avec un analyste et jamais avec les utilisateurs, ce n'est pas spécialement ce qui me ferait rester longtemps.

[Gluups]

quantité de travail (les 35H, ah, ah, même pas en rêve) [...] je suis en revanche entièrement d'accord.

ou alors, dans une entreprise utilisatrice

[edit: ceci dit, pour les stats: je suis un psychopathe, métalleux entre autres choses, jeuderoliste et amateur de SF/Fantasy ;p ]

Oh, je dois bien être un peu psychopathe mais plus porté sur "l'eau de rose" (La Petite Maison dans la Prairie) que sur le hard metal, les jeux de rôle bof, la SF oui un petit peu.

Donc, finalement, l'aspect monolytique de la profession serait peut-être un mythe

[Gluups]

Perso je fais souvent du rab, mais c'est pas une question d'être super dévoué. C'est surtout parce que souvent, je suis en passe de résoudre un problème/je suis sur le finish d'une fonctionnalité/j'ai un bug qui m'a cassé les c**** la moitié de la journée, et je veux finir tant que je suis dans l'état d'esprit pour.
Je dois aussi reconnaître que je suis moins performant le matin, et que je trouve normal de compenser ça le soir.

C'est vrai que finalement, la journée de travail, c'est quelque chose qui se découpe de façon assez naturelle, une fois qu'on est arrivé au bout d'une tâche on voit la suite le lendemain.

C'est vrai aussi que l'inconvénient de nuits trop courtes, c'est que la réflexion devient moins performante, et il y a plus de cycles de test à réaliser pour la même tâche.

[Fenn_]

C'est vrai que finalement, la journée de travail, c'est quelque chose qui se découpe de façon assez naturelle, une fois qu'on est arrivé au bout d'une tâche on voit la suite le lendemain.

C'est vrai aussi que l'inconvénient de nuits trop courtes, c'est que la réflexion devient moins performante, et il y a plus de cycles de test à réaliser pour la même tâche.

Pas forcément nuit trop courtes (même en faisant du rab, je conserve suffisamment de temps pour faire des nuits honorables).
Je ne sais pas comment les autres devs fonctionnent, mais personnellement il me faut du temps pour me mettre dans "l'état d'esprit" nécessaire pour coder, sur des tâches non-triviales. Revoir les tests de la veille, re-jeter un oeil aux analyses, me remettre en tête les données du problème à traiter, etc.
Il y a également les tâches les plus rébarbatives (à mon sens), mais qui doivent tout de même être faites (paperasserie par exemple, ou code "bateau"). De fait, ce sont souvent les premières tâches que j'effectue.
Par contre, une fois concentré sur un problème, surtout s'il est complexe et urgent/bloquant (et parfois, il arrive que tout soit urgent...), mon esprit reste fixé dessus jusqu'à résolution. Si je pars sans être arrivé au bout, ça me pourrit mon sommeil ^^'
Après, ce n'est que mon cas personnel, à pondérer par le fait que je suis un jeune développeur: j'ai encore tout à prouver en entreprise, mes estimations du temps nécessaire pour effectuer une tâche ne sont pas encore au point, je peux me permettre de rester tard au boulot, n'ayant pas encore de vie de famille.

[veenie]

Pour le côté asocial, je pense que ça dépend grandement de la boîte.

Oui, mais je pense que ca dépend également du poste. Ayant toujours été dans le décisionnel chez des clients finaux de PME, les taches sont très variées puisqu'elles vont de la récolte des besoins jusqu'à la mise en production, avec derrière le support fonctionnel.
Donc pas mal de contact utilisateur, de l'analyse, du développement.
J'adore développer, mais je sais que je n'aimerai pas faire QUE cela.

Autre lieu commun, incontestable pour lui, pour être développeur « il faut travailler durant de longues journées ». Là encore, notre professeur s'interroge pour savoir s'il existe de nos jours des métiers qui ne l'exigent pas.

Je n'ai que rarement fait plus que les 8 heures quotidiennes, peut etre parceque dès l'entretien d'embauche j'ai prévenu que j'aimais mon travail, mais que j'avais une vie après.

Pour résumer, à mon niveau, aucun inconvénient à être dans l'informatique (allez, peut etre parfois certaines blagues vaseuses de ces messieurs peuvent être lourdes, mais ça va, je survis )


Une développeusE non psychopathe (enfin je pense...) non métalleuse non jeuderoliste

[Virgil Scipion]

<i>le développement nécessite un raisonnement logique</i>0
Ah bon ? Moi je réfléchis pas, je ferme les yeux et je code au hasard (c'est juste pour voir si mon patron m'espionne )

<i>il faut travailler durant de longues journées </i>
Il faut pas plus travailler qu'ailleurs, ni moins, faut juste être conscient qu'on travaille souvent sur des projets à long terme. Mais le projet est découpé de telle sorte que bien des tâches sont réglées en une seule journée.

<i>il faut passer toutes ses journées devant l'écran de l'ordinateur</i>
Pas toute la journée, juste le temps qu'on travaille.
Même si la plupart vivent leurs vies privées aussi sur un ordinateur

<i>le développement est ennuyeux </i>
Ouais, mais quand ça devient chiant, suffit de bouger, et on peut facilement se le permettre.

<i>développer est un métier asocial </i>
Pardon ? Peut être à la World Company, département "projets top-secret dans la grande tour blanche".
Pour ma part je suis toujours en relation avec ma société et avec de nombreux clients. Évidemment, si on se la joue autiste, on aura aucun contact.
Mieux encore, je parle de mon travail à des non-professionnels, simplement parce que je suis capable d'en causer sans employer de termes techniques et que je suis conscient que les gens sont bien plus intéressés par la partie métier que par la partie technique : les gens se foutent de savoir comment on fait, ils préfèrent entendre pourquoi ou pour qui on le fait.

[Traroth2]

Pas chez nous : majorité féminine, développeuses à gogo !

Et c'est quoi, ta boite ? Ils recrutent ?

[Traroth2]

Le côté asocial, ça dépend, franchement. C'est vrai que dans certaines boites, c'est pas top. Surtout si on est en SSII, en fait. Mais là où je suis en ce moment, il y a une excellente ambiance : il y a une quinzaine de personnes, et on fait des blagues toute la journée. On est même parti en Sicile tous ensemble aux frais de l'entreprise, l'année dernière...