Au pire, quelques soient les dégâts causés par Windows, on démarre sur un DVD ou une clé USB et on refait le démarrage comme il faut. Au pire :
- On déconnecte le disque Windows.
- On reconnecte le disque Linux et on refait menu de démarrage.
Je pense que quelques soient les modifications faites dans l'EFI par Windows, un disque bootable absent lors de l'installation de Windows reste un disque bootable si on le remet à sa place et qu'on le déclare comme disque de boot dans le BIOS.
Maintenant, comme je l'ai dit, j'ai été plus radical en ayant un système Linux sur lequel tourne une Machine Virtuelle Windows. Comme ça, aucune pollution d'aucune sorte.
Partager