si autant d'effort serait mis sur le conflit palestiniens... les palestiniens vivraient en paix et seraient libre........ au lieu de vivre sous un régime d'apartheid maintes fois accusé de crime de guerre
si autant d'effort serait mis sur le conflit palestiniens... les palestiniens vivraient en paix et seraient libre........ au lieu de vivre sous un régime d'apartheid maintes fois accusé de crime de guerre
oui mais non car Israël ce sont les gentils et les palestiniens les méchants.
Et d'une manière générale, tant qu'un régime nous arrangent c'est un gentil, combien de dictateurs en Afrique sont au pouvoir grace à la France et pire encore ceux qui ont été renversé ont les hébergent chez nous.
Le passé c'est le passé mais si on veut faire la morale à Poutine on devrait balayer devant notre porte et corriger nos erreurs. D'un point de vue occidentale cette guerre nous affectent mais le reste du monde s'en fou (presque aucun pays d'afrique, d'asie et d'amérique du sud ont voté la résolution de l'onu)
Bonsoir,
Ceux qui ont une dent contre le Russie actuellement mettent le paquet pour la mettre ko dit donc !Les sites web du gouvernement russe sont confrontés à des cyberattaques sans précédent et des efforts techniques sont déployés pour filtrer le trafic web étranger, a déclaré jeudi l'agence de presse TASS
Qu'en pensez-vous
Le nombre de Go à la seconde plus que OVH sur d'autres attaques ! Je viens de retrouver un chiffre sur un ancien article.
Tu sais maintenant , avec les diplômes c'est une course à la "titrisation" . A celui qui aura le nom de le plus "style" (comme on dit en nov' langue). Des sachants peuvent avoir des diplomes + 50 000 . Cela n'en fait pas pour autant des "experts" , certains sont même médiocres.Envoyé par Cincinnatus
Que voulez vous , de nos jours avec le plus de titre possible , on préfère regarder cela que ce que sait réellement faire la personne.
La Russie déclare Meta coupable « d'activité extrémiste » sur ses plateformes Facebook et Instagram,
mais autorise WhatsApp à continuer d'opérer en Russie
Un tribunal russe a statué lundi sur Facebook et Instagram qui ont été désignés comme coupable « d'activités extrémistes » dans le cadre des vastes efforts déployés par Moscou pour réprimer les réseaux sociaux pendant le conflit en Ukraine. Les autorités russes ont accusé la grande enseigne américaine de la technologie Meta, la société mère de Facebook, Instagram et WhatsApp, de tolérer la « russophobie » depuis que le président Vladimir Poutine a envoyé des troupes en Ukraine le 24 février.
Les implications de la décision restent floues car Facebook et Instagram sont déjà interdits en Russie et le tribunal a déclaré que WhatsApp ne serait pas affecté par sa décision. « La décision ne s'applique pas aux activités du messager WhatsApp de Meta, en raison de son manque de fonctionnalité pour la diffusion publique d'informations », a déclaré le tribunal.
Facebook et Twitter sont inaccessibles en Russie depuis début mars et Instagram a été bloqué dans le pays il y a quelques jours. Le tribunal de district de Tverskoi à Moscou a accédé à une demande des procureurs d'interdire les deux plateformes de médias sociaux pour avoir « mené des activités extrémistes ».
Il a décidé que le service de messagerie WhatsApp de Meta ne serait pas interdit car il n'est pas utilisé pour publier des déclarations publiques.
Lundi également, selon des agences de presse russes, le régulateur russe des médias Roskomnadzor a bloqué l'accès à euronews.com, le site de la chaîne française Euronews, et sa version russe ru.euronews.com, à la demande du parquet.
Aucune raison n'a été donnée pour l'action.
Plus tôt ce mois-ci, Roskomnadzor a bloqué l'accès au principal site d'information de la BBC, le ministère des Affaires étrangères de Moscou mettant en garde contre de nouvelles mesures de représailles contre les médias.
Lors de l'audience de lundi, le service de sécurité russe du FSB a accusé Meta de travailler contre les intérêts de Moscou et de son armée pendant le conflit.
« Les activités de l'organisation Meta sont dirigées contre la Russie et ses forces armées », a déclaré au tribunal le représentant du FSB, Igor Kovalevsky, dans un communiqué rapporté par les agences de presse russes. « Nous demandons (au tribunal) d'interdire les activités de Meta et de l'obliger à appliquer cette décision immédiatement », a-t-il déclaré.
