comme des chenilles processsionnaires, non ?
comme des chenilles processsionnaires, non ?
Aujourd'hui, rien à voir avec l'orthographe, la typographie et tout ce genre de choses, et pourtant, quand j'ai vu ça, franchement, je me suis demandé...
Mais j'ai vu parce que j'ai ouvert parce qu'en mettant l'objet sur la tranche (un vieux desktop HP qu'on utilise à plat), il y a eu des bruits de choses se promenant à l'intérieur, donc, en toute logique, j'ai d'abord entendu.
Quoi ?
Un radiateur de chipset qui vit sa vie, qui explore son environnement, il pouvait en profiter il n'a jamais été fixé et ne tenait en place que par le scotch double-face qui le solidarisait au circuit, scotch qui sèche avec le temps...
Dans l'ovale orange en bas à gauche un cavalier soudé sur la carte-mère et où va s'accrocher la ferraille qui tient le radiateur en place, et en haut un emplacement vide.
Quand on pense que ça a passé le contrôle qualité,
Même si à première vue tu sembles avoir raison, il faut nuancer fortement
- Les refroidissements passifs (en gros, un bout de métal avec des ailettes) sont très souvent des produits externes qu'on colle sur la puce à refroidir (la colle* est sur le refroidissement). Par exemple, sur les cartes mères serveur comme celles de la marque Tyan n'ont pas systématiquement de refroidissement sur les puces (chipset, réseau, ...)
- Le système de fixation est symétrique : il appuie des 2 côtés opposés en même temps - pour que le refroidissement soit droit et qu'il appuie uniformément sur la surface à refroidir. Donc, s'il te manque un point d'attache (qui est souvent un trou dans la carte mère) bien c'est mort. De toute manière la colle* livrée avec/ sur le refroidissement colle très [très] fortement.
Édit : je veux dire comme la colle* du refroidissement est suffisante pour le faire tenir (de toute manière quasi seul le refroidissement processeur a un système de maintien parce que le ventirad a un ventilateur), le système de maintien n'est pas nécessaire. Après pourquoi laisser ce système ? Est-ce qu'on peut le retirer ? (<- sinon c'est pour cela qu'on l'a laissé) Est-ce que le constructeur a eu une réduction sur un lot ? Des refroidissements manquaient et le constructeur en a pris qui trainaient ?
*: pâte thermique collante
Yop !
Merci de ton retour.
Pas sur celui-ci : la partie active du chip doit faire 1 x 1,5 cm à la louche, et elle est montée dans un grand support carré vert foncé d'environ 4 x 4 cm.
La pâte thermique sert juste de contact entre entre le chip et le radiateur, et celui-ci est maintenu en place par un carré de scotch double-face d'une largeur d'environ 4 mm faisant tout le tour du carré vert.
Je pense que c'est la matière collante du double-face qui a séché, côté support en céramique/verre spécial/plastique haut-de-gamme/autre, je ne sais pas. En tout cas, si je le remets à sa place il est content, mais il suffit que je le tourne gauche-droite pour qu'il réponde à la sollicitation : y a pu aucune adhérence...
Trouvé avec ggl images, mot-clé "chipset" :
On notera qu'il y a deux trous de fixation, un peu comme sur mon image (où il n'y a qu'une attache )
EDIT : bingo !
J'ai eu la lumineuse idée de googler la réf de la babasse (hp dc7100) et la 1re image était la bonne :
Il manque donc bien une attache sur ma carte-mère ! Plus qu'à tout démonter et voir si avec un bout de fil de cuivre ou autre je peux m'en sortir.
Ça va prendre du temps…
Curieuse idée, au niveau de l'engineering, de mettre en place des systèmes d'attaches tenues juste par de la soudure et dont la force de travail va s'opposer à un ressort qui essaye de les arracher.
J'ai eu un coup de bol extraordinaire : la pièce métallique en U avec le petit bout de plastique noir m'attendait sagement dans un coin, sous le bloc d'alim !
