La tu me fais de la peine, que tu trolles et que tu insultes les gens soit, c'est la norme sur le net, mais pas avec ça, tu te rends compte à quel point tu as l'air ringard et ridicule ?
Pourquoi ne pas traiter les gens qui osent rire de tes propos ridicules de péquenaud, ploucs, bouseux ou cul-terreux pendant que tu y es ?
Je ne sais pas moi, fait comme les nouveaux trolls arrivés depuis peu sur ce forum, par exemple traite les gens de "Woke"
C'est trop fort, un original prétendant qu'il faille envoyer les syndicalistes en camps de concentration ou que Didier Raoult est l'émule de Enver Pacha m'acuse de troller. Vite des sels.
Certes je ne fais pas jeune et jolie comme Bruno Attal, je ne suis pas une michetoneuse. Je ne suis pas de cette époque.
Et bien je vais vous faire la même réponse qu'à l'autre. Qu'ai-je à faire des remarques de deux culs terreux ou des paysans jamais sortis de leur village et dont la lecture se limite à Union, Libération le journal des khmers rouge et Merdiapart, le journal des fonds de cuvette de la Macronie et du trotskyste Plenel ? Pas très catholique tout ca.
Quand ils liront Wired ou suivront l'actualité de la Silicon Valley, au lieu de répondre par des remarques digne de France Inter et des gloussements de nez, quand il me demanderont doctement "Mais pourquoi dites-vous cela ?", je prendrais acte.
Vous n'êtes pas Woke, votre cas est bien plus grave.
ce que je nomme "wokisme": des séries/films créer dans l'unique but d'y mettre en avant des femmes/gays/trans/noirs (mais jamais des asiatique non non non osef des chinetok jaune hein....)
créer sans aucune ambition scénaristique, sans aucune construction de personnage.
On a des femmes forte et indépendante sans aucun défaut qui combat des méchants hommes blancs sans aucune difficultés.
Bref on se fait super chier y'a aucun internet à regarder ces œuvres.
le petite sirène live action est un très beau exemple, c'est d'ailleurs assez marrant de voir des noirs nobles dans les caraïbes a cette époque, l'esclavage ca n'a jamais existé visiblement...
des femmes, des gays et des noirs y'en a eu pleins de tres bon, je pense à jodie foster tres bonne actrice et réalisatrice
Je pense à Neil deGrasse Tyson, grand scientifique qui a marqué 1 génération à la télé avec les mystere de l'univers.
bref suffit d'avoir du talent pour faire de bonne chose, la couleur de peau ou le sex les gens ils s'en foute si il voit un travail de qualité.
X n’a pas payé d’indemnités de départ. Plus de 2 200 anciens employés poursuivent l'ancien Twitter,
les frais d'arbitrage s'élèvent à plus de 3 millions de dollars, sans compter les indemnités elles-mêmes
X, le réseau social autrefois connu sous le nom de Twitter, est dans la tourmente. La société d'Elon Musk est poursuivie par 2 200 anciens employés qui réclament leurs indemnités de licenciement, ainsi que les frais de dépôt liés à leurs procédures d’arbitrage. Le montant total de ces frais pourrait s’élever à 3,5 millions de dollars, sans compter les indemnités elles-mêmes. Les montants d'arbitrage ont été révélés dans un nouveau dossier déposé lundi dernier dans le cadre d'un procès devant un tribunal de district du Delaware. L'affaire oppose Chris Woodfield à Twitter, X Corp. et Elon Musk.
Tout a commencé en octobre dernier, lorsque Musk a racheté Twitter et a licencié plus de la moitié de ses employés, soit environ 6 000 personnes. Il leur a promis au moins deux mois de salaire plus une semaine de salaire par année passée dans l’entreprise. Mais des milliers d’entre eux affirment n’avoir pas reçu un seul centime, et ont depuis déposé plusieurs plaintes pour obtenir leurs avantages promis.
Pour être plus précis, les anciens employés accusent Twitter de les avoir licenciés sans motif valable, sans préavis ni indemnité, et de les avoir privés de leurs droits à l’actionnariat et aux avantages sociaux. Ils affirment également que Twitter a violé la loi fédérale sur les notifications de licenciement collectif (WARN Act), qui oblige les employeurs à informer les travailleurs et les autorités locales au moins 60 jours avant un licenciement massif.
