Cependant, pour les experts interrogés par Sciences et Avenir, cette conclusion est bien trop hâtive : "Les morceaux identiques qu’ils ont trouvés sont beaucoup trop petits pour être significatifs, temporise Alexandre Hassanin, enseignant-chercheur à l’institut de Systématique, évolution, biodiversité (ISYEB) de Sorbonne Université et du Muséum national d’Histoire naturelle.
Il s’agit des tout petits morceaux de moins de 20 bases, sur un génome de 30.000 bases, et c’est des morceaux qu’on trouve aussi chez d’autres virus, pas seulement dans le VIH".
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