Un examen attentif montrera que les soudures ont séché, alors, un bon coup de lime pour remettre les connexions à neuf et qu'elles puissent entrer dans les troutrous sans trop cramer le pcb, faire chauffer le fer, pendant ce temps extraire la carte-mère (quelle engeance ! ), mettre le cavalier en place, chauffer, souder, terminé !
Remontage, reconfiguration du setup qui avait un peu perdu les pédales, boot-boot son vieux XP et tutti va bene !
En voilà un qui revient de loin, pour un truc archi-stupide !
Quelle aventure, pour une soudure qui a sautée ... mais cela est dû aux impondérables du temps qui passe.
Cela s'appelle un "die" (<- lien wiki en français)
Ouais, le support a, à ma connaissance, 2 fonctions :
- pouvoir étendre la surface du "die" pour accueillir toutes les pattes de la puce. Pour un processeur cela peut monter à plus de 1000 pattes.
- pouvoir étendre la surface du "die" pour le refroidir. Mais dans ce cas, il y a un dissipateur thermique (une sorte de capsule, "Integrated Heat Spreader" en anglais <- lien wiki en français)
D'ailleurs , le décapsulage est l'action de retirer ce dissipateur thermique. Cela fait partie des actions extrêmes pour refroidir le processeur, avec le ponçage du dissipateur (<- pour rendre sa surface la plus lisse possible - la moins sans aspérités possible)
Deux !
Une au bout de chaque branche du "U", et, oui, les impondérables... Curieux de constater que les 2 soudures de ce "U" ont flanché, alors que l'autre "U" est nickel.
Ah oui, me souvenais plus si c'était un "i" ou un"y", d'où mon abstention (abstinence ?) ce matin.
Les trucs de grand malade des degrés en moins pour les kHz en plus,
Jamais joué à ces jeux-là (même si, sur la moto que j'avais, jeune, je me suis parfois amusé à changer les rapports sans débrayer, après l'avoir lu qqpart -- et oui, ça passe et on gagne une poignée de nanosecondes, )
On appelle ça une rectification, plus un ponçage
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rectif...%C3%A9canique)
Ca se fait à la rectifieuse.
J'ai appris à faire ça en mécanique.
Mon père qui a fait les écoles Schneider a appris à faire le même genre d'opération à la main, sans rectifieuse.
A noter que c'est plus ou moins le même type de procédé que pour les miroirs de télescope, qui doivent être parfaits
Tu peux passer les rapports sans débrayer Jipété, il faut que le régime moteur corresponde à celui du rapport.
Et une vraie soudure implique une fusion des métaux, en principe c'est plutôt un point solide qu'une faiblesse quand c'est bien fait.
À la main ? Moi je dis "respect" !
Oui, mais ça fait bizarre, et avec une impression de violer la mécanique, ce qui n'est jamais très bon pour la pignonnerie,
Oui, mais ce n'est pas moi qui ai inventé le fer à souder et le fil de soudure. Dans l'absolu je suis d'accord avec toi.
D'autant plus qu'en y repensant, je ne peux pas m'ôter de l'idée que ce ressort qui tire sur les soudures c'est complètement idiot en termes d'engineering, non ?
En général, les soudures ne doivent pas être soumises à des contraintes de ce genre, et ça se voit bien avec les blocs secteurs mal conçus où c'est par la prise secteur fixée juste avec des soudures que le machin va finir par tomber en panne.
Pareil pour le jack d'alim 18 V des portables (ou autres) : la chose devrait être tenue en place sur la carte-mère par de la visserie, et ensuite soudée. Ah oui, ça ferait une pièce deux fois plus grosse, plus de la visserie à manipuler à la fabrication, et tout ça c'est pas bon pour le bizness.
