c'est une mentalité de pauvre ça...
https://youtu.be/A6aZbpg-WEM?t=249
c'est une mentalité de pauvre ça...
https://youtu.be/A6aZbpg-WEM?t=249
ça paraît plus qu'incertain. Les SMR ont déjà été étudié dans le passé (c'est ce qu'on met dans les sous-marins nucléaires par ex.). Le choix d'avoir construit des grosses centrales n'est pas hasardeux. Les grosses centrales construites en série sont moins chères (moins de matériaux par puissance).
TerraPower n'a construit aucun réacteur opérationnel au contraire des sociétés TechnicAtome ou rosatom. En plus ils veulent de la disruption technologique, donc ça prendra du temps.
Et encore, la cible commerciale du SMR français, c'est plus de remplacer les centrales à charbon à l'étranger qu'autre chose (pour réutiliser le réseau existant). Et la limite du concept c'est qu'il faudra en vendre un certain nombre pour obtenir les économies de série, ce qui n'est pas gagné l'Europe semble favoriser les projets de SMR américains (le projet NuScale abandonné aux USA faute de client et qu'on retrouve en Pologne le pays le plus américain d'europe, et en Roumanie), et que les pays nucléairophobes ne veulent pas en entendre parler.
La plus part de ces projets sont des avant-projets. Je parierais plus sur des centrales dont les plans existent déjà pour déployer beaucoup de puissance le plus vite possible.
L'énergie, et non la puissance de calcul, sera le premier goulot d'étranglement pour les progrès de l'IA, d'après Mark Zuckerberg
Lors d'un récent podcast, Mark Zuckerberg, PDG de Meta, a mis en évidence l'énergie comme étant un goulet d'étranglement critique pour les progrès de l'IA. Selon M. Zuckerberg, malgré les améliorations apportées à la production de GPU, les contraintes énergétiques restent importantes. La construction de clusters d'entraînement massifs nécessite une puissance immense et les obstacles réglementaires retardent encore plus les progrès, faisant des installations à grande échelle une entreprise de longue haleine. Toutefois, M. Zuckerberg a insisté sur la nécessité de surmonter ces goulets d'étranglement évolutifs sur la voie du progrès de l'IA.
L'intelligence artificielle (IA), dans son sens le plus large, est l'intelligence dont font preuve les machines, en particulier les systèmes informatiques. Il s'agit d'un domaine de recherche en informatique qui développe et étudie des méthodes et des logiciels permettant aux machines de percevoir leur environnement et d'utiliser l'apprentissage et l'intelligence pour prendre des mesures qui maximisent leurs chances d'atteindre des objectifs définis. Ces machines peuvent être appelées « IA ».
Et vous ?Envoyé par Mark Zuckerberg
Quel est votre avis sur le sujet ?
Pensez-vous que le point de vue de M. Zuckerberg est crédible ou pertinent ?
Voir aussi :
L'IA générative n'aura besoin que de deux centrales électriques pour maintenir ses applications en 2024, selon Sergey Edunov, cadre de Meta
Le PDG d'OpenAI, Sam Altman, a déclaré qu'une percée énergétique était nécessaire pour l'intelligence artificielle (IA) de demain, qui consommera beaucoup plus d'énergie que prévu
L'IA a besoin de tellement d'énergie que les vieilles centrales au charbon sont maintenues en service, alors que la demande en énergie des centres de données devrait tripler d'ici 2030
Nooooon pas possible et si il n'y avait que des problèmes énergétiques...
D'un coté on nous demande de diminuer notre consommation d'énergie.
- se chauffer moins
- ne pas utiliser de climatisation
- voyager le moins possible
- privilégier les modes de transport alternatifs (covoiturage, transports en commun, marche, vélo)
- remplacer son véhicule thermique qui fonctionne très bien par un véhicule électrique neuf
De l'autre côté il y a l'industrie de l'IA qui demande de plus en plus d'énergie.
Il faudrait comparer les consommations d'énergie, mais si ça se trouve l'IA va consommer beaucoup plus que ce que consommait le minage de cryptomonnaie à son apogée, ça doit partir vite les GWh.
D'ailleurs, quand on parle d'un centre de données d'1 gigawatt est-ce que ça veut dire qu'en 1h il peut consommer 1 GWh ?
=====
J'espère que de nouveaux réacteurs nucléaires vont être rapidement fonctionnels, parce que la demande en électricité va augmenter et le prix du kWh est déjà trop élevé.
Les entreprises d'IA peuvent faire du greenwashing en achetant de l'énergie renouvelable (mais ça m'étonnerait parce que le kWh coute plus cher), ce qui rapporterait énormément d'argent aux entreprises qui produisent de l'énergie renouvelable, ce qui leur permettraient d'investir dans des panneaux solaires et des éoliennes et peut-être qu'à force le prix du kWh renouvelable baisserait un peu.
Ou alors les entreprises d'IA peuvent faire ça :
Microsoft songe à se doter de son propre réacteur nucléaire pour ses projets d’intelligence artificielle
langue de bois, la vrai raison: on a fait de la merde pendant 20ans, on a rien fait pour produire plus d'énergie et répondre aux besoins (pas de nouvelle centrale nucléaire), on est des incapables et on fait des sanctions contre poutine pour faire bonne figure mais on achete du gaz russe à l'inde tres cher histoire de couler encore plus l'europe.
[QUOTE=Ryu2000;12023346
- privilégier les modes de transport alternatifs (covoiturage, transports en commun, marche, vélo)
- remplacer son véhicule thermique qui fonctionne très bien par un véhicule électrique neuf
[/QUOTE]
langue de bois, la vrai raison: Une voiture fiable ca coule l'économie, on a mis des normes écologique pour rendre les voitures merdique (adblue, fap) et forcer les gens a jeter leurs voiture fiable pour acheter ces merde tres cher (15000€ le 1er prix d'une thermique)
ou pire encore acheter une électrique à 30000€.
les français ont trop d'épargne et faut sauver l'industrie automobile.
seul truc pas prévu dans leur superbe plan: l'invasion des voiture chinoise
Ces gens tkt pas eux partent en voyage et se prive de rien, Hidalgo fait 3 fois le tour du monde en avion chaque année payé par le contribuable pour aller inaugurer le moindre arbre planté au japon ou en Polynésie ou autre endroit très sympa