Comme le ministre de l’Intérieur, Pierre Cabaré et Christophe Arend font l’objet de graves accusations. Le premier, élu de Haute-Garonne est dans le collimateur de la justice pour des faits présumés d’agression sexuelle (main aux fesses), harcèlement sexuel et harcèlement moral dont l’accuse sa suppléante et ex-collaboratrice parlementaire, Lucie Schmitz. Saisis du dossier, les enquêteurs du Service régional de la police judiciaire (SRPJ) de Toulouse ont, selon nos informations, clos leurs investigations. La plaignante et son avocat attendent désormais de savoir quelle suite le parquet de la ville rose va donner à cette affaire.
De son côté, le député de Moselle Christophe Arend est visé par une plainte pour des faits supposés de “harcèlement sexuel” et “agression sexuelle”, dont l’accuse une ex-assistante parlementaire. Après un premier classement sans suite par le procureur de la République de Sarreguemines fin 2017, l’affaire avait été relancée en septembre 2018.
Partager