Envoyé par
Stéphane le calme
Les whitehat ont donc une certaine sécurité juridique à condition que l’Anssi soit contactée sans délais. Bien entendu, il ne doit pas rendre cette information publique. Et s’il venait néanmoins à faire l’objet d’une plainte ? Selon François Coupez, avocat associé du cabinet Atipic, « l’intervention de l’Anssi pourra être de nature à tempérer les ardeurs de l’entreprise [ndlr: ciblée par l’intrusion] lors d’une éventuelle plainte, et aboutir, là aussi, à une meilleure protection des whitehats ». Selon lui, l’Anssi s’organise pour « centraliser en un point de contact unique les remontées d’informations ». Il ne reste plus qu’à savoir si la nouvelle législation aura une conséquence significative sur l’amélioration de la sécurité des systèmes d’information.
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