Meta avait annoncé plus tôt ce mois-ci que les plateformes autoriseraient des déclarations comme « mort aux envahisseurs russes », précisant toutefois que des menaces crédibles contre des civils n'allaient pas être autorisées. Dans ce qui semblait être un contrôle des dégâts, le président des affaires mondiales de Meta, Nick Clegg, a déclaré plus tard que ces règles plus souples ne s'appliqueraient qu'aux personnes postant depuis l'intérieur de l'Ukraine.
Roskomnadzor a déclaré que les médias russes doivent étiqueter Meta et ses réseaux sociaux comme interdits lors de la diffusion d'informations et qu'il leur est interdit d'afficher leurs logos.
Dans le passé, la Russie a désigné des groupes tels que les talibans et l'État islamique comme « extrémistes », mais a ensuite étendu cela aux Témoins de Jéhovah et a emprisonné la Fondation anti-corruption du critique du Kremlin, Alexei Navalny.
Contexte
La Russie a déjà sévi contre les organes d'information et les plateformes sociales dans le cadre de son invasion de l'Ukraine, contestant les rapports de décès externes qui dépassent de loin son propre décompte et s'opposant aux descriptions de l'invasion comme une guerre plutôt qu'une « opération militaire spéciale. »
L'agence de régulation des technologies et des communications Roskomnadzor a partiellement bloqué Facebook pour avoir prétendument restreint les comptes des médias d'État, puis a bloqué Twitter peu après. Elle a exigé que Wikipédia supprime des rapports prétendument faux sur les pertes parmi les troupes militaires russes et les civils ukrainiens, y compris les enfants.
Plus récemment, elle a bloqué l'accès à la BBC et à d'autres sites d'information pour « atteinte à la stabilité et à la sécurité de la Russie », ce qui a conduit le média britannique à diffuser ses émissions sur ondes courtes. La BBC a ensuite annoncé qu'elle suspendait le travail de ses journalistes et de son personnel de soutien en réponse à l'adoption de la loi.
« Cette législation semble criminaliser le processus de journalisme indépendant, a déclaré le directeur général de la BBC, Tim Davie, dans un communiqué. Notre service d'information BBC News en russe continuera à fonctionner depuis l'extérieur de la Russie. La sécurité de notre personnel est primordiale et nous ne sommes pas prêts à les exposer au risque de poursuites pénales simplement pour avoir fait leur travail. »
C'est dans ce contexte que Meta a fait une annonce vendredi 11 mars : ses plateformes Facebook et Instagram vont autoriser les publications qui appellent à la mort du président russe Vladimir Poutine et du président biélorusse Alexandre Loukachenko. Deux catégories additionnelles d’expressions politiques qui violent en principe la politique desdites plateformes en matière de discours haineux, mais qu’elles vont autoriser sont : les appels à la violence contre les soldats russes lancés sur le terrain de l’opération militaire en Russie et de façon générale ceux contre les citoyens russes. Les courriels indiquent que les appels à la violence contre les Russes sont autorisés lorsque la publication parle sans détour de l'invasion de l'Ukraine avec des mentions comme « mort aux envahisseurs russes ».
La manœuvre a donc fait suite au blocage de Facebook par le régulateur des communications russe. Motif : recensement d’au moins 26 cas de discrimination contre les médias et les ressources d'information russes depuis octobre 2020. En réponse, le président de Meta chargé des affaires mondiales, Nick Clegg, avait tweeté : « Bientôt, des millions de Russes ordinaires se retrouveront coupés d'informations fiables, privés de leurs moyens quotidiens de se connecter avec leur famille et leurs amis et privés de leur liberté d’expression. Nous continuerons à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour restaurer nos services afin qu'ils restent disponibles pour que les gens puissent s'exprimer et s'organiser pour agir en toute sécurité. »
« Les cas de blocage d’accès à Facebook doivent être traités par les Nations Unies comme des crimes de guerre. C’est aussi dangereux que les menaces nucléaires : la liberté d’expression qui est un droit de l’Homme est menacée. Il est temps d'apprendre à nos enfants comment survivre en cas de telles catastrophes sur Internet », avait commenté un internaute. La décision russe de bloquer Facebook et Twitter est elle aussi fondée sur « la violation des droits fondamentaux des citoyens russes et la violation des principes clefs de la libre circulation de l’information. »
La décision a été accueillie avec indignation en Russie, où les autorités ont ouvert une enquête pénale contre Meta et les procureurs ont demandé vendredi à un tribunal de désigner le géant américain de la technologie comme étant une « organisation extrémiste ».
