Bonjour,
J'ai actuellement un DIF d'une trentaine d'heures. J'ai parlé à mon employeur de mon souhait de faire une formation sur un langage de programmation que j'utilise.
Je viens d'avoir sa réponse : c'est refusé. Il se trouve qu'il y a quelques temps, j'ai évoqué avec ma hiérarchie mon souhait de changer de ville. J'ai bien précisé que c'était à l'étude, à moyen terme (pas avant 1 an), et que rien n'était sûr puisqu'il fallait que je retrouve un autre travail avant, ainsi que ma femme, dans la même ville. J'ai bien insisté sur ce caractère conditionnel. Ma démarche a été appréciée car elle évite que je ne claque la porte trop subitement en laissant en plan les projets sur lesquels je travaille, notamment pour le passage de connaissances.
J'ai voulu être honnête, en disant que je ne resterais peut-être pas éternellement dans la société, et du coup, cela se retourne contre moi, puisque la justification est qu'on ne peut pas me payer une formation si je pars quelques semaines ou mois après, ce ne serait pas rentable pour la société (apparemment il n'y a pas de subvention, c'est la boite qui paye la formation).
Je voulais donc savoir si un employeur pouvait refuser la prise d'un DIF, et quelles en étaient les conditions. Je veux bien entendre le caractère financier, mais nous sommes en période de recrutement, les projets affluent, donc il ne tiendra pas très longtemps. Donc est-ce que mon possible départ, d'ici 12 ou 18 mois, peut être une excluse valable ? Que puis-je faire pour bénéficier du cumul de jours, car au final je vais donc les perdre quand je partirai ?
Merci pour vos réponses.
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