DUBAI -
Dans une région dominée par les médias officiels, les réseaux sociaux ont permis aux jeunes de faire entendre au monde entier la voix du "printemps arabe", même si la crédibilité de ces nouveaux médias est parfois remise en question.
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Les réseaux sociaux ont joué un rôle primordial dans le déclenchement du "printemps arabe" dont l'étincelle a été l'immolation par le feu d'un jeune Tunisien le 17 décembre.
Depuis, les régimes tunisien et égyptien sont tombés et la révolte a gagné la Libye, le Yémen, la Syrie et Bahreïn, où un mouvement de contestation a été réprimé par la force à la mi-mars avec le soutien des monarchies du Golfe dont l'Arabie saoudite.
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