
Envoyé par
bibb44
merci pour vos réponses précieuses
gangsoleil, je te remercie pour ces différents articles intéressants. (au niveau des inconvénients, je note notamment seulement 4 semaines de congés, beaucoup d'heures à faire finalement dont l'aller-retour tous les jours qui n'est pas neutre, le fait de pouvoir être viré du jour au lendemain.. ce qui me fait penser à une situation plus ou moins précaires comme les freelance. le fait que sans être résident (et donc à payer plein d'impôts), ce sera surtout des marchands de viandes (société de service) que je trouverais. il faut tenir compte de tout cela en effet)
mais ce qui me manque c'est vraiment un exemple concret sur le plan purement financier. typiquement, de combien sera mon reste à vivre, en déduisant les frais de transports, et tout les autres frais (mutuelle). (pour que je vois si par rapport à ma situation en France, ça a un intérêt quelconque, ou non. et sans tenir compte du télétravail qui se généralise, car je ne sais pas si ça durera. jusque la dans ma boite, dès que la situation sanitaire s'est améliorée, le nombre de jour en télétravail à fondu)
j'aime beaucoup l'exemple de Antjac qui me correspond, c'est à dire quelqu'un de frontalier qui travaille à Genève (prélèvement à la source côté Suisse), célibataire/sans enfants, et qui touche 6000 CHF (bien que 7000 ou 8000 soit éventuellement faisable comme l'indique zwazillon).
toujours d'après Antjac, on arrive à : 4300 € environ après impôts et change.
ce à quoi j'imagine qu'on peut déduire sur un mois les frais fixes suivants :
- la mutuelle suisse : 350 €
- les frais de transports : 1.5€ * 2 (aller-retour) * 21 (jours dans le mois environ) = 72 €
- le loyer : 1000 € au minimum
soit un reste à vivre de 2800 €.
avec un reste à vivre aussi haut, en prenant l'hypothèse de salaire la plus basse, je me dis que tout le monde serait frontalier. Ou est-ce que je me trompe svp ?
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