Twitter a justifié les licenciements par la nécessité de réduire ses coûts et de se restructurer face à la concurrence croissante des autres plateformes sociales. Le propriétaire de Twitter, Elon Musk, a également invoqué la baisse du nombre d’utilisateurs actifs mensuels de Twitter, qui est passé de 330 millions en 2020 à 280 millions en 2023, selon les données de Statista.
Les demandes d’arbitrage sont une forme alternative de résolution des conflits qui évite les tribunaux et se déroule devant un arbitre neutre. Les employés de Twitter ont signé des clauses d’arbitrage obligatoire lors de leur embauche, ce qui signifie qu’ils ont renoncé à leur droit d’intenter une action collective en justice contre l’entreprise.
Toutefois, les clauses d’arbitrage peuvent se retourner contre les employeurs lorsque le nombre de plaintes individuelles est élevé, car cela implique des frais et des ressources importants pour les traiter.
L’une de ces plaintes, déposée plus tôt cette année, invoque une clause d’arbitrage dans les contrats des employés qui oblige la société X à payer 1 600 dollars de frais d’arbitrage par affaire à deux parties, mais ne demande aux anciens employés de payer que 400 dollars. Avec plus de 2 000 affaires, la facture d’arbitrage du réseau social s’élève à près de 4 millions de dollars. X aurait refusé de payer ces factures également, arguant qu’il n’a pas exigé que les anciens employés résolvent leurs différends par arbitrage. Cette fois-ci, les ex-salariés ont déposé une autre plainte demandant à la société de payer les frais liés à leur dépôt initial.
Le cas Chris Woodfield contre X
Woodfield, un ancien ingénieur réseau senior qui avait travaillé au bureau de Twitter à Seattle, allègue dans sa plainte que le Twitter de Musk (maintenant connu sous le nom de X) avait promis, puis n'avait pas payé son indemnité de départ, et, plus tard, a retardé le règlement alternatif des différends en ne payant pas les frais nécessaires pour avancer dans le système d'arbitrage JAMS.
Selon le site Web de JAMS, « Pour les affaires bipartites, les frais de dépôt sont de 2 000 $ » et « Pour les affaires fondées sur une clause ou un accord requis comme condition d'emploi, l'employé n'est tenu de payer que 400 $. »
Puisque JAMS a décidé que ces frais de base s’appliquaient à tous les niveaux aux 2 200 cas d’arbitrage de X, cela s’élèverait à environ 3,5 millions de dollars, et d’autres frais pourraient éventuellement suivre.
Les avocats de l’entreprise ont fait valoir qu’elle n’avait pas mandaté ses employés pour résoudre les problèmes en arbitrage, et qu’elle ne devrait donc pas supporter la plus grande partie des frais de dossier.
Pendant ce temps, Woodfield et d’autres personnes se trouvant dans une situation similaire tentent de se retirer de l’arbitrage et de porter leur affaire en justice.
Comment la situation en est arrivée là
Au cours des derniers mois, Elon Musk a licencié un pourcentage énorme d'anciens employés de Twitter. Lorsqu'il a repris l'entreprise, celle-ci comptait environ 7 500 employés. En un mois, ce nombre était plus proche de 2 500. Un rapport récent indique que l'entreprise compte environ 1 000 employés. Donc, environ 6 500 employés sont partis.
Autre point important : une partie du contrat d'achat que Musk a signé était que les employés sous la propriété de Musk obtiendraient des « avantages sensiblement comparables » à ce qu'ils avaient sous l'ancienne société, y compris les indemnités de départ.
Bien sûr, pendant un certain temps, Musk, qui a verbalement promis trois mois d'indemnités (ce qui était inférieur à ce que l'entreprise avait proposé auparavant, et en réalité un mois seulement, puisque les deux premiers mois étaient requis par la loi WARN, et constituaient en fait le salaire, puisqu'il devait donner un préavis de 60 jours pour un licenciement) a refusé de fournir aux employés toute documentation relative à l'indemnité de départ. Puis, quand la documentation est finalement arrivée, c'était bien moins que ce à quoi ils s'attendaient. Elle comprenait également des clauses de confidentialité et l'abandon de droits légaux.La société mère doit, ou doit faire en sorte que la société survivante ou l'un de ses affiliés fournisse à chaque employé continu (i) au moins le même salaire de base et le même taux de salaire, (ii) des opportunités de rémunération incitative cibles à court et à long terme qui ne sont pas moins favorables dans l'ensemble que ceux fournis à chacun de ces employés continus immédiatement avant l'heure d'entrée en vigueur (à condition que la société mère ne soit pas obligée de fournir de telles incitations sous la forme d'actions ou d'attributions fondées sur des actions) et (iii) les avantages sociaux (à l'exclusion actions et attributions fondées sur des actions) qui sont sensiblement comparables dans l'ensemble (y compris en ce qui concerne la proportion du coût de l'employé) à celles fournies à cet employé continu immédiatement avant l'heure d'entrée en vigueur. Sans limiter la généralité de ce qui précède, pendant la période de continuation, le parent doit fournir ou faire en sorte que la société survivante ou l'un de ses affiliés fournisse des indemnités de départ et des avantages à chaque employé continu dont l'emploi est résilié pendant cette période qui ne sont pas moins favorables que celles applicables à l'employé restant immédiatement avant l'heure d'entrée en vigueur en vertu des régimes d'avantages sociaux de l'entreprise.
