Du coup ça veut dire qu'il faut déjà acheter une webcam, je n'en ai pas, pas de risque "d'accident" comme certain ont connu sur twitch par exemple .
La CNIL s'en tiens à son rôle, les libertés individuelles, ce n'est pas à elle de juger de la qualité du système.Pourtant soucieuse de la vie privée, la Cnil ne serait pas opposée à cette technique de vérification, à condition que toutes les garanties soient prises quant aux données personnelles utilisées (ici, la photo). En revanche, elle n'apporte pas de réponse concernant d'éventuels ratés du système, entre faux positifs et faux négatifs, qui pourraient créer des dangers et discriminations.
Bof, les gosses trouveront bien un grand frère qui les fournira ou un DvD "bien caché".Que pensez-vous d'un tel système ?
Il me semble qu'il a bien été dit qu'il s'agit d'analyse du visage, pas de reconnaissance faciale. Ce qui n'est pas la même chose, je répond donc pourquoi pas à l'analayse, non à la reconnaisasnce.Pour ou contre la reconnaissance faciale avant d'accéder à du contenu porno ?
S'il pirate un site porno, bah rien de neuf comparé à aujourd'hui.Quelles pourraient être les conséquences du piratage d'un tel système ?
S'il pirate le système de "jeton" bah ils auront ta tronche dans un clip de 5s, tant qu'on se sert pas de la reconnaissance faciale, et que l'image est bien ... cadré, ça peut aller.
La France peut pas tout couvrir, juste faire descendre les risques d'exposition. Et oui la France peut très bien faire blacklister des sites pornos, ça se contourne, mais faut encore installer le VPN etc, ce que ne feront pas la plupart des gens.Dans la pratique, même si un FAI bloque l’accès, rien n’empêche de changer ses DNS ou d’utiliser un VPN pour contourner l’interdiction en simulant une connexion depuis l’étranger. Toutes ces mesures vous semblent-elles nécessaires ?
Que dire alors des messageries comme WhatsApp, Snapchat et autres où les mineurs peuvent se partager du contenu pour adulte ?
La France peut-elle vraiment contrôler l'accès aux sites porno ?
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