Discussion :

[Papet13]

je recommence car j'ai perdu mon brouillon
Jusqu’au niveau BTS, les formations se veulent professionnalisantes ; Les savoirs acquis sont directement utilisables ; Problème : une grande partie devient plus ou moins rapidement obsolète d’où l’impérieuse nécessité d’une formation permanente.
D’autre part en entreprise on a besoin de savoir, mais aussi de savoir-faire et de savoir être. Là, les formations académiques françaises ne sont pas au top, d’où le succès des formations en alternance, des apprentissages et des reprises d’étude après quelques années en entreprise.
Les formations de type ingénieur, celles que je connais le mieux, ont pour finalité première de former l’esprit et le jugement. J’avais coutume de dire aux candidats que je recrutais,
« en école ou en université, on vous pose un problème et vous devez trouver la solution »
en entreprise on vient vous solliciter avec une emmerde. La première étape est de la transformer en problème puis de trouver une solution pas trop mauvaise dans le temps imparti
Cela explique en partie les dialogues plus ou moins difficiles entre chercheurs et ingénieurs (j'ai pais partie pendant cinq ans d'une commission nationale du CNRS)
PS : J'ai travaillé officiellemnt pendant 42 ans. Cette logivité est le résultat du fait que tout au mong de ma carrière j'ai eu le soucis de mon employa

[Papet13]

je recommence car j'ai perdu mon brouillon
Jusqu’au niveau BTS, les formations se veulent professionnalisantes ; Les savoirs acquis sont directement utilisables ; Problème : une grande partie devient plus ou moins rapidement obsolète d’où l’impérieuse nécessité d’une formation permanente.
D’autre part en entreprise on a besoin de savoirs, mais aussi de savoir-faire et de savoir être. Là, les formations académiques françaises ne sont pas au top, d’où le succès des formations en alternance, des apprentissages et des reprises d’étude après quelques années en entreprise.
Les formations de type ingénieur, celles que je connais le mieux, ont pour finalité première de former l’esprit et le jugement. J’avais coutume de dire aux candidats que je recrutais,
« en école ou en université, on vous pose un problème et vous devez trouver la solution »
En entreprise on vient vous solliciter avec une emmerde. La première étape est de la transformer en problème puis de trouver une solution pas trop mauvaise dans le temps imparti
Cela explique en partie les dialogues plus ou moins difficiles entre chercheurs et ingénieurs (ingénieur, j'ai fait partie pendant cinq ans d'une commission nationale du CNRS)
PS : J'ai travaillé officiellemnt pendant 42 ans. Cette logivité est le résultat du fait que tout au long de ma carrière j'ai eu le soucis de mon employabilité
Puis une dizaine d'année de bénévolat actif...