De nombreux employés ont choisi de lutter contre cela, notamment en poursuivant l'entreprise. Mais, ces vieilles clauses d'arbitrage embêtantes signifiaient que certaines des poursuites étaient rejetées, le juge disant aux employés qu'ils devaient plutôt recourir à l'arbitrage.
Beaucoup d'entre eux ont choisi de le faire : plus de 2 200 employés ont opté pour cette méthode.
Les avocats de Twitter ont demandé l'assistance de JAMS
Dans une lettre adressée à Sheri F. Eisner, Senior Vice President, General Counsel de JAMS, un cabinet qui propose des services de médiation, d'ADR (Alternative Dispute Resolution) et d'arbitrage, les avocats de Twitter ont demandé de l'assistance :
Sources : plainte, frais d'arbitrage de JAMSChère Madame Eisner,
Conformément à la règle 6 des règles et procédures d'arbitrage en matière d'emploi de JAMS (« règles »), l'intimé X Corp., en tant que successeur dans l'intérêt de l'intimé Twitter, Inc. (« Twitter »), soumet cette demande de protocole de découverte universelle en relation avec environ 2 000 demandes d'arbitrage substantiellement similaires (et dans de nombreux cas, identiques).
Compte tenu des réclamations juridiques et des allégations factuelles identiques et/ou qui se chevauchent dans ces milliers d'affaires en cours, un plan de découverte coordonné et universel est impératif pour plaider ces affaires de manière efficace, efficiente et équitable. Une coordination réfléchie en amont de toutes les questions en suspens se traduira par des résolutions plus rapides, tout en évitant les préjudices, les charges excessives et le gaspillage de ressources et de dépenses pour les parties et JAMS. En effet, un plan coordonné et universel est le seul moyen pratique de résoudre un si grand nombre de questions d'arbitrage similaires.
La proposition de Twitter ne préjuge ni ne limite autrement la capacité de tout demandeur individuel à poursuivre ses réclamations ; au lieu de cela, les concepts de la proposition de découverte de Twitter, tels que décrits plus en détail ci-dessous, offrent à chaque demandeur individuel plus de découvertes que ce à quoi il a droit en vertu des règles de JAMS.
Pour ces raisons, Twitter demande l'assistance de JAMS, conformément à ses règles, pour mettre en œuvre un protocole de découverte coordonné dans toutes les affaires similaires contre Twitter (et tous les répondants). En effet, Twitter a déjà conclu un accord sur un protocole de découverte universel avec les cabinets Bloom/Dixon, qui représentent collectivement des dizaines de demandeurs dans les affaires en cours.
Et vous ?
Que pensez-vous de la gestion de X ? D'ailleurs, Linda Yaccarino, nouvelle PDG de X, dirige-t-elle réellement X ou est-ce Elon Musk ?
Croyez-vous que X puisse survivre à la concurrence et aux poursuites judiciaires ? Quelles sont les forces et les faiblesses de la plateforme ?
Que pensez-vous de l’arbitrage comme moyen de résoudre les conflits entre les employeurs et les employés ? Est-ce équitable ou injuste ?
le patron Musk oblige le retour au bureau mais ne paie pas le loyer de ces locaux...
il vire comme un malpropre tous le monde et évidement il ne respecte pas les lois...
Musk avec twitter agit comme un brigand et à le cliché parfait du gros connard de patron et d'une crapule.
Parce que tu regardes de mauvaises fictions qui justement appuient sur le coté "woke" parce que c'est leur seul argument de vente.
Il y a de très bonnes fictions qui sont "woke" et qui sont mes préférées.
The good place la série que je me lasse pas de regarder quand je veux avoir un bon moral.
Arcane et L'attaque des titans (ce sont des dessins animés mais ça vaut le coup de les regardés, surtout Arcane qui a une ambiance graphique dont je me lasse pas.
