Tout le monde monte sur ses grands chevaux alors qu'on parle d'une taxe de... 3%.
Sinon il semble que Macron a adopté le langage de Trump: "Je viens d'avoir une excellente discussion".
J'ai déjà entendu ça qqpart.
Tout le monde monte sur ses grands chevaux alors qu'on parle d'une taxe de... 3%.
Sinon il semble que Macron a adopté le langage de Trump: "Je viens d'avoir une excellente discussion".
J'ai déjà entendu ça qqpart.
Quand tu fait ça sur des entreprises qui pèses plus de 1000 Milliard, 3% ça fait combien? C'est évidement grossier ce que je dis. Mais on parle vraiment de Milliards là. Et pas sur l'achat d'un dentier. Non sur un truc récurrent. Exemple: Eau, lait, baguette, ...Tout le monde monte sur ses grands chevaux alors qu'on parle d'une taxe de... 3%.
Donc, évidement Trump n'a pas beaucoup aimé ce genre d'action qui peut flinguer son Down Jones.
FLASH NEWS! : On me dit dans l'oreillette que la bourses des USA à grimper quand Trump a arrêter de prendre la tête à la Chine. Mais, la Chine n'y a rien gagné.
Bizarre comme Président. Il perd sont temps à faire du fric quelque soit l'image. Mais qu'est-ce-qui fait gagner les présidentielle? Le gros cerveau du président? Son Charisme champêtre? Ses valeurs? Ou le pognon?
Franchement! Je dis ses valeurs! Ah non c'était pas ça?! -_- Ah si! Ses valeurs boursières ! Par contre son opposant au élection c'est pas un mec plein d'oseille aussi? Ah oui, il est à 3% près !
PS: Désolé des fois je phases avec l'imaginaire. Je me contrôle plus...
Taxer c'est voler !
Voler de la richesse créée a priori honnêtement est toujours injuste !Est-elle juste ou injuste ?
J'espère que non !Pensez-vous qu’un accord sur la taxe numérique pourra-t-être trouvé dans le cadre de l’OCDE ?
Libérons-nous des taxateurs fous !
Au final, c'est toujours le client qui paye, c'est à dire vous, moi, nous tous !
La taxe ne sera jamais en place, mais si elle l'était il suffirait de ne rien acheter à des entreprises qui réalisent un chiffre d’affaires sur leurs activités numériques de 750 millions d’euros dans le monde et de plus de 25 millions d’euros en France.
Quand une personne normale créer son entreprise elle paie ses impôts, elle ne paie pas des avocats pour éviter les impôts. Les grosses entreprises devraient payer leurs impôts comme tout le monde.
Ça me fait penser à une blague que j'ai vu sur Twitter :
https://twitter.com/FTarlet/status/1219205962160132097
Ce 18 janvier 2020, Bernard Arnault est devenu l’homme le plus riche du monde avec 117 milliards de $. Contre 76 milliards en mars 2019. Continuez bien à vous serrez la ceinture, citoyens. Vous allez tous bosser quelques années de plus pour qu'il ne paie pas d'impôts.
C'est surtout nous qui payons le fait que les gouvernements rabote inlassablement les services publics, les infrastructure, les retraites pour essayer de péniblement combler le manque à gagner causé par les entreprises ne jouant pas le jeu de contribuer à l'économie des pays dans lesquels elles font des bénéfices.
Comment pourrais-tu vivre sans l'état ?C'est surtout nous qui payons le fait que les gouvernements rabote inlassablement les services publics...
Syndrome de Stockholm puissance 10 !
Ce pays communiste est foutu !
Les services publics comportent l'Armée, la Police, la Gendarmerie, les Sapeurs-pompiers, la justice, le Réseau Ferré, etc. Donc on ne peut pas s'en passer.
Les écoles publics, les hôpitaux publics, la sécurité sociale, etc, sont bien utile pour ceux qui ne sont pas riche.
Dans plein d'autres pays des famille se sont ruiné à cause d'un problème de santé (parce que leur assurance/mutuelle s'est arrangé pour ne pas payer).
En France tu peux être pauvre, t'auras un accès gratuit à la chimio pour ton cancer.
