Il n'y a pas de retour en arrière.
Si une petite fille décide de devenir un petit garçon, elle ne sera plus une fille et elle ne sera jamais un vrai garçon.
Normalement les mineurs n'ont pas le droit de se faire tatouer ou de faire de la chirurgie esthétique, donc ils ne devraient pas non plus avoir le droit de changer de sexe.
Enfant transgenre : "On passe d'une personne saine à un patient à vie"
Changement de sexe chez les enfants : "Nous ne pouvons plus nous taire face à une grave dérive""Il n’y a pas de preuve scientifique de son inoffensivité, loin de là, les effets secondaires sont bien connus. On engage quelqu’un de très jeune d’une personne saine à un patient à vie", juge Caroline Eliacheff. "Il n’y a pas de retour en arrière possible. Ces jeunes, qui sont de plus en plus nombreux, peuvent arrêter les traitements mais il n’empêche que de prendre à 12 ans pendant deux ans des bloqueurs de puberté, ce n’est pas anodin. Quant aux hormones antagonistes, il y a des effets éventuellement réversibles. D’autres sont carrément irréversibles, en particulier le fait d’être stérile par exemple, ce qui n’est quand même pas rien".
La détresse de ces jeunes qui regrettent d’avoir voulu changer de sexeUne cinquantaine de psys, médecins et intellectuels dénoncent une "emprise idéologique sur le corps des enfants" faite au nom de l'émancipation de "l'enfant-transgenre".
Il y a plus d'handicapés et de malades que de gens qui aimeraient changer de sexe, et pourtant on entend parler des transsexuels en permanence.Premiers regrets, premières contestations. Alors que les demandes de changement de sexe chez les mineurs sont «en très forte augmentation» en France, dans le sillage des pays anglo-saxons, l’Académie de médecine alerte sur le «nombre croissant de jeunes adultes transgenres souhaitant “détransitionner”». Pointant un «risque de surestimation diagnostique réel», la société savante a appelé fin février à une «grande prudence médicale» chez l’enfant et l’adolescent, «compte tenu de la vulnérabilité, en particulier psychologique, de cette population et des nombreux effets indésirables, voire des complications graves, que peuvent provoquer certaines des thérapeutiques disponibles». Ypomoni, un collectif de parents qui milite «pour une approche éthique des questions de genre» et qui «grossit de semaine en semaine», rapporte «des histoires qui se ressemblent toutes: ados harcelés, agressés sexuellement, haut potentiel intellectuel (HPI), autistes, consultations expédiées, certificats de complaisance…»
C'est un peu pénible.
Qu'on commence par rembourser la dette de l'état et ensuite on verra si on peut faire quelque chose pour les transsexuels![]()
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