Everything, everywhere, all at once. (J'avais vu Dr Strange multiverse of madness quelques mois avant et j'avais été déçue, ça montre bien plus de folie et d’imagination tout en restant un tout cohérent)
C'est les 4 qui me viennent à l'esprit maintenant mais il y en a bien d'autres.
Tu ne peux pas juste te baser sur quelques "œuvres" de merde pour en conclure que le fait de ne montrer que des hommes blancs dans des films ou série est la seule façon d'avoir une fiction de qualité (et même avec que des hommes blancs en personnages principaux il y en a un paquets de navets, personne n'en a jamais conclu que l'anti "woke" c'était mal)
Bref arrête de faire une fixette sur cette étiquette, et regarde de la qualité.
j'ai donné des exemples avec des femmes et des noirs donc bon je comprends pas ton commentaire....
les gens en on juste ras la couettes de ces productions de merde juste pour faire bonne pensée on protège les noirs et lgbtq++++
la petite sirène, blanche neige et les 7 nains qui sera un jolie four, captain marvels, la iron man fille.... ils mettent des noirs et des filles sans scénarios, sans rien d'autres que juste mettre une femme, forcément sa bide et sa agace tous le monde.
les personnages sont creux, vide et inintéressant.
le % de ces productions nul mais nul sont largement > aux bonnes.
je n'ai jamais dit que les films d'homme blanc badass bien musclé à la rambo c'était mieux (exception de rambo 1 c'est un chef d'œuvre car c'est pas juste un ts de muscle avec des flingues). c'est tout aussi délétère.
les films doivent se renouveler, c'est chiant d'avoir des gentils américains et des méchants russe/chinois ou terroriste arabes.
ou des femmes forte et indépendante avec 0 défauts.
chatgpt sait très bien faire ce genre de film...
Les exemples que tu as nommé par exemple ce sont juste des repompages. En vrai combien de reboot/reprise/reshoot que tu connais qui ne serais ce que s'approche de l’œuvre originale qui a connu du succès ?
Même pas 1%.
Et tu prends un style de film qui a même pas 1% de résultat qui soit de bonne qualité pour en tirer une conclusion sur le mode de casting.
Je suis pas d'accord sur cette méthode.
J'ai pas envie de revoir une énième version de la petite sirène, de blanche neige, ect .. La couleur de la peau des acteurs n'y change rien. Il me faudrait soit l'assurance d'une vision de la production sur le personnage (et non la couleur de peau ne change pas pour moi l'essence d'un personnage ni en bien ni en mal) qui approfondirait l’œuvre originale sans la dénaturer.
Et je sais déjà que ça n'arrivera pas.
Mais le problème ne vient pas du fait qu'il y a des femmes et des noirs dans les exemples que tu cites. Le problème vient que c'est des productions de merde. Qu'il y ait des femmes/ des noirs/des LGBT++++ ne change rien à l'affaire. D'ailleurs il sort aussi autant de navets sans ces catégories (mais ça c'est normal, ça ne te gène pas ?).
Je ne suis pas d'accord avec toi parce que tu attribue la piètre qualité de ce genre de production au fait que ce soit "woke".
Je te dis que ce n'a rien à voir il y a de très mauvaises "œuvres" qui ne sont pas "woke" et de très bonnes qui le sont.
Être "woke" ne rendra pas un truc pourri potable et inversement ce qui est bien ne deviendra pas mauvais si c'est plus inclusif.
Tu attribue la mauvaise cause à tes reproches sur la qualité. Si les personnages sont creux vides et inintéressants c'est juste que le scénario ne vaut rien.
Le problème vient plus que les producteurs essayent de tirer le plus possible d'argent des licences qu'ils possèdent en rajoutant des reprises ad nauseam. C'est une chose qui m'agaçait déjà dans les années 90 et ça n'avait rien à voir avec le "wokisme"
J'espère que cette fois ci tu comprendras mon commentaire
car c'est justement le but de ces œuvres, faire du woke sans rien d'autres dans le cahier des charges, c'est ca que je critique !
ces productions n'ont aucun intérêt autre que d'améliorer le score ESG des entreprises.