Quand on a la chance d'avoir un travail qui paie bien et pas de problème de santé c'est facile de critiquer les services publics. Mais il faut penser à ceux qui n'ont pas autant de chance.
En France un enfant qui vient d'une famille très modeste, peut aller jusqu'au Master si ça lui dit, parce qu'il touchera des bourses et chaque année l'inscription sera gratuite (collège, lycée, fac).
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Bon après il y a peut-être des économies à faire quelque part... Mais les gouvernements PS/UMP/LREM ont un mauvais sens des priorités.
"À la vérité, le mot gratuit appliqué aux services publics renferme le plus grossier et, j’ose dire, le plus puéril des sophismes. "En France tu peux être pauvre, t'auras un accès gratuit à la chimio pour ton cancer.
Frédéric Bastiat - Les Harmonies économiques - Chapitre 17, Services privés, service public
Oui, et pas qu'un peu !Bon après il y a peut-être des économies à faire quelque part...
Comment font les pays qui ne consacrent pas 57% de leur PIB à la dépense publique et qui pourtant sont plus performants économiquement, ont moins de chômage... ?
Pas sûr qu'il y ait davantage de SDF ou de pauvres en Suisse, à Singapour, à Hong-Kong... bref, dans les pays en tête des classements sur la liberté (pas le temps de chercher les chiffres maintenant). J'ai plutôt l'impression que plus on dépense d'argent public, plus ça se dégrade dans ce pays. L'URSS s'est effondrée à 61% de dépenses publics sur PIB. La France n'en est plus très loin.
Ce pays est foutu !
Après l'apaisement des tensions avec la France, l'administration Trump menace désormais de représailles la Grande-Bretagne
si elle venait à appliquer sa taxe sur les grandes enseignes du numérique
Votée en juillet, la taxe française de 3 % sur les revenus générés par les entreprises technologiques, dite taxe GAFA, s’applique aux sociétés, indépendamment de leur lieu d'établissement, qui réalisent un chiffre d’affaires de 750 millions d’euros au niveau mondial et de plus de 25 millions d’euros sur le sol français, dans le cadre de leurs activités numériques.
L'impôt français vise les recettes plutôt que les profits, qui sont souvent déclarés par les géants de la technologie dans des pays à faible fiscalité comme l'Irlande, dans une pratique qui a mis les gouvernements en colère. En juillet, Donald Trump n’avait pas tardé à menacer de taxer les vins français en représailles à la taxe numérique française publiée alors deux jours plus tôt, jugée comme destinée principalement aux grandes entreprises technologiques américaines par le président américain. La taxe devrait s'appliquer rétroactivement à partir du début de 2019, ce qui, selon le bureau du représentant américain au commerce extérieur (USTR), remet en question son équité.
En guise de représailles à cette taxe, début décembre, le gouvernement américain a menacé d'imposer des droits de douane allant jusqu'à 100 % sur 2,4 milliards de dollars de produits d'importations en provenance de France, notamment le vin, le champagne, les sacs à main de luxe, le fromage qui sont importés aux USA. Il faut dire que l'USTR a déclaré dans un rapport que son enquête en vertu de l'article 301 avait conclu que l'impôt français était « incompatible avec les principes dominants de la politique fiscale internationale et constituait un fardeau inhabituel pour les entreprises américaines concernées ».
Pourtant, quelques jours plus tard, malgré le risque d'une réaction similaire, le Premier ministre britannique Boris Johnson a déclaré qu’il comptait bien instaurer en Grande-Bretagne une nouvelle taxe sur les géants du numérique, essentiellement des groupes américains.
« Au sujet de la taxe sur les services numériques, je pense que nous devons regarder l’activité des grandes entreprises du numérique et les énormes revenus qu’ils réalisent dans ce pays et le montant des impôts qu’ils paient », a déclaré le Premier ministre britannique mardi soir au sommet de l'OTAN. « Nous devons régler ça. Elles doivent fournir une contribution plus juste », a-t-il ajouté.
Dans son programme pour les élections législatives du 12 décembre en Grande-Bretagne, le Parti conservateur de Boris Johnson s’est engagé à mettre en place une taxe sur les services numériques fournis par des groupes comme Google, Facebook ou Amazon. Cette taxe viserait les entreprises réalisant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 500 millions de livres (près de 590 millions d’euros) dans le monde. Elle consisterait en un prélèvement de 2 % sur les revenus tirés de leur activité auprès des consommateurs britanniques à partir d’avril 2020.
