Pour en revenir à Trump et son administration :
Donald Trump réduit drastiquement deux zones naturelles protégées en Utah
Donald Trump enregistre une victoire dans sa bataille contre l’immigrationLe président américain Donald Trump a amputé lundi le territoire de deux «monuments nationaux» de l'Utah, marquant le plus important retour en arrière en la matière en plus d'un siècle. Pour annoncer cette décision, le milliardaire a fait le déplacement à Salt Lake City, la capitale de cet État de l'ouest des États-Unis. Il a décidé d'une réduction de 85% du Bears Ears National Monument, une zone protégée de plus de 5000 kilomètres carrés créée en décembre 2016 par Barack Obama, et d'environ 45% du Grand Staircase-Escalante National Monument, créé en septembre 1996 par Bill Clinton.
Donald Trump a justifié sa décision en expliquant qu'il s'agissait de restituer aux quartiers avoisinants des terres détenues par le gouvernement et de supprimer la mainmise de Washington. «Les familles et les quartiers de l'Utah connaissent et aiment mieux cette terre et vous savez le mieux comment prendre soin de votre terre», a-t-il déclaré. Il estime que ce «lien avec les grands espaces ne devait pas être substitué aux caprices de régulateurs à des dizaines de milliers de kilomètres de là».
Donald Trump peut respirer. La Cour suprême des Etats-Unis, la plus haute juridiction du pays, a donné, lundi 4 décembre, son feu vert à l’application intégrale et immédiate de la dernière version de son décret anti-immigration. Ce texte vise à interdire de manière permanente l’entrée sur le territoire américain aux ressortissants de sept pays jugés soit hostiles aux Etats-Unis ou bien considérés comme liés ou menacés par le terrorisme (Corée du Nord, Iran, Libye, Somalie, Syrie, Tchad et Yémen). A l’exception de la Corée du Nord, la population de ces pays est majoritairement de confession musulmane. S’ajoutent également à cette liste des responsables vénézuéliens.
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