Aujourd'hui la population au global ca leurs casse les couilles, les dernière prods de disney sont des échecs commercial au point de mettre disney en deficit, la pub de budlight avec un travestie a fait dégringoler la marque au point de fermer des usines et mettre au chômage des ouvriers, ou encore Maybelline boycotté par les femmes de dégouté ayant montré un homme barbu se badigeonner de rouge à lèvre comme un gros dégelasse.
grâce au pouvoir de l'argent que possède le consommateur, je suis bien content que les entreprises vont arrêter cette mode stupide, blanche neige et les 7 créatures magique va avec de la chance ne jamais voir le jours et les boites vont arrêter de mètres des travesties en train de boire de la bière ou autres horreurs.
oui, il y'a de bonnes œuvres woke, mais j'en ai juste ras le bol des œuvres qui n'ont que ca dans le cahier des charges et sont de gros navets.
mais j'en ai marre aussi des films de super héros à la marvel, c'est chiant
et il y'a 20ans j'en avais marre des films de muscles avec stalones, arnold, chuck norris...etc...
c'est une mode qui passera comme les autres.
Mais pourquoi ces entreprises changeraient elles?
Parce que les fans boys/girls vont regarder et s'extasier devant tant d'inclusivité
parce que les hatewatchers vont regarder pour se révolter contre la wokisation du monde sur les "Stallonades" des 2020's.
Pendant que M. ToutLeMonde et les concerné.e.s fuient ces merdes comme la peste et prient tout le monde de les ignorer pour réduire leur attractivité perçue.
Pandant que Netflix se rejoui de maintenir un public à peu de frais et Twitter se réjoui de créer du trafic.
Puis c'est ce qui leur sert de prétexte pour faire des reboot actuellement mais il y a eu la période ou Disney refaisait leur DA avec des animaux, une période ou tout était refait en 3D. Quand ça ne sera plus la mode ils feront des reprises sous un autre prétexte tant qu'il y aura des gogos qui se rendront pas compte que c'est juste du repompage sans saveur.
X accepte d'entamer des négociations avec les salariés licenciés après plus de 2 000 demandes d'arbitrage
les plaignants réclament les indemnités de départ promises par leur ancien employeur
Elon Musk, propriétaire de X (ex-Twitter), se montre pour la première fois flexible face aux revendications des ex-employés licenciés sans indemnités de départ. L'homme d'affaires aurait finalement accepté de négocier un accord à l'amiable avec ces travailleurs dans le cadre de plus de 2 000 demandes d'arbitrage visant X. Ces demandes représenteraient plus de 3,5 millions de dollars rien qu'en frais de dossier, mais un procès pourrait ne pas être la meilleure option pour X. Musk, qui a fait la sourde oreille face à ces revendications depuis plusieurs mois, semble désormais dos au mur et risque de perdre énormément d'argent en l'absence d'un arrangement à l'amiable.
Il y a un peu plus de 10 mois que Musk a officiellement racheté Twitter. La plateforme de médias sociaux a ensuite été rebaptisée X et est aujourd'hui détenue par une entreprise du nom de X Corp. Dans les semaines et les mois qui ont suivi cette prise de contrôle tumultueuse, des milliers d'employés de Twitter inc. ont été licenciés par Musk. Il y a lieu de souligner que ces licenciements se sont déroulés dans un chaos total, allant jusqu'à faire perdre plusieurs annonceurs à la plateforme. On estime à environ 1 500 le nombre de personnes restées chez X sur les quelques 8 000 qui travaillaient à l'époque où le réseau social n'avait pas encore été racheté par Musk.
Depuis, ces anciens employés attendent les indemnités de licenciement qui leur ont été garanties par leur ancien ancien employeur. Mais selon un nouveau rapport de Bloomberg, l'attente pourrait bientôt prendre fin. Un avocat représentant près de 2 000 ex-employés affirme que X a finalement accepté de considérer les plaintes. La société chercherait à trouver un accord concernant la multitude de plaintes déposées, dont les frais d'enregistrement pour ce seul volume d'affaires pourraient s'élever à 3,5 millions de dollars. Le rapport indique que le média a obtenu la note de l'avocat auprès d'un ancien employé de Twitter licencié après l'arrivée de Musk.
« Après dix mois de pressions tous azimuts, nous avons réussi à amener Twitter à la table des négociations. Twitter souhaite entamer une médiation avec nous dans le cadre d'une tentative globale de règlement de toutes les plaintes que nous avons déposées », explique l'avocate Shannon Liss-Riordan dans un courrier adressé à ses clients. X Corp. se conformerait dans ce cas à une ordonnance de médiation précédemment émise tribunal. Selon le mémo cité par le rapport, des négociations privées avec un médiateur sont prévues pour les 1er et 2 décembre prochains. Un accord à l'amiable éviterait à X d'avoir à faire face à d'innombrables accusations.
