+ 1 !
Et dans la foulée, soit il manque un "que" soit il y a un "vous" (le premier) en trop, non ?
- pour que vous n'oubliiez rien et que vous puissiez vous...
- pour que vous n'oubliiez rien et puissiez vous...
Enfin, il me semble. En tout cas, ça "sonne" mieux, surtout la seconde ligne, àmha !
Dès le moment que je vous vis
Beauté torride vous me plûtes
De l'amour qu'en vos yeux je pris
Aussitôt vous vous aperçûtes
Ah fallait-il que je vous visse
Fallait-il que vous me plussiez
Qu'ingénuement je vous le disse
Qu'avec orgueil vous vous tussiez
À l'imparfait du subjonctif
Vous m'avez fait un drôle d'effet
Au présent de l'indicatif
Vos yeux étaient plus que parfaits
Bien heureux encore que je pusse
Vous parler et que vous pussiez
Dans le tohu-bohu des puces
M'ouïr bien que vous chinassiez
Pourtant je le pus et vous pûtes
Mais pour que vous me cédassiez
Je dus mentir et vous me crûtes
Sans que vous ne vous méfiassiez
À l'imparfait du subjonctif
Vous m'avez fait un drôle d'effet
Au présent de l'indicatif
Vos yeux étaient plus que parfaits
Fallait-il que je vous aimasse
Fallait-il que je vous voulusse
Et pour que je vous embrassasse
Fallait-il que je vous reçusse
Qu'en vain je m'opiniatrasse
Que vous me désespérassiez
Et que je vous idolâtrasse
Pour que vous m'assassinassiez
À l'imparfait du subjonctif
Vous m'avez fait un drôle d'effet
Au présent de l'indicatif
Vos cheveux aussi me plaisaient
À l'imparfait du subjonctif
Vous m'avez fait un drôle d'effet
Mais au futur interrogatif
Vous laisserez-vous conjuguer ?
Le Bescherelle, pour que vous n'oubliiez plus rien !
+1 également.
J'ai été tellement ébloui par le i manquant (je sais, c'est surréaliste) que la suite est restée dans l'ombre.
La première ligne est effectivement plus lourde à l'oreille en raison de la répétition du "que" qui n'est, à mon sens, pas nécessaire quoique tout à fait correcte, bien entendu, et elle pourrait même s'écrire correctement "[*]pour que vous n'oubliiez rien et pour que vous puissiez vous...", avec encore plus de lourdeur.
L'utilisation de l'une ou l'autre formulation est, à mon avis, plutôt une question de choix personnel. Toutefois, la répétition du "que" ou du "pour que" peut éventuellement servir à renforcer les différentes propositions.
L'absence de répétition sera plus poétique.
Enfin, c'est mon "pensement"!
Céline Dion - Pour que tu m'aimes encore
Édit: Si quelqu'un comprend ce message qu'il me mette +1
Merci ! Je l'adore, cette chanson ! (je ne sais pas si c'est la sonorité, mais j'ai un faible pour le début du deuxième couplet... Tout le monde s'en fout, mais je le dis quand même...)
Je pense que les deux options de Jipété sont correctes : dans le premier cas, la conjonction de coordination fait le lien entre les deux propositions subordonnées ; dans le deuxième cas, elle fait le lien entre les deux groupes verbaux. L'option originale me semble incorrecte du fait qu'on ne peut lier deux éléments de même nature (on lie un groupe verbal ou une subordonnée avec un groupe de mots que je ne peux pas définir mais qui n'est ni un groupe verbal, ni une proposition subordonnée).
Salut,
aujourd'hui c'est une colle, ou une question existentielle, qui n'est pas piquée des vers, vous allez voir :
Ça concerne le verbe "naviguer" qui, d'après mon dico de conjugaison, se conjugue comme "aimer".
Résultat, à l'imparfait on trouve "il naviguait" par exemple, et au participe présent "naviguant".
Et du coup on peut construire des phrases genre "le navigateur naviguait ..." ou "le personnel navigant naviguant à bord de ..." où "navigant" est un adjectif venant "du participe présent de naviguer" d'après ce site. Comment a-t-il pu perdre son "u" ?
Votre avis sur ces bizarreries visuelles ?
Le u étant là pour éviter que le g se prononce comme un j à l'infinitif, ils l'enlèvent quand il n'est pas nécessaire ?
Salut,
Ben non, justement, et c'est tout le sens de ma question : le "u" reste collé au "g" lorsqu'il s'agit du verbe, même s'il n'y en a pas besoin : il naviguait et il navigait ça se prononce pareil, mais même si la seconde forme est plus jolie (et plus rationnelle ?), mon correcteur orthographique me montre bien qu'il n'est pas content !
Et tiens, suis en train de penser qu'on a un peu le même problème avec "fabriquer" : un fabricant fabriquant des ...
Premier lien google Projet Voltaire: « fabricant » ou « fabriquant » ?
Règle (comment ne plus commettre cette erreur)
Vous pouvez remplacer ce mot par « faisant » ? C’est alors le participe présent « fabriquant », lequel est souvent précédé de « en ». Dans le cas contraire, il s’agit du nom « fabricant », qui s’écrit avec un « c » :
Il s’est blessé en fabriquant une bombe. = Il s’est blessé en faisant une bombe.
mais
Le fabricant décline toute responsabilité en cas de non-respect du mode d’emploi. ≠ Le faisant décline toute responsabilité en cas de non-respect du mode d’emploi.
Avis de l’expert – Bruno Dewaele, champion du monde d’orthographe, professeur agrégé de lettres modernes
Cela suffira-t-il à réconforter ceux qui sont enclins à buter sur la difficulté susdite ? Les deux autres mots courants qui recourent à cette syllabe finale, « pratiquant » et « trafiquant », sont infiniment moins retors : ils s’écrivent toujours de la même façon, c’est-à-dire avec « qu », qu’il s’agisse du substantif ou du participe présent… La raison en est probablement qu’à la différence de « fabricant », ils ne possèdent pas de dérivé en « -cation » (fabrication)
Je me demande aussi si le "u" de la conjugaison de naviguer n'est pas là pour différencier justement verbe et nom/ adjectif
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