Mario Draghi, le président de la BCE, a laissé la porte ouverte à un fonctionnement à plein régime de la planche à billets, mais "c’est le tonneau des Danaïdes", juge notre chroniqueur Marc Touati, président du cabinet ACDEFI. Et les dangers de cette politique sont considérables...
“Super Mario” a encore frappé. Après avoir déjà sauvé la zone euro à de multiples reprises, puis abaissé le taux refi (taux de refinancement, principal taux directeur des banques centrales, NDLR) à 0% et engagé un Quantitative Easing (QE, programme de rachats d’actifs massifs - essentiellement des titres d’emprunts d’Etat de pays membres de la zone euro, NDLR) de
3.000 milliards d’euros, le patron de la Banque centrale européenne vient d’annoncer qu’il était prêt à aller encore plus loin dans l’assouplissement monétaire...
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