Les allégations portées contre X vont de la violation de la loi californienne WARN (Worker Adjustment and Retraining Notification) qui exige qu'un préavis approprié soit donné pour un licenciement collectif prévu, à la discrimination en matière de licenciement, en passant par l'affirmation selon laquelle l'entreprise était redevable de 500 millions de dollars d'indemnités de départ contractuellement obligatoires qui n'avaient pas été payées. Naturellement, ces poursuites ont été suivies d'autres allégations selon lesquelles X ignorait les demandes d'arbitrage déposées par des employés qui tentaient d'obtenir leurs indemnités de licenciement et de régler d'autres plaintes.
L'accord de médiation intervient quelques semaines après que Liss-Riordan a intenté une action en justice contre X début juillet, accusant l'entreprise d'avoir refusé de payer pour l'arbitrage alors qu'elle avait déjà demandé à ses ex-employés de recourir à l'arbitrage plutôt qu'à la procédure judiciaire. « Twitter a refusé de s'engager dans une procédure d'arbitrage, bien qu'elle ait contraint les employés à arbitrer leurs plaintes », peut-on lire dans la plainte déposée auprès du tribunal de district des États-Unis pour le district nord de la Californie. Pour contraindre X à payer ces frais, Liss-Riordan a déposé plusieurs recours collectifs au nom d'anciens employés.
« Nous pensons que tous les employés qui travaillaient chez Twitter avant qu'Elon Musk ne rachète l'entreprise et qui ont perdu leur emploi ont droit à une indemnité de départ supplémentaire, et beaucoup d'entre eux ont également d'autres revendications juridiques », a déclaré le cabinet de Liss-Riordan. Les règles des services d'arbitrage et de médiation judiciaires exigent que l'employeur paie les frais d'arbitrage, mais selon Liss-Riordan, X a demandé le 2 juin que tous les frais d'arbitrage soient partagés à parts égales entre les parties. Le 28 juin, X auraient refusé de procéder à des arbitrages dans la plupart des États en dehors de la Californie.
L'entreprise aurait envoyé au bureau de Liss-Riordan une liste de 891 arbitrages auxquels elle refusait de participer. X ayant capitulé, l'arbitrage devrait commencer en décembre. Il est difficile de savoir où Musk et X vont trouver l'argent nécessaire pour payer les frais d'enregistrement, ou les règlements d'ailleurs, étant donné les pertes continues que X aurait subies depuis que Musk a pris les rênes de l'entreprise. Cependant, les choses pourraient se compliquer si Musk et X ne se décident pas rapidement à mettre un terme à tous leurs ennuis juridiques. Ces problèmes pourraient ralentir les efforts de Musk visant à rentabiliser le rachat du réseau social.
Liss-Riordan a déclaré dans un communiqué hier : « nous sommes très fiers de représenter près de 2 000 anciens employés de Twitter, dans des arbitrages individuels ainsi que dans plus d'une douzaine de recours collectifs devant les tribunaux ». X n'a pas répondu aux demandes de commentaires. Selon certaines sources, la réponse automatisée par courriel de X a été mise à jour à nouveau. Il y a d'abord eu l'emoji "caca", puis "nous vous recontacterons bientôt". Aujourd'hui, la réponse automatisée indique : « occupé pour l'instant, veuillez revenir plus tard ». Les autres employés de X sont probablement trop occupés pour consulter les courriels.
Et vous ?
Quel est votre avis sur le sujet ?
Que pensez-vous de la décision de Musk de négocier finalement avec les plaignants ?
Selon vous, la médiation qui aura lieu en décembre portera-t-elle ses fruits ?
Ou assistera-t-on à un nouveau rebondissement comme l'on est habitué avec Musk ?
Que pensez-vous du projet de Musk de transformer X en une superapplication ? Réussira-t-il ?
Voir aussi
X n'a pas payé d'indemnités de départ. Plus de 2 200 anciens employés poursuivent l'ancien Twitter, les frais d'arbitrage s'élèvent à plus de 3 millions de dollars, sans compter les indemnités
Un juge américain refuse de rejeter une plainte accusant X de discrimination fondée sur l'âge dans les licenciements de 2022
Plus de 500 annonceurs ont interrompu leurs paiements sur Twitter depuis son rachat par Elon Musk, provoquant ainsi une baisse de 40 % des revenus publicitaires par rapport à l'année dernière
X révoque le badge bleu d'un grand syndicat de travailleurs de l'automobile après le déclenchement d'une grève,
certains observateurs soupçonnent une manœuvre d'Elon Musk pour ne pas augmenter les salaires chez Tesla
La plateforme de médias sociaux X, anciennement connue sous le nom de Twitter, a retiré temporairement le badge de vérification du syndicat des Travailleurs unis de l’automobile (UAW), qui représente 150 000 travailleurs des grands constructeurs automobiles tels que General Motors, Stellantis et Ford. Le retrait du badge bleu est intervenu après que l’UAW a annoncé une grève contre les grands constructeurs, suite à une impasse dans les négociations. La grève implique environ 13 000 membres du syndicat.
