Oui c'est ça, du but découlera la volonté et la motivation et pas l'inverse. Il faut que ce soit un but réel bien sur, qui apporte un réel bénéfice motivant.
Le lobby pharmaceutique et les politiques à leurs bottes ruinent votre santé, la sécu et le pays
Ce dont des "complôtistes", les médicaments c'est bon on en prends jamais assez
Pas d'avis
Oui c'est ça, du but découlera la volonté et la motivation et pas l'inverse. Il faut que ce soit un but réel bien sur, qui apporte un réel bénéfice motivant.
En fait, la motivation est différente pour chaque personne. Ma mère a arrêté pour faire plaisir à mon père - qui ne s'en est même pas rendu compte, mais bon, c'était fait..... Ma collègue a arrêté parce-qu'elle a soudain vu qu'elle était prisonnière et que son comportement devenait pathologique. J'ai connu un autre collègue qui avait arrêté pour le budget(et qui a constaté qu'il respirait largement mieux, mais c'était juste un bonus. De toutes façons, il bossait à la presse à plomb, alors son espérance de vie...).
La difficulté, elle est bien plus là. certains sont plus motivés par des motivations négatives, même si les motivations positives marchent mieux dans la majorité des cas. Ce qui m'a fait réussir mes études, c'est la peur de l'échec. Point. Aucune volonté de réussir chez moi à l'époque, juste la certitude que rater mes études serait un échec total de toute ma vie. Ca marche rarement(et tous les bouquins sérieux déconseillent cette approche, seuls les charlatans et les religieux la conseillent). Mais pour moi, ça marche. Ca marche parce-que c'est comme ça que je suis câblé, émotionellement.
Donc, celui qui veut arrêter doit arriver à se connaitre lui-même assez pour savoir ce qui va le motiver le plus. Pour beaucoup, ça sera positif, pour quelques frappés comme moi, ça sera négatif. Peu importe. L'important est de trouver ce qui nous pousse à nous dépasser, et de jouer sur ce levier. Le dernier collègue dont je parle a manipulé sa propre radinerie naturelle pour arriver à un résultat probant, dans un contexte difficile - milieu ouvrier, tout le monde fume autour de lui, etc... Il se connaissait assez lui-même pour savoir ou appuyer. Mais ça ne marche que si c'est émotionellement fort. La raison ne suffit jamais, dans ces cas-là.
Ah ouais effectivement j'avais pas pensé à ça...
C'est bien vu.
J'avais juste pensé au cas où la personne trouves que sa drogue lui apporte plus de bénéfices que d'inconvénients, du coup elle va avoir un peu plus de mal à se motiver.
L'alcool et le tabac doivent être spécial à arrêter parce qu'on voit constamment des gens qui consomment de l'alcool et qui fument.
Une fille qui veut arrêter l'MDMA n'a qu'a arrêter de fréquenter certaines personnes et certains lieux pour ne pas être trop tenté.
Pareil pour un héroïnomane, cela dit il parait que la simple vu d'une cuillère peu donner envie de replonger...
C'est compliqué l'addiction, il faudrait voir la définition exacte.
Il me semble que dépendance et addiction sont des choses différentes.
Je crois également qu'il existe un gène qui fait qu'on a un plus tendance à devenir accro.
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