« Ce phénomène complexe et mystérieux est la réponse physiologique ayant lieu au maximum de la phase d’excitation sexuelle. Biologiquement, l’orgasme se traduit par une rythmicité de contractions des muscles involontaires. En moyenne, au nombre de trois à cinq, ces contractions surviennent toutes les 0,8 seconde. La période réfractaire est rapide, fugace, et surtout beaucoup plus brève que chez l’homme. L’ensemble de l’organisme participe à la réponse sexuelle naturelle sous la forme de gémissements de différentes tonalités, d’une rougeur du thorax, du cou, des joues, de sueurs, d’une accélération des battements cardiaques, d’une augmentation de la pression artérielle et de la fréquence respiratoire.
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