Aussi, un courriel du régulateur des communications de l'État a annoncé qu'Instagram allait être bloqué ce lundi 14 mars à minuit heure de Russie et a demandé aux utilisateurs de déplacer leurs photos et vidéos d'Instagram avant sa fermeture, les encourageant à passer aux « plateformes Internet compétitives » de la Russie.
Adam Mosseri, le responsable d'Instagram a déclaré que le blocage affecterait 80 millions d'utilisateurs : « Lundi, Instagram sera bloqué en Russie. Cette décision coupera 80 millions de personnes en Russie les unes des autres et du reste du monde, car environ 80 % des personnes en Russie suivent un compte Instagram en dehors de leur pays. Ceci est mal ».
Le message aux utilisateurs d'Instagram du régulateur des médias d'État, Roskomnadzor, décrit la décision d'autoriser les appels à la violence contre les Russes comme une violation du droit international. « Nous devons assurer la santé psychologique des citoyens, en particulier des enfants et des adolescents, pour les protéger du harcèlement et des insultes en ligne », a-t-il déclaré, expliquant la décision de fermer la plateforme.
L'implication sur le public russe
Au tribunal, un représentant de Meta a déclaré « qu'à la suite d'un débat public », l'entreprise avait maintenant changé sa politique et a estimé que « la russophobie et les appels à la violence contre les citoyens russes sont inacceptables ».
Les experts ont déclaré lundi qu'il n'était pas clair s'il était désormais illégal pour les Russes ordinaires de publier sur Facebook et Instagram.
Net Freedoms Project a déclaré que les Russes pourraient utiliser les médias sociaux de Meta « avec prudence » pour l'instant. Le défenseur des droits humains a noté que l'accusation a déclaré que les Russes ne peuvent pas être poursuivis pour avoir simplement utilisé les médias sociaux. « Cela signifie qu'il peut être sûr d'avoir des comptes et de publier sur Instagram et Facebook », a conclu Net Freedoms Project. Il a toutefois souligné que ceux qui achètent de la publicité sur Facebook et Instagram pourraient être poursuivis pour avoir financé une organisation extrémiste.
La commission d'enquête russe, qui enquête sur les crimes majeurs, a annoncé ce mois-ci qu'elle lançait une enquête « en raison d'appels illégaux au meurtre de ressortissants russes par des employés de la société américaine Meta ».
Meta compte des milliards d'utilisateurs dans le monde à travers ses applications.
L'année dernière, Facebook comptait 7,5 millions d'utilisateurs en Russie et WhatsApp en comptait 67 millions, selon les estimations du chercheur Insider Intelligence, tandis qu'Instagram a déclaré que son interdiction affecterait 80 millions d'utilisateurs en Russie. Pour de nombreuses petites entreprises russes, Instagram était une plateforme clé pour la publicité, le traitement des ventes et la communication avec les clients.
Les Nations Unies ont exprimé leur inquiétude face à la décision de Facebook d'assouplir temporairement sa politique en matière de discours violents après l'invasion de l'Ukraine par Moscou, avertissant que cela pourrait déclencher un « discours de haine » contre les Russes.
Qu'en est-il de WhatsApp ?
Il n'était pas immédiatement clair comment le service de messagerie WhatsApp pourrait continuer à fonctionner, puisque le tribunal a mis un terme aux activités commerciales de Meta. L'analyse du trafic Internet mobile de lundi a montré que Telegram, populaire en Russie depuis longtemps, a dépassé WhatsApp pour devenir l'outil de messagerie le plus utilisé du pays ces dernières semaines.
L'accusation a cherché à apaiser les craintes que les personnes qui trouvent des moyens de contourner les interdictions des services de Meta puissent faire face à des accusations criminelles : « Les individus ne seront pas poursuivis simplement pour avoir utilisé les services de Meta », a déclaré le Tass (acronyme de Telegrafnoïe aguentstvo Sovietskovo Soïouza, une des principales agences de presse de Russie) citant le procureur devant le tribunal.
