Bonjour à tous
je vous propose cet article qui est une introduction à l'utilisation des DSL dans une approche MDA.
N'hésitez pas à commenter cet article et à le noter
Bonne lecture et merci beaucoup.
Bonjour à tous
je vous propose cet article qui est une introduction à l'utilisation des DSL dans une approche MDA.
N'hésitez pas à commenter cet article et à le noter
Bonne lecture et merci beaucoup.
Bonjour !
Très intéressant et toujours d'actualité, l'article m'a été cité comme source d'information par l'IA conversationnelle de Microsoft, Bing Chat, dans une conversation sur les DSL, puisque j'ai un projet perso qui en nécessite.
Les inconvénients des DSL ne vont toutefois pas me décourager, car ils montrent bien ce que coûte, d'une part un revirement sur les choix stratégiques, et d'autre part (ce que coûte) la présomption que le revirement va résoudre le problème de l'estimation des délais qui est bâclée quand on a l'impression de "savoir faire" avec une méthodologie mieux connue qui aboutit à un sac de nœuds-nid à bugs ingérable.
Car l'attrait et la pertinence des DSL est indéniable, ce que montre très bien l'article.
J'ai une interrogation sur la génération du code, notamment car dans mon idée, ce ne peut être qu'un caneva à finir "manuellement", et là se pose le problème de la mise-à-jour une fois personnalisé manuellement.
Par exemple, pour un modèle de SGBD-R géré dans Power-AMC, une évolution de modèle entraine la génération de scripts DDL de modification des tables (bien souvent des créations de nouvelles tables qui vont remplacer les tables à modifier), complétés de scripts DML de migration des données pour garnir les tables qui évoluent.
Par rapport à la génération automatique de code, que devient cet automatisme si le DBA a fait une passe manuelle d'optimisation ou d'application de règles de mise en production ?
Donc de mon expérience, cette génération de code automatique est utopique et à ne pas prendre au pied de la lettre. Mais évidemment, peut aider.
C'est similaire à la traduction automatique de "langages naturels", l'IA aide (indéniablement), mais reste incomplète et inaboutie.
À mon avis, un traducteur automatique sans IA fait 30-40% du travail maxi, et avec IA 60-70%, mais le restant est toute la finesse qui permet de commercialiser le résultat.
Et si la spécialisation de l'IA sur un domaine spécifique (DSL) est possible, elle est encore loin d'être au point. Car une IA comme Bing Chat ne prend pas en compte un schéma XSD ou un namespace particulier dans ses réponses, d'autant que les questions posées en français sont traduites (automatiquement) en anglais avant l'élaboration de la réponse, qui se voit à son tour traduite automatiquement vers la langue naturelle de l'utilisateur.
J'obtiens d'ailleurs de meilleures réponses en précisant le namespace d'un mot-clé d'un domaine, par exemple "association UML" avec les guillemets dans le prompt, et en mélangeant des termes anglais dans ma question en français lorsque j'ai un doute sur la traduction automatique. Ce genre de retouche n'est faisable que par une personne humaine.
Des retouches par des humains restent donc indispensables, surtout lorsqu'il s'agit d'un résultat commercialisé.
J'ai vu récemment une pub de traduction qui vante un coût de 20$ pour un manuel entier, et qui donne je ne sais plus si c'est 4000$ ou 14000$ le coût de la traduction "traditionnelle", mais là, clairement, c'est a minima abusif et exagéré, car avec un tel tarif, il n'y a sûrement aucune relecture, et une traduction "brute de machine" m'écorche tout de suite les yeux !
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