1 lien 1 peu long à lire Vaccination contre la COVID-19 : un remède pire que le mal ?
2-3 citations :
Les seules données remontées sont tout simplement du jamais vu dans l'histoire de la vaccination et c'est valable pour tous les pays qui publient leurs données de pharmacovigilance : il y a un bond statistique colossal et édifiant (+ 1000 % sur les décès aux USA) qui ne laisse aucun doute sur les effets délétères de ces "vaccins". Il ne peut y avoir de confusion avec un autre traitement anti-COVID puisqu'ils sont interdits ou administrés au compte-goutte dans ces mêmes pays.[En Europe], près de 3 millions de cas d'effets indésirables y sont enregistrés dont plus de 43 000 personnes handicapées et près de 38 000 décès suite à la "vaccination". C'est tout simplement du jamais vu dans l'histoire de la pharmacovigilance européenne.[En France, sûrement janvier 2022] 29 157 cas graves et 1 512 morts[Tweet de Jean-Michel Claverie] 12-15 ans (male) : +2240% (23 fois +) de myocardies; 16-17 (male) : +3933% (40 fois +); 18-24 ans (male) : + 1836%; 25-29 ans (male) : + 522%
Donc il ne s'agit absolument pas d'une étude (qui suppose un "peer review") mais d'un article.
De plus, le site de publication - site appartenant à Christophe Magdelaine qui est avant tout un militant pastèque, géographe de formation - incite à la plus extrême prudence sur la considération à accorder à ça .....
Bref, aucune donnée à l'appui de ces fadaises.
Tu as l'air d'en connaitre un rayon sur le processus de peer review d'une publication scientifique. ......
C'est impressionnant ....
Quant à trouver un rapport avec VW .....
Au demeurant, je ne suis pas vétérinaire,mais je sais quand même reconnaitre un blaireau quand j'en vois un ....
Et si on avait pas une bande de @@@@@, dont au moins un auquel tu as probablement donné ta voix(Sarkozy?), qui n'ont pas arrêté de défoncer l'hôpital publique, on serait surement mieux préparé à gérer une crise sanitaire.
Une petite recherche google, et l'on voit que chaque année les hôpitaux sont saturés par la grippe.
https://www.google.com/search?q=satu...&bih=973&dpr=1
La normalité c'est la quasi saturation des hôpitaux.
Par ailleurs, crois tu vraiment qu'avec 3 millions de personnes vaccinés en plus entre 12 et 59 ans ca aurait changé la 5eme "vague"?
Au passage ces "vagues", c'est un terme tellement con, que l'on a arrêté de l'utiliser depuis la 4625eme vague de grippe.
Apparemment il y aurait un professeur Yaakov Jerris qui serait le directeur de l'hôpital Ichilov à Tel-Aviv qui dit que dans son hôpital 80% des cas graves sont vaccinés.
‘80% Of Serious COVID Cases Are Fully Vaccinated’ Says Ichilov Hospital Director
“Right now, most of our severe cases are vaccinated,” Jerris told Channel 13 News. “They had at least three injections. Between seventy and eighty percent of the serious cases are vaccinated. So, the vaccine has no significance regarding severe illness, which is why just twenty to twenty-five percent of our patients are unvaccinated.”D'après Google 72,6% des israéliens ont reçu au moins une dose et 66,2% des israéliens sont complétement vacciné.https://twitter.com/efenigson/status...85170270408704
'80% of serious COVID cases are fully vaccinated' says Ichilov hospital director. Vaccine has "no significance regarding severe illness," says Prof. Yaakov Jerris, on channel 13 news, 2 days ago.
As they say: “It’s for your health”.
https://israelnationalnews.com/news/321674
Israël: le ministre de la Défense Benny Gantz testé positif au Covid-19
Le ministre a été vacciné avec la quatrième dose récemment.
Si on n'avait pas une bande de @@@@ qui depuis 1981 ruinent la France par leur politique collectiviste et l'assistanat en résultant (avec l'aide il est vrai d'une "droite" lâche et molle qui, les rares fois où elle repasse au pouvoir n'annule pas les dépenses votées par la gauche) le problème ne se poserait pas.
Accessoirement, les pays qui n'ont pas ou quasiment pas d'hôpitaux publics comme l'Allemagne ne me semblent pas avoir plus mal gérés la crise.
Ce qu'on peut reprocher à Sarkozy, c'est de ne pas avoir été jusqu’au bout : il n'y a aucun besoin d'hôpitaux publics.
Les services publics c'est comme les filles publiques, certains en ont peut être besoin, mais s'en passer c'est mieux;
Les problèmes des hôpitaux Français viennent de l'UE.
Comment et pourquoi l’hôpital public français est-il en train d’être détruit ? Dossier établi par Hippocrate et la commission Santé de l’UPR.