Mais l'avocat des droits de l'homme Pavel Chikov a déclaré que ni le tribunal ni le procureur ne pouvaient garantir la sécurité des utilisateurs de Facebook ou d'Instagram, avertissant que tout affichage public de symboles Meta (sur les sites Web, les entrées des magasins, sur les cartes de visite) pourrait donner lieu à des frais administratifs et jusqu'à 15 jours de prison.
« Acheter des publicités sur les réseaux sociaux ou échanger des actions de Meta peut être considéré comme une activité de financement de l'extrémisme - c'est une infraction pénale », a-t-il écrit sur Telegram.
WhatsApp a peut-être été laissé seul en raison de l'étendue de son utilisation quotidienne par les Russes et par les agences gouvernementales et les entreprises publiques pour le support client, a déclaré Sarkis Darbinyan, chef du service juridique du groupe de droits numériques Roskomsvoboda.
Une autre raison est probablement d'éviter tout contrecoup. « Le gouvernement essaie de ne pas tout fermer d'un coup, mais progressivement, pour que les gens s'y habituent lentement », a-t-il déclaré. « Nous supposons que des services comme WhatsApp pourraient être bloqués à tout moment », a ajouté Darbinyan.
Sources : Tribunal de district de Tverskoi à Moscou, Nick Clegg (Meta)
Et vous ?
Que pensez-vous de cette décision ?
Hum...
D'après ce qu'on trouve sur différents sites, Slobodan Despot est un russophile avéré ayant des accointances avec l'extrême droite.
À étudier avec discernement.
Voir par exemple ici :
https://www.letemps.ch/suisse/slobod...kar-freysinger
Ou là :
https://pascaldecaillet.blog.tdg.ch/...mme-libre.html
La Russie bloque Google News pour avoir donné accès à des « informations non fiables » sur la guerre en Ukraine,
après avoir bloqué Facebook et Instagram
Le gouvernement russe a bloqué l'accès à Google News en Russie mercredi, citant des « informations non fiables » sur la guerre en Ukraine, selon le média d'État Interfax. L'ordre de bloquer Google News est venu du régulateur russe des télécommunications, officiellement connu sous le nom de Roskomnadzor, qui a déjà bloqué Facebook et Twitter environ une semaine après que la Russie a envahi l'Ukraine pour la première fois le 24 février. En fait, un tribunal russe a fait valoir que Facebook et sa société mère Meta est une « organisation extrémiste » dans la même ligue que l'ISIS.
Roskomnadzor, le régulateur russe des télécommunications, a interdit Google News, le service d'agrégation d'actualités d'Alphabet, et bloqué l'accès au domaine news.google.com pour avoir donné accès à des « informations non fiables » sur la guerre en cours en Ukraine.
« Sur la base d'une demande du bureau du procureur général russe, Roskomnadzor a restreint l'accès au service Internet News.Google dans le pays », a déclaré le gendarme de l'Internet russe à Interfax. « La source d'informations Internet américaine mentionnée a donné accès à de nombreuses publications et documents contenant des informations non fiables et d'importance publique sur le déroulement de l'opération militaire spéciale en Ukraine ».
Cette décision fait suite à la promulgation par le président russe Vladimir Poutine d'une nouvelle législation rendant illégale la diffusion de « fake news sciemment » sur les opérations de l'armée russe en Ukraine, introduisant des peines de prison pouvant aller jusqu'à 15 ans.
Plus tôt ce mois-ci, Roskomnadzor a demandé à Google d'arrêter les campagnes publicitaires diffusant des informations erronées concernant l'invasion russe de l'Ukraine sur les vidéos YouTube.
