Envoyé par
Le Parisien
En 2011, le Kremlin lui demande de bloquer des communautés d'opposition au gouvernement russe et de remettre aux services de sécurité russes (FSB) les données personnelles d'utilisateurs, notamment de militants pro-européens ukrainiens, ce qu'il refuse de faire.
L'entrepreneur est poussé à quitter son entreprise, récupérée par des amis du Kremlin, et se résout a quitté son pays d'origine en 2014. « Je préfère être libre plutôt que de recevoir des ordres de qui que ce soit », a-t-il expliqué au journaliste américain Tucker Carlson lors d'une interview accordée en avril dernier. Il vit depuis en exil.
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