Et sinon, j'ai un énorme souci (esthétique) avec ça :
que je trouve affreux, à tel point que j'ai un moment fait sauter le "e", une soudure qui a sauté, ouf !, c'est plus sympa.
Mais la règle ?
Alor je remets le "e" et je fouille.
Chez l'Obs,
Ok.Envoyé par l'Obs
Mais dans le cas de "la soudure qui...", est-ce la même construction, la même forme grammaticale ?
Les fleurs que les enfants ont cueillies, ok
La soudure que [les enfants ont examinée] a sauté[e ?].
ou
La soudure, que les enfants ont examinée, a sauté[e ?].
Car, in fine, ce "Quelle aventure, pour une soudure qui a sautée " pourrait s'écrire "Quelle aventure, pour une soudure ayant sauté " sans rien changer au sens.
Alors ?
Au secours, les grammairiens théoriques !
PS : marrant ! À cause d'une attache-ressort dont le montage a lâché, voilà qu'on retourne au thème de la discussion, trop bien !
Ma réflexion sur les soudures était d'ordre général
Pour ton cavalier, si je ne m'abuse, la soudure est de l'autre coté du PCB. Donc si la soudure est bien faite, ce n'est plus la résistance de cette soudure qui serait en jeu, mais la résistance de la surface du PCB sur laquelle porte l'étain.
Pour le coup, pour une soudure à l'étain, il n'y a pas fusion des matériaux, juste de l'étain j'imagine. C'est plutôt un brasage. La résistance est apportée non par la surface du PCB en jeu, mais par l'adhérence entre l'étain et les pattes de ton cavalier. Si l'adhérence est plus forte que la surface du PCB en jeu, c'est la surface du PCB qui est à prendre en compte, ou l'inverse.
Tout ça peut se calculer, mais ça va rester théorique.
Oui de mon point de vue, crocheter les pattes de ton cavalier si elles étaient assez longues aurait plus de résistance, puisque dès lors la résistance en jeu, opposée à la traction du ressort, serait soit celle de la flexion inverse (les redresser) de ces mêmes pattes, soit la résistance à la rupture (au cisaillement) de ces pattes au point de flexion. C'est le principe de la clavette plus ou moins, principe antédiluvien.
Pour mon papa, oui. Tu as toujours des gens qui savent faire, même maintenant j'imagine. Ils apprenaient à faire les ajustements, à respecter les tolérances, à la main.
Oui oui oui, et maintenant, pourquoi ce cavalier et pas l'autre ?
Le hasard pur ou... quelque chose qui a fait que les soudures du cavalier se sont dégradées ?
J'ai remarqué ce matin que sans capot, le radiateur du chipset n'est pas froid, loin de là..
Et si on regarde bien cette photo en imaginant le proc en place avec son radiateur et le ventirad monté verticalement + ou - là où se trouve le levier du support de proc,
la chaleur évacuée par le ventilo va se répandre sur le premier cavalier, puis après avoir récupéré la chaleur du radiateur, va attaquer le second cavalier, aidé en cela par les turbulences générées par la présence du condo juste derrière ce cavalier.
Ça n'a pas dû arranger la soudure, ça...
Ben mon papa c'était un peu pareil, il s'était fabriqué à la mano un projecteur 9,5 double-poste : quand une bobine se termine (faut surveiller les marques en haut à droite : après la première, compter environ jusqu'à 10, voilà la seconde, on bascule), il y avait juste un bouton à manœuvrer et la projection se continuait sur la bobine suivante (en ces temps-là, un film d'une grosse heure avait besoin de 4 bobines) sans interruption !
Et pendant que les spectateurs étaient captivés, le projectionniste utilisait le poste devenu libre pour rembobiner la partie juste terminée, et préparait la suivante).
Qu'est-ce qu'on a pu s'éclater avec mes frangines, sur Charlot, Bambi, et d'autres, plein d'autres...
Ce matin j'avais commencé à rédiger ce post mais n'avais pas encore pris la tof'.