En réponse, Google a pris des mesures contre les campagnes de désinformation concernant l'invasion russe et a bloqué les chaînes YouTube appartenant à Russia Today (RT) et Sputnik en Europe à la demande de l'Union européenne. Kent Walker, President, Global Affairs d'Alphabet, tient régulièrement à jour un billet dans lequel il indique les actions de Google. Aussi, il s'est chargé d'annoncer ces mesures :
- nous poursuivons notre travail pour limiter considérablement les recommandations à l'échelle mondiale pour un certain nombre de médias financés par l'État russe sur nos plateformes. En Europe, nous supprimons les applications des médias russes financés par l'État autres que RT et Sputnik de Google*Play. Et comme stipulé par le règlement (UE) 2022/350 du Conseil de l'UE, nous avons supprimé RT et Spoutnik de nos résultats de recherche dans l'Union européenne. Dans le cadre de notre processus standard lorsque nous recevons un avis de contenu illégal apparaissant dans les résultats de recherche, et pour assurer la transparence de ces demandes, nous avons soumis la demande à la base de données Lumen ;
- suite à l'annonce la semaine dernière de la suspension des annonces Google en Russie, nous avons désormais suspendu la grande majorité de nos activités commerciales en Russie, y compris les annonces sur nos propriétés et nos réseaux dans le monde pour tous les annonceurs basés en Russie, les nouvelles inscriptions au Cloud, les paiements des fonctionnalités pour la plupart de nos services et des fonctionnalités de monétisation pour les utilisateurs de YouTube en Russie. Nous pouvons confirmer que nos services gratuits tels que Search, Gmail et YouTube fonctionnent toujours en Russie. Nous continuerons à suivre de près l'évolution de la situation.
Roskomnadzor a protesté contre la décision de YouTube, exigeant la suppression immédiate de toutes les restrictions d'accès aux comptes officiels des médias russes (y compris RT et Sputnik) à travers l'Europe :
« Roskomnadzor a demandé aux services Internet étrangers de mettre fin à la discrimination des médias russes en Europe. Roskomnadzor a envoyé des lettres aux administrations des services Internet YouTube et TikTok avec une demande de suppression immédiate des restrictions d'accès aux comptes officiels des médias russes introduites en Europe : RT et Spoutnik.
« Plus tôt, nous avons appris qu'à la demande des autorités de l'UE, l'administration de l'hébergement vidéo Youtube et le réseau social TikTok ont restreint l'accès aux comptes officiels d'un certain nombre de médias russes en Europe.
« Roskomnadzor demande à l'administration de YouTube et de TikTok de supprimer toutes les restrictions imposées dès que possible. De telles actions de l'administration d'hébergement vidéo violent fondamentalement les principes clés de la libre distribution de l'information, de son accès sans entrave et constituent une censure ouverte. Le ministère insiste sur l'inadmissibilité d'imposer des restrictions sur ces comptes ».
Twitter, Instagram et Facebook également bloqués
Le 26 février, le régulateur des télécommunications a notifié aux médias russes indépendants (à l'instar d'Ekho Moskvy, InoSMI, Mediazona, New Times, Dozhd, Svobodnaya Pressa, Krym. Realii, Novaya Gazeta, Journalist et Lenizdatnot) de ne pas diffuser de fausses informations sur le bombardement des villes ukrainiennes et de cesser d'appeler « l'opération militaire en cours » en Ukraine une attaque ou une invasion.
Roskomnadzor a bloqué l'accès à la BBC et à d'autres sites d'information pour « atteinte à la stabilité et à la sécurité de la Russie », ce qui a conduit le média britannique à diffuser ses émissions sur ondes courtes. La BBC a ensuite annoncé qu'elle suspendait le travail de ses journalistes et de son personnel de soutien en réponse à l'adoption de la loi.
« Cette législation semble criminaliser le processus de journalisme indépendant, a déclaré le directeur général de la BBC, Tim Davie, dans un communiqué. Notre service d'information BBC News en russe continuera à fonctionner depuis l'extérieur de la Russie. La sécurité de notre personnel est primordiale et nous ne sommes pas prêts à les exposer au risque de poursuites pénales simplement pour avoir fait leur travail. »
Plus tôt ce mois-ci, la Russie a également banni Instagram une semaine après avoir bloqué les réseaux sociaux Facebook et Twitter, suite aux demandes du bureau du procureur général.
Le tribunal de district de Tverskoi à Moscou a accédé à une demande des procureurs d'interdire les deux plateformes de médias sociaux pour avoir « mené des activités extrémistes ».
Lors de l'audience, le service de sécurité russe du FSB a accusé Meta de travailler contre les intérêts de Moscou et de son armée pendant le conflit.
« Les activités de l'organisation Meta sont dirigées contre la Russie et ses forces armées », a déclaré au tribunal le représentant du FSB, Igor Kovalevsky, dans un communiqué rapporté par les agences de presse russes. « Nous demandons (au tribunal) d'interdire les activités de Meta et de l'obliger à appliquer cette décision immédiatement », a-t-il déclaré.