Près de 13 000 travailleurs de Ford, General Motors et Stellantis se sont mis en grève après que les soi-disant « Big Three » constructeurs automobiles n'aient pas réussi à parvenir à un accord avec les Travailleurs unis de l'automobile (UAW). Vendredi, l'UAW a découvert que X, la plateforme anciennement connue sous le nom de Twitter avait supprimé le statut vérifié de son compte.
Le badge de vérification sur X est un symbole de crédibilité et d’autorité qui permet aux comptes de se distinguer des imposteurs et d’augmenter leur visibilité.
Cette décision rend apparemment plus difficile pour l'UAW de maximiser la portée de ses postes sur X, au moment même où les travailleurs ont commencé à faire grève, exigeant de meilleurs salaires et d'autres avantages.
Certains observateurs ont soupçonné que le retrait du badge bleu était une mesure mesquine du propriétaire de X et PDG de Tesla, Elon Musk, qui a un intérêt financier à maintenir les salaires des travailleurs de l’automobile bas et un historique d’antisyndicalisme.
En effet, Ford a affirmé que l'accord que l'UAW était en train de négocier aurait doublé les coûts de main-d'œuvre des constructeurs automobiles, et le quotidien The Intercept a noté que souvent les augmentations de salaire remportées par les travailleurs syndiqués « se répercutaient » sur les travailleurs non syndiqués comme celui de Tesla. Cela a peut-être inquiété Musk, qui a apparemment un intérêt financier à maintenir les salaires des travailleurs de l’automobile à un niveau bas et qui a un historique de lutte contre les syndicats. Plus tôt cette année, Musk a perdu une bataille judiciaire et a dû supprimer un tweet menaçant les travailleurs de Tesla qui tentaient de se syndiquer.
Le cœur du problème
Après la crise financière de 2007 et 2008, les travailleurs de l'automobile ont accepté des concessions radicales sur tout, des retraites aux salaires en passant par les soins de santé, afin d'aider Détroit à sortir avec succès de la faillite. Depuis, les entreprises ont retrouvé des niveaux de rentabilité extraordinaires, la rémunération des PDG et les bénéfices des entreprises ayant augmenté de 30 à 40 pour cent ces dernières années. Les travailleurs de l'UAW ont exigé des augmentations similaires au cours des quatre prochaines années, demandes que les entreprises ont rejetées alors même qu'elles poursuivent leurs rachats d'actions destinés à faire grimper le cours des actions et la rémunération correspondante des dirigeants.
La PDG de General Motors, Mary Barra, a été expressément interrogée sur la disparité salariale dans une interview sur CNN vendredi :
« Vous avez constaté une augmentation de 34 % de votre salaire, vous gagnez près de 30 millions de dollars ; pourquoi vos employés ne devraient-ils pas bénéficier du même type d’augmentation de salaire que vous obtenez à la tête de l’entreprise ? » a demandé la journaliste de CNN Vanessa Yurkevich.
Barra a répondu à ces questions inhabituellement pointues avec des platitudes typiques : « Quand l’entreprise se porte bien, tout le monde se porte bien. »
Les trois grands constructeurs automobiles et l’UAW se concentrent étroitement sur le rôle que joueront les syndicats dans la production de véhicules électriques et des batteries nécessaires à leur alimentation, tout comme Elon Musk, propriétaire de Twitter et de Tesla. Le sénateur de Virginie-Occidentale Joe Manchin, en guise de prix pour son soutien au programme climatique de Joe Biden, a insisté pour supprimer une disposition qui aurait fait pencher les règles du jeu dans la production de véhicules électriques en faveur des syndicats. Musk s’est également prononcé contre cette mesure.
Selon Axios, Tesla paie des salaires nettement inférieurs à ceux des Big Three, soit en moyenne de 45 à 50 dollars de l'heure contre 64 à 67 dollars de l'heure, respectivement. L’entreprise a mené une campagne antisyndicale sur brûlis ces derniers mois.