Impôts, TVA, taxes, prélèvements à la source, RSA, prime d’activité, SMIC, CICE, TICPE, fiscalité écologique, CSG, minimum vieillesse, retraites, ISF, IFI, Sécurité sociale, AAH, APL, CAF, financement des services publics, des écoles, des hôpitaux, de la justice, des pompiers, de la dépendance, chômage, etc., c’est dans l’élaboration de ces deux lois (LF et LFSS) qu’est scellé le sort de tous ces sujets, et pas ailleurs.
Il faut savoir que, du fait de son appartenance à l’Union européenne, le gouvernement français est tenu chaque année de présenter à la Commission européenne, par le biais du RESF, la politique budgétaire qu’il compte mettre en œuvre pour appliquer les « recommandations » dictées par la Commission.
En voici un exemple, tiré d’une annexe du RESF 2018 pour le suivi des recommandations en 2017 : comme on le voit, il n’y est question que d’injonctions de réduire encore et toujours les dépenses publiques pour la santé.
Et bien entendu rebelote l’année suivante, pour l’annexe du RESF 2019 portant sur le suivi des recommandations de 2018 : il faut réduire encore et toujours les dépenses publiques pour la santé, en 2019 comme en 2018, de même que c’était demandé en 2017, 2016, etc., et que cela devait être demandé en 2021.
On voit ainsi qu’à plusieurs reprises dans cette annexe du RESF [3], le PLFSS est régulièrement et explicitement présenté comme une « mesure » pour répondre à la recommandation de la Commission de réduire les dépenses publiques.
Dans ces conditions, il n’y a pas à s’étonner d’un effondrement de la qualité des soins que les centres hospitaliers sont en capacité de prodiguer.
Et seuls les aveugles ou les politicards menteurs professionnels refuseront de reconnaître que la destruction progressive de l’hôpital public résulte directement de notre soumission aux injonctions constantes – année après année – de la Commission européenne.
Et voici maintenant les grandes orientations des politiques économiques (GOPÉ), ou « recommandations », auxquelles répondent ces mesures évoquées dans les RESF.
Ainsi, de façon à peine voilée, la Commission européenne recommande à la France, dans ce rapport des GOPÉ 2019, de faire progressivement basculer son système de santé du secteur public vers le secteur privé.
Autre exemple tiré, lui, des GOPÉ 2018.
Il faut lire très attentivement ce paragraphe pour se rendre compte que, pour la Commission européenne, la santé est considérée comme un « service marchand » au même titre que tout autre, et sa mise en concurrence devrait lui permettre de se « développer ».
Parler de développement et de valeur ajoutée n’a évidemment pas de sens lorsqu’il est question d’un service public. Sauf si on considère que l’on va tout faire passer sous un régime privé.
D’ailleurs, dans un rapport officiel daté de 2009 (il ne semble pas en exister de plus récent), la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) évoque, sans complexe, le « taux de rentabilité » des hôpitaux publics. C’est très révélateur de l’imprégnation libérale qui règne dans notre haute administration publique.
C'est quoi l'intérêt de faire du copier coller comme ça ? Tu pourris tous les threads en postant des articles que t'as lu à moitié.
C'était une réaction à ça :
Et là on est dans le topic du SARS-CoV-2.
Donc je voulais parler du déclin de l'hôpital public en France et du fait que ça venait des directives de l'UE.
« Nos dirigeants sont restés sourds au cri d’alarme des soignants sur la dégradation de l’hôpital public »
Les hôpitaux saturent depuis des années et les gouvernements successifs continuent de supprimer des lits.Le Covid a accéléré une crise des hôpitaux dénoncée depuis longtemps par les personnels, explique, dans une tribune au « Monde », le médecin anesthésiste-réanimateur Philippe Bizouarn, qui déplore l’absence de réaction de la part du gouvernement et son « cynisme ».
(...)
Cette cécité, cette surdité encore, ne sont-elles pas les mots d’un véritable mensonge d’Etat, incapable de dire enfin que les hôpitaux publics ne sont plus une priorité ? Que l’hôpital public doit disparaître, au profit de structures privées à but lucratif ou non ? Que les soignants s’épuisent sans comprendre tout ce qui leur est donné – une aumône pour leur silence ? Que les patients, si patients, ne pourront plus être correctement soignés parce que les moyens ne peuvent être, selon nos décideurs, accordés à tous. Dire cela, et l’assumer ! Cyniquement, mais en toute transparence !
Oui, tu voulais mentir comme d'habitude.
Que la France soit un enfer collectiviste mal géré quoique totalitaire n'est pas la faute de l'UE.
La CMU qui permet à des gens ne cotisant pas et n'ayant jamais cotisé d'être soigné aux frais de la princesse c'est la faute de l'UE ? L'AME qui permet à des crapules de clandestins d'être soigné aux frais du contribuable c'est aussi la faute de l'UE ?
Non, ce sont juste des délires de gauche que la droite lâche n'a jamais supprimé.
Déjà dit : dans la mesure où on augmente les places en ambulatoire, heureusement qu'on supprime des places en hospitalisation complète; mais certains ont la comprenette difficile.Les hôpitaux saturent depuis des années et les gouvernements successifs continuent de supprimer des lits.
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