Meta a annoncé que ses plateformes Facebook et Instagram allaient autoriser les publications qui appellent à la mort du président russe Vladimir Poutine et du président biélorusse Alexandre Loukachenko. Deux catégories additionnelles d’expressions politiques qui violent en principe la politique desdites plateformes en matière de discours haineux, mais qu’elles allaient autoriser sont : les appels à la violence contre les soldats russes lancés sur le terrain de l’opération militaire en Russie et de façon générale ceux contre les citoyens russes. Les courriels indiquent que les appels à la violence contre les Russes sont autorisés lorsque la publication parle sans détour de l'invasion de l'Ukraine avec des mentions comme « mort aux envahisseurs russes », précisant toutefois que des menaces crédibles contre des civils n'allaient pas être autorisées. Dans ce qui semblait être un contrôle des dégâts, le président des affaires mondiales de Meta, Nick Clegg, a déclaré plus tard que ces règles plus souples ne s'appliqueraient qu'aux personnes postant depuis l'intérieur de l'Ukraine.
Roskomnadzor a déclaré que les médias russes doivent étiqueter Meta et ses réseaux sociaux comme interdits lors de la diffusion d'informations et qu'il leur est interdit d'afficher leurs logos.
Au tribunal, un représentant de Meta a déclaré « qu'à la suite d'un débat public », l'entreprise avait maintenant changé sa politique et a estimé que « la russophobie et les appels à la violence contre les citoyens russes sont inacceptables ».
Meta compte des milliards d'utilisateurs dans le monde à travers ses applications.
L'année dernière, Facebook comptait 7,5 millions d'utilisateurs en Russie et WhatsApp en comptait 67 millions, selon les estimations du chercheur Insider Intelligence, tandis qu'Instagram a déclaré que son interdiction affecterait 80 millions d'utilisateurs en Russie. Pour de nombreuses petites entreprises russes, Instagram était une plateforme clé pour la publicité, le traitement des ventes et la communication avec les clients.
WhatsApp autorisé en Russie
Il n'était pas immédiatement clair comment le service de messagerie WhatsApp pourrait continuer à fonctionner, puisque le tribunal a mis un terme aux activités commerciales de Meta. L'analyse du trafic Internet mobile de lundi a montré que Telegram, populaire en Russie depuis longtemps, a dépassé WhatsApp pour devenir l'outil de messagerie le plus utilisé du pays ces dernières semaines.
L'accusation a cherché à apaiser les craintes que les personnes qui trouvent des moyens de contourner les interdictions des services de Meta puissent faire face à des accusations criminelles : « Les individus ne seront pas poursuivis simplement pour avoir utilisé les services de Meta », a déclaré le Tass (acronyme de Telegrafnoïe aguentstvo Sovietskovo Soïouza, une des principales agences de presse de Russie) citant le procureur devant le tribunal.
Mais l'avocat des droits de l'homme Pavel Chikov a déclaré que ni le tribunal ni le procureur ne pouvaient garantir la sécurité des utilisateurs de Facebook ou d'Instagram, avertissant que tout affichage public de symboles Meta (sur les sites Web, les entrées des magasins, sur les cartes de visite) pourrait donner lieu à des frais administratifs et jusqu'à 15 jours de prison.
« Acheter des publicités sur les réseaux sociaux ou échanger des actions de Meta peut être considéré comme une activité de financement de l'extrémisme - c'est une infraction pénale », a-t-il écrit sur Telegram.
WhatsApp a peut-être été laissé seul en raison de l'étendue de son utilisation quotidienne par les Russes et par les agences gouvernementales et les entreprises publiques pour le support client, a déclaré Sarkis Darbinyan, chef du service juridique du groupe de droits numériques Roskomsvoboda.
Une autre raison est probablement d'éviter tout contrecoup. « Le gouvernement essaie de ne pas tout fermer d'un coup, mais progressivement, pour que les gens s'y habituent lentement », a-t-il déclaré. « Nous supposons que des services comme WhatsApp pourraient être bloqués à tout moment », a ajouté Darbinyan.