La France et les USA choisissent la voie de l'apaisement, la Grande-Bretagne désormais dans le collimateur US
Seulement voilà : en début de mois, Bruno Le Maire, le ministre français de l’Économie et des Finances, avait annoncé que la France et les États-Unis se donnaient deux semaines pour trouver un compromis sur la taxation des géants du Web. Après un entretien téléphonique survenu entre Emmanuel Macron et Donald Trump, le président français a déclaré qu’il a eu une « excellente discussion » avec le président américain Donald Trump sur la taxe numérique et a ajouté que les deux pays « vont travailler ensemble sur un bon accord pour éviter toute escalade des tarifs ».
Selon une source diplomatique française, les deux dirigeants « se sont mis d’accord pour donner une chance » aux négociations afin d’éviter « une guerre commerciale qui ne serait bénéfique à personne ». Ils ont convenu de calmer le jeu jusqu’à la fin de l’année 2020, a déclaré la source diplomatique française, et de poursuivre les négociations à l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) sur la taxe numérique pendant cette période. En clair, la France a décidé de retarder l'application de cette loi jusqu'à la fin de cette année, le temps de trouver un compromis dans le cadre de l’OCDE. Encore une fois, Macron a rappelé que si un accord international sur la fiscalité numérique est conclu dans le cadre de l’OCDE, il remplacerait immédiatement la taxe française. Et dans un précédent accord, Macron a précisé que les entreprises qui se seraient déjà acquittées de leurs impôts sur la base de la taxe française pourraient bénéficier d’une compensation s’il existait un préjudice avec la nouvelle taxe obtenue dans le cadre de l’OCDE.
Cette fois-ci, le secrétaire américain au Trésor, Steven Mnuchin, a averti que les exportateurs britanniques pourraient s'attendre à un traitement similaire si Johnson persiste avec la taxe sur les services numériques, qui, selon Washington, pénalise injustement des entreprises comme Google, Amazon et Facebook.
La taxe devrait entrer en vigueur en avril, à raison de 2 % des revenus des moteurs de recherche, des plateformes de médias sociaux et des marchés en ligne qui tirent de la valeur des utilisateurs britanniques. S'adressant au Wall Street Journal lors du Forum économique mondial de Davos, en Suisse, le secrétaire américain au Trésor a déclaré que la trêve avec Emmanuel Macron était « le début d'une solution » et a appelé la Grande-Bretagne et l'Italie à suspendre des plans similaires.
« Sinon, ils se retrouveront confrontés aux tarifs du président Trump », a déclaré Mnuchin. « Nous aurons des conversations similaires avec eux ».
Downing Street a clairement indiqué qu'elle considérait un accord international sur le traitement fiscal des revenus provenant des technologies Web comme la solution à long terme au problème. Mais le porte-parole officiel de Boris Johnson n'a donné aucune indication que le Royaume-Uni se prépare à reculer sur l'introduction de la taxe face aux pressions américaines.
« Nous sommes pleinement engagés dans des discussions internationales pour relever les défis que la numérisation pose pour la fiscalité », a déclaré le porte-parole du Premier ministre. « Notre préférence va pour une solution globale appropriée et pour abroger notre taxe sur les services numériques une fois celle-ci en place. Nous avons mené de nombreuses consultations sur notre taxe sur les services numériques et nous avons cherché à la concevoir de manière proportionnée ».
S'exprimant sur la taxe sur les services numériques avant la visite de Trump à Londres le mois dernier, Boris Johnson a mis en garde contre une « guerre commerciale », mais a déclaré qu'il pensait qu'il fallait trouver un moyen de garantir aux géants de la technologie une « contribution plus équitable » à la fiscalité. « Je pense que nous devons examiner les opérations des grandes entreprises numériques et les énormes revenus qu'elles réalisent au Royaume-Uni et le montant de la taxe qu'elles paient », a déclaré le Premier ministre en décembre. « Nous devons régler cela. Ils doivent apporter une contribution plus équitable ».