C'est chose faite, à comparer avec celle du web :
Pour plus de confort visuel, j'ai momentanément viré le câble noir-jaune qui se connecte en bas à gauche dans le "6-contacts" blanc qui n'attend que ça.
Puis j'ai pris un morceau de plastique genre barquette comme on en trouve des millions sur les plages de toutes les îles paradisiaques du monde, l'ai découpé à la bonne taille, l'ai posé contre le radiateur, un peu coincé par la moitié haute du ressort, il descend le long du radiateur jusqu'au connecteur noir et se couche sur les condos jusqu'à être collé sur la ferraille du bloc usb à droite.
Ça ne gêne absolument pas l'évacuation de l'air chaud, qui s'effectue à travers une grille en haut à droite, au niveau du bloc rose foncé (connecteur 25 points), et ça le fait !
PS : avez-vous remarqué l'asymétrie du radiateur ? Les ailettes verticales des 7 rangées du haut sont plus hautes que celles des 5 rangées du bas. Une idée du pourquoi ?
Tu es plus calé que moi sur le sujet ... et en plus cela me fait remémorer les cours du collège 6ième - 5ième
Il me semble que le terme technique c'est "proposition subordonnée relative adjective" (avec un antécédent) et donc le verbe est simplement au passé composé : pas d'accord du participe passé avec l'auxiliaire avoir.
'lut,
Ah bah nan, surtout quand je vois ça :
où cette suite de mots barbares ne me parle pas et n'évoque pour moi que de lointains souvenirs douloureux (parce qu'on aurait été mieux dehors à jouer aux billes ).
PS : là où je ne suis pas trop mauvais, c'est pour les règles de typo, exemple avec et là, c'est très simple :
on a 1er 1re et pour tout le reste (à l'exception notable de second[e], utilisé quand il n'y a pas de troisième, auquel cas 2nd 2de), c'est Xe.
Toutes les autres présentations sont erronées, quoi qu'on puisse voir, partout et même ailleurs.
second… Tiens, ça me fait penser : avec toutes ces histoires de réformes de l'orthographe, dont certaines s'appuient sur la prononciation, comment se fait-il qu'on n'ait pas hérité de segond-segonde ?
Ça aurait pourtant été logique, non ?
S'ils ne sont pas cohérents avec eux-mêmes, comment peut-on leur faire confiance ?
Bon dim'
Salut.
Cela est erroné, je me demande pourquoi cette légende est si tenace.
Un article relatant ce point..
Perso je ne considère pas ça erroné, mais plutôt élégant et d'ailleurs, extrait du site (intéressant, au demeurant), que tu donnes :L’Académie française est formelle : l’unique différence d’emploi entre « deuxième » et « second » est que « second » appartient aujourd’hui à la langue soignée.
Un peu comme "les précieuses ridicules"
En anglais, le second n'est pas secondé d'un deuxième, il me semble
Et de là à ce qu'une seconde ne puisse être suivie d'une autre qui pourrait être troisième, je trouverais ça fort tortueux
Je me rappelle de ces signes dans les vieux films, il y en avait plusieurs. J'avais vu un reportage expliquant ce à quoi ça servait. Ton papa étaitprojeteurpardon projectionniste plutôt non ? ou simplement amateur ?
À ma connaissance, il y en a 2 : le premier 10 secondes avant l'instant fatidique et le second à l'instant T où il faut basculer, pour une projection ininterrompue.
100 % amateur, mais avec sa formation de mécanicien (au sens très large) et ses compétences en électricité (on ne disait pas encore "électronique", de ce temps-là), il était capable de se fabriquer un moteur électrique à partir de boîtes de lait en poudre et de cuivre récupéré dans un vieux transfo, d'où le projecteur...
Hello,
une petite qui pique bien les yeux, ce n'est pourtant pas les émanations...
En effet, il y a toujours quelque chose à faire, déjà corriger vos messages publicitaires...
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