Sources : Interfax, Google
Il est beau l’humanisme, chez chez Meta Facebook - Instagram !!!Meta a annoncé que ses plateformes Facebook et Instagram allaient autoriser les publications
qui appellent à la mort du président russe Vladimir Poutine et
du président biélorusse Alexandre Loukachenko.
Quel gros racho ce Mark Zuckerberg !!!
Et ceux qui appellent à la mort du président des États-Unis, Joe Biden ????
Il les publie ????
Ben non camarade tristounet et en colère ! Google, c'est le Camp du Bien Progressiste et Inclusif...
https://www.nouvelobs.com/monde/2013...-de-morts.html
Il est amusant que l'on reparle de cet ouvrage car Gérard Chaliand l'a aussi évoqué dans une de ses interview récentes à l'ORTF française. Et pour cause, il a écrit la préface de l'édition française chez Hachette, que j'ai dans ma bibliothèque depuis 2003, 9.20€ à la Fnac.
Et effectivement Hillard dit vrai , l'explication se trouve chapitre deux : Zbigniew Brzeziński, qui est un ancien conseiller à la sécurité nationale de la maison, donc tout au sommet du pouvoir, explique que les Etats-Unis doivent arracher l'Ukraine à la Russie afin que ce cette dernière ne soit plus un empire, et également pratique un containment strict. Ce livre paru vers 1997 annonce déjà les multiples révolutions de couleurs en Ukraine (2008, 2014), en Géorgie et ailleurs, quitte à ce que cela soit un peu violent et que cela se voit.
Comme les sites web des "révolutionnaires" comme Pravy Sektor hébergés sur les serveurs de l'OTAN à Bruxelles, ou Victoria Nuland faisant un gros doigt à l'europe et distribuant des croissants ... à des gens qu'elle condamnait à mort.
Brzeziński, est un de ces monsieurs dressant des plans de conquête du monde sur le coin d'une table, entre la poire et le fromage sous couvert de destinée manifeste et de droits de l'homme. Accessoirement c'est en partie dû à ce personnage que nous devons la croissance fulgurante du djihadisme international, les Ben Laben et les tours du WTC. Il s'en vante même dans quelques interviews parus dans la presse française.
Ajoutons que l'Ukraine ne concerne qu'une partie de l'ouvrage, l'auteur y développe surtout sa thèse qui est que l'eurasie et ses milliards d'habitants sont le coeur du monde, le heartland. Et qui contrôle le heartland contrôle le monde, ainsi l'auteur propose que les états-Unis s'en assurer le contrôle, fut-ce de manière coercitive, puisqu'ils sont désormais les gendarmes du monde (nous sommes en 1997).
Vous vous souvenez de discours sur le gendarme du monde, puis sur l'hyperpuissance, quand les USA se sont transformés en état-voyou. Et bien c'est tout à fait normal, c'est cela l'impérialisme comme le dit explicitement Chaliand dans sa préface sans que cela ne le choque ouvre mesure.
Il est dommage que cet ouvrage n'ai pas réveillé quelques élites françaises, car l'auteur consacre aussi quelques pages à ce beau pays. Par contre en Chine, en Russie, et en Corée du Nord, on l'a lu visiblement, car depuis on construit les nouvelles routes de la Soie.
Et s'il y a Chaliand chez nous, un autre franc-tireur commence a faire parler de lui aux états-unis, le colonel Mac Gregor qui a un sacré bagage lui aussi
Mais quel est le rapport avec l'Ukraine et ce qu'il dit sur l'ukraine, ou le bouquin de Brezinski ?
Slobodan Despot est originaire de Serbie. En mars 1999, la Serbie a été bombardée pendant 78 jours par les avions de l'OTAN sans que l'OTAN ait obtenu le moindre accord de l'ONU et sans que l'OTAN ait été menacé par la Serbie... Plus de 2 500 civiles serbes sont morts sous les bombes de l'OTAN, cette organisation qui se présente comme une organisation purement "défensive"
Il n'est donc pas surprenant que Slobodan Despot soit... russophile... D'autant plus que seuls les russes sont venu au secours de la Serbie
Mettre sur le même plan Biden et Poutine, c'est un signe d'humanisme par contre ?
Biden ne massacre aucune population civile.
Sinon, t'aurais été aussi du genre à trouver scandaleux, inhumain, d'appeler à la mort d'Hitler en 1942 ?