Mais Elon Musk conteste cette affirmation. Dans une publication sur X, Musk a affirmé que Tesla payait plus que les salaires exigés par l'UAW : « Nous payons plus que l'UAW, mais les attentes en matière de performances sont également plus élevées », a déclaré Musk. « Un bon nombre de nos techniciens d'usine qui travaillent sur la chaîne sont devenus millionnaires au fil des années grâce à l'attribution d'actions par l'entreprise ».
En février, Tesla a licencié au moins 18 employés du secteur des logiciels dans une usine de Buffalo, dans l'État de New York, après avoir annoncé son intention de se syndiquer. Puis, en mars, une cour d’appel fédérale a estimé que Musk avait violé la loi fédérale du travail en tweetant une menace contre les options d’achat d’actions des employés s’ils décidaient de se syndiquer et que Tesla avait également enfreint la loi en licenciant un travailleur engagé dans la syndicalisation.Walter spent a lot of time with me in meetings, but much less time walking the factory floor.
— Elon Musk (@elonmusk) September 14, 2023
Tesla and SpaceX factories have a great vibe. We encourage playing music and having some fun. Very important for people to look forward to coming to work!
We pay more than the UAW…
« Rien n’empêche l’équipe Tesla de notre usine automobile de voter pour un syndicat », a tweeté Musk en 2018. « Ils pourraient le faire très bien s’ils le voulaient. Mais pourquoi payer des cotisations syndicales et renoncer à des stock-options pour rien ? Notre bilan en matière de sécurité est 2 fois meilleur que lorsque l'usine était UAW et tout le monde bénéficie déjà de soins de santé. »
X a rétabli le badge de vérification
X a rapidement rétabli le statut vérifié de l’UAW après que les médias ont parlé de cette histoire. Le journaliste Ryan Grim a posté sur X, écrivant : « Elon a remis le badge bleu. Peut-être que les Big Three vont se plier aussi vite ».
Mais plusieurs ont critiqué la publication du journaliste, s'appuyant tous sur une clause de la politique de X qui précise que les comptes peuvent perdre leur statut vérifié s’ils modifient leur photo de profil ou s’ils enfreignent les règles de la plateforme.Elon put the blue check back up. Maybe the Big Three will fold this fast too. pic.twitter.com/tnHY6Zzomd
— Ryan Grim (@ryangrim) September 15, 2023
Le compte Tesla Toronto déclare par exemple :
Ce n’était ni l’un ni l’autre. Si vous modifiez votre nom ou votre photo de profil, votre pastille sera temporairement supprimée jusqu'à ce que vous soyez revérifié par le système. Elle vous indique "Votre pastille bleue sera masquée pendant un certain temps après avoir modifié votre nom d'affichage ou votre photo de profil jusqu'à ce qu'elle soit examinée."
Un autre répondant au pseudonyme Alan Parry a déclaré :
Notons que l’UAW a déclaré aux médias qu’il n’avait effectué aucun changement sur son compte avant de perdre son statut et qu’il avait payé des frais d’abonnement premium à X pour obtenir la vérification, remettant donc en cause ces critiques.Salut Ryan. Votre intention est-elle malveillante ou êtes-vous simplement mal informé ? Essayez de lire les conditions d'utilisation la prochaine fois :
"Votre pastille bleue sera masquée pendant un certain temps après avoir modifié votre nom d'affichage ou votre photo de profil jusqu'à ce qu'elle soit examinée."
Très simple.
Je suis sûr que vous allez maintenant publier une correction à l'article pour informer les lecteurs de votre erreur.
Les négociations entre l’UAW et les Big Three des constructeurs automobiles portent sur des questions telles que les salaires, les avantages sociaux, la sécurité au travail et la transition vers les véhicules électriques et les batteries nécessaires pour les alimenter. Ces discussions pourraient également avoir un impact sur les opérations de Tesla, qui est le leader du marché des véhicules électriques. L’UAW espère obtenir un accord équitable et durable pour ses membres et pour l’industrie automobile américaine.
Source : UAW
Et vous ?
Que pensez-vous de la décision de X de retirer le badge bleu de l’UAW ? Est-ce une atteinte à la liberté d’expression ou une mesure de sécurité légitime ?
Quel est le rôle des syndicats dans l’industrie automobile ? Sont-ils nécessaires pour protéger les droits et les intérêts des travailleurs ou sont-ils un obstacle à l’innovation et à la compétitivité ?
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