Source : The Independent
Et vous ?
Quelle lecture faites-vous de cette situation ?
Je m'en fous de la sémantique (je suis anti-sémantique ^^). Peut-être que le mot "gratuit" n'est pas le plus adapté. En tout cas en France un sans abris peut avoir accès à une opération chirurgicale (théoriquement).
Un drap posé à même le sol : à l'hôpital parisien Lariboisière, les lits manquent pour les mères sans-abri (les hôpitaux sont saturés)
Ouais ben en France il y a trop de fonctionnaires, peut-être au niveau des députés, sénateurs, ministres, et des trucs de ce genre. (par contre les indemnités que touchent les maires dans les petits villages n'est pas un problème)
Il doit y avoir moyen de faire plus de boulots avec moins de personnel. Le système n'est pas du tout optimisé. Mais tous les fonctionnaires ne sont pas inutile.
Ce n'est pas une question de nombre, c'est une question de traitement, par exemple en France après le chômage t'as le RSA, ça n'existe peut-être pas partout au monde.
En France si tu n'as pas de revenu tu peux quand même avoir accès aux soins. Ce qui n'est pas le cas partout.
Ce n'est peut-être pas la principale cause de la chute de l'URSS...
Si tu n'es pas content, tu peux toujours foutre le camp. Il y a plein d'autres pays, tu peux aller à Hong-Kong si ça te dit.
Le monde est foutu, les autres pays ne vont pas mieux...
Au bout d'un moment il faut avoir le sens des priorités, actuellement le problème principale c'est la situation de la finance mondiale, les banques vont extrêmement mal, les états sont surendettés, etc. L'économie va très mal.
Après il y a d'autres problèmes comme le changement climatique ou ce genre de chose.
Le fait qu'il y ait trop de fonctionnaires en France, parce que le système est mal géré ce n'est pas une urgence absolue.
Petite news du jour, pour montrer que l'économie va mal partout :
Italie : les surdiplômés, au chômage, deviennent éboueurs
Le gouvernement US ne rigole pas quand il est question de défendre des grosses entreprises US.En Italie, 4 diplômés sur 10 ne trouvent pas de travail sur les trois ans qui suivent l'obtention de leur diplôme, si bien qu'ils se ruent sur les seuls postes disponibles, même s'ils ne correspondent pas du tout à leur formation. Dans le sud du pays, à Barletta, le chômage bat des records. Un concours proposant 13 emplois d'éboueurs a été pris d'assaut par des jeunes surdiplômés.
Sans l'état et son financement des services de santé(aussi imparfait soit-il), mon fils serait mort quelques jours après sa naissance.
Les mots ont un sens. Communisme signifie "mise en commun des moyens de production" (sous entendu de production de richesse). Certains le sont en effet, mais l'immense majorité sont aux mains d’intérêts privés(ce que je ne déplore pas - dans la plupart des cas. Pas tous). Ta caricature est d'une imprécision remarquable.
De toute façon, Cinephil c'est soit un immense troll, soit un actionnaire du CAC 40, soit un ado de 16 ans pas bien malin qui n'a encore jamais été confronté à la réalité du monde du travail.
Ca peut également être le jumeau maléfique néolibéral de Ryu2000.
Je suis simplement un défenseur de la liberté et du droit naturel, bande de collectivistes !
Et alors ?
Source à lire : https://www.wikiberal.org/wiki/CollectivismeEnvoyé par Wikiberal
Donc confondre collectivisme et association d'individus volontaires pour produire quelque chose en commun ou dépot volontaire de son propre travail en accès libre à tous... effectivement, c'est drôle !
Sauf qu'une entreprise n'est pas un individu c'est... ben une entreprise.
En permettant aux entreprises de ne pas reverser ce qu'elles doivent, on crée un manque a gagner pour la collectivité, donc une perte de liberté pour les individus qui deviennent précaires.
Moins de budget alloué à l'éducation par exemple, c'est moins d'étudiants qui peuvent entreprendre les études souhaitées.
Des allocations chômage limitées et un SMIC bas, c'est moins de liberté pour les individus qui deviennent dépendants d'une situation précaire et ne peuvent rien entreprendre pour en sortir.
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