Parce que les deux sont des super ordures hein.
Poutine n'a aucune pitié, aucune empathie, y compris pour ses propres soldats qui meurent par milliers. Pour moi, Facebook a raison de ne pas censurer ça. Mon humanisme, je le garde pour les populations civiles massacrées et pour les soldats morts ou blessés des deux côtés, pas pour celui qui a ordonné cette tuerie de masse.
Le monde se portera beaucoup mieux le jour où ce sale type aura passé l'arme à gauche. Évidemment, l'idéal serait qu'il se retrouve devant un tribunal international et qu'il prenne pour perpette. Mais si sa mort peut permettre de mettre fin à ce bain de sang, on prend quand même, non ?
Tous les présidents américains ont fait cela, sauf Trump et pas encore Biden
Il faut savoir que de 2015 à 2022 l'ukraine menait une guerre pas propre dans le donbass et massacrait des civils.
Je vous invite a écouter le discours de petro porochenco qui a promis une guerre total a ces populations !
Les milices financé par les américains qui ont fait un coup d'état en 2013, c'était des néonazies, ils ont tagué des croix nazies dans toute la mairie de kiev a l'époque. C'était bien des groupes néo nazies financer par les USA et l'europe pour se débarrasser des russes et faire rentrer à terme l'ukraine dans l'otan et l'ue.
Le but de l'ue était évidement d'exploiter les ukrainiens, les salaires étant plus bas qu'un salaire chinois, l'accord prévoyait une libre circulation des marchandises mais pas des populations (évidement lol). Avec en plus un plan d'austérité très sévère car le pays à l'époque était en défaut de paiement.
Je ne sais pas si Poutine a eu raison ou tort de mener cette opération militaire mais l'UE et les USA ont tout fait pour que cela arrive. Faire de l’Ukraine un état neutre et donner Sébastopol à la Russie ça aurait clairement évité cette guerre.
J'ai trouvé une vidéo qui explique les fait et nuance les propos des 2 camps. Le monde n'est pas binaire avec russes = méchants, ukrainiens et occident = gentils
Si demain macron me demandait de me battre pour l’Ukraine je ne le ferai pas et je déserterais. Je suis pas pro occident, ni pro russe, je suis clairement anti américain.
Mon utopie c'est un monde multi polaire ou les pays ne sont pas esclave des américains, russes ou chinois. Avec des échangent commerciaux gagnants gagnants sans entourloupe.
Ça me fait mal de le dire mais au vu des expériences passé, les russes sont largement plus honnête en business que ne le sont les américains et les chinois. Tous nos deals avec les russes ont été gagnant gagnant sans entourloupe.
Les occidentaux ont bloqué les chaines russes en disant que c'est de la propagande et des fakenews, la Russie fait la même chose avec les organes de presses occidentales. Est-ce que ça choque quelqu'un ?
Guerre dû au soutien des Russes
Bon et à première vue les Russes ne sont pas très vu comme des libérateurs.
Et pour ce qui est sale,je me demande comment tu qualifies ce qui se passe maintenant...
D'après Poutine, il y a 40 millions de nazis en Ukraine...Les milices financé par les américains qui ont fait un coup d'état en 2013, c'était des néonazies,
Ils le font avec leurs propre média aussi
Quasi aucune image de guerre dans les médias russes.
Bon pas été convaincu du blocage. Mais bon c'est pas vraiment des chaînes russes mais plutôt de la propagande russe.
Non, IFOR, KFOR et EUFOR étaient des missions sous l'égide de l'ONU. Les bombes, elles, étaient un "cadeau" 100% OTAN! Les bombardements de la Serbie ont été mené sans l'accord de l'ONU.
Et pour votre information, la KFOR existe toujours: Cette mission de l'ONU est présente actuellement au Kosovo avec environ 4 000 soldats issus des pays suivants: États-Unis, Italie : 542, Autriche : 450, Allemagne : 440, Hongrie : 385, Turquie : 291, Pologne : 252, Slovénie : 241 et Suisse : 235
L'ukraine est un pays souverain, ils font leur propres choix eux même. Et je vois pas pourquoi l'ukraine devrait leur offrir la crimée. On est pas en train de bombarder les anglais pour récupérer jersey, et on envoie pas les tanks en italie pour savoir a qui appartient le sommet du mont blanc
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