Les voies française "propre" pour des fonctions de synthèse vocale comme voiceover sont pourtant quasi inexistante justement par manque de budget et de développeur.
J'ai testé un peu certaine distribution et c'est vraiment compliqué de s'y retrouver comme a installé.
J'ai beaucoup aimais par exemple elementary, mais j'ai eu bien du souci avec grub et compagnie, du chinois ... Je ne sais même pas si je pourrais renouvelé correctement l'installation tellement j'ai eu de la chance ...J'ai pas voulu d'Ubuntu officiel, il aurait des espions "commerciaux" implanter pour te vendre des trucs...
J'ai testé 3 semaines, mais pas plus, pourtant c'est plutôt excellent ...
La synthèse vocale me manquait trop (rien trouver de sérieux et fonctionnelle, pourtant se serait bien utile pour nos mal voyants par exemple), ma télécomande ne marchait plus (rien trouver d'utilisable sans être un geek), la mise en veille causez beaucoup de souci ... etc...
Donc y'a du boulot et il ne s'agit pas de demander leur avis au gouvernement !!! mais de financer tous ça pour sortir du tout bénévolat et de la logique marchande propriétaire ... etc ...etc ...
Et a priori la licence GPL ne permet pas au gouvernement de mettre en place des espion ... non ?
S'ils veulent espionner ils doivent le faire par l'extérieur, comme ils le font habituellement ...
@magatst
J'ai du mal à saisir ton propos concernant la synthèse vocale. Les voix utilisées sont loin d'être naturelles, mais ce n'est pas tellement par manque de budget, mais plutôt à des fins de fonctionnalité.
Inutile de mettre une belle voix bien fluide si au final ça influe sur la compréhension : à moins de demander à un acteur de lire un à un tous les éléments de l'interface, une voix "robotisée" est la seule solution, à mon avis, pour être certain que tout soit compréhensible. Et je trouve qu'on s'y habitue très vite.
En quoi la synthèse vocale est insuffisante, et sur quels OS en particulier ? Si tu es mal voyant, il pourrait être utile que tu consignes les points qui te posent problème et que tu les envoie, même en vrac, à l'éditeur du logiciel que tu utilises.
Normalement, le bénévolat s'oppose à la logique marchande propriétaire. Peux-tu clarifier ? Veux-tu dire que l'État doit financer les parties prenantes pour qu'il n'y ait plus besoin de bénévoles ? Sur le principe, je suis d'accord, mais c'est un trèèèèèès vaste problème (au fond, pourquoi donner la priorité aux outils d'accessibilité plutôt qu'aux restos du cœur par exemple ?).
Le bénévolat ne s'oppose en aucun cas à la logique marchande et propriétaire, bien au contraire c'est aujourd'hui leur plus gros moteur de croissance vu qu'ils ne payent même pas le travaille fourni qu'ils exploitent à terme pour renforcé leur capital. Il n'y a qu'a voir internet. Sans le travail bénévole le réseau n'existerait plus. Le web à était créer au cœur du CERN grâce à des subventions etc...
Oui, l'état ou les caisses ce doit de financer en priorité les besoins de sa populations, hôpitaux, transport, communication etc...
Les restos du cœur n'avait pas pour ambition d'être pérenniser, il devait juste pallié à un manque dû à l'inertie de l'état sur un hiver particulièrement difficile je crois !
Il s'agit là d'une aumône ...(j'ai dû chercher sur internet tellement se mot me dérange ...LoL).
Le bénévolat s'impose partout ou l'état se désinvestit et en fait n'arrange rein, a mon avis, bien au contraire...
Là ou on ferme des postes d'instituteurs, de professeurs des associations de bénévoles prennent le relai (par nécessité bien entendu) et viennent faire du soutiens scolaires et embauches des étudiants qui devraient plutôt être à leur études.
Non, vous ne croyez pas ..; !!?
France : la commission mixte paritaire suggère de ne pas imposer les logiciels libres aux administrations
mais les encourager
La promotion des logiciels libres, au détriment des logiciels propriétaires, suscite un débat dans le cadre de la consultation de l’avant-projet de loi numérique. Le 29 juin dernier, la commission mixte paritaire a réussi à mettre en place un accord pour que les administrations « encouragent l’utilisation des logiciels libres et des formats ouverts lors du développement, de l’achat ou de l’utilisation, de tout ou partie, de ces systèmes d’information. »
Si le projet de loi numérique est voté, dans l’article 9 ter, l’utilisation des logiciels libres et des formats ouverts ne sera donc pas imposée aux administrations. Si un logiciel propriétaire remplit mieux les exigences du cahier des charges lors de l’achat ou le développement du système d’information, les administrations pourront le choisir en priorité.
Cet accord est mal reçu par les défenseurs de logiciels libres qui affirment que le recours en priorité aux logiciels libres est le seul garant de l’indépendance technologique au niveau des administrations. La conception des logiciels libres est, selon eux, un pourvoyeur d’emplois en France. De plus, il restaurera la confiance du citoyen envers les institutions, car un logiciel libre présente l’avantage de pouvoir être vérifié par tous.
Dans l’article 9 ter, il est aussi demandé aux administrations d’encourager l’utilisation du protocole IPv6, à compter du 1er janvier 2018. Là encore, le projet de loi numérique précise que la migration vers le protocole IPv6 se fera sous réserve de « compatibilité » avec les systèmes d’information. Pour information, IPv6 est une nouvelle version du protocole internet créée pour faire face à la pénurie d’adresses IPv4. Sa capacité d’adressage est de 128 bits, celle de l’IPv4 étant de 32 bits.
Source : Rapports législatifs
Et vous ?
Qu’en pensez-vous ?
Voir aussi :
Sénat : un amendement réintroduit une disposition visant à promouvoir le logiciel libre et les formats ouverts au sein des administrations françaises
Que cela ne changera strictement rien à la situation actuelle (comme d'hab quoi) ?
Ceux qui utilisent déjà du libre, continueront de le faire, et ceux qui ne veulent pas en entendre parler, trouveront toujours un petit truc pour démontrer que la version propriétaire (qu'ils ont l'habitude d'utiliser - à tout hasard, Word / Excel / Office en général) répondait mieux aux besoins.
Enfin bref, tout ça pour ça...
C'est un peu une façon de dire "que la transparence et la translation ne sont pas toujours possible d'une administration à l'autre".
Déjà ils parlent pas du tous numériques comme primordiale alors tous va bien. En cas d'inondation c'est pas le support qui est privilégié même ci les systèmes parallèles (pas forcément des supercalculateurs) permettent d'éviter la perte d'informations.
Je mise sur du papier (peut-être sécurisé), de l'encres (waterproof et sécurisé) et des plumes (peut-être laser). La suite est encore plus dur a lire alors j'arrête là.
L'intérêt de l'article est pour les marchés publics. Un appel pourra inclure un critère logiciel libre. Et donc, pas de soucis à choisir du logiciel libre même si en face MS (par exemple) casse les prix pour garder son monopole.
Mais bon, objectivement, le problème reste le même : désintérêt des élus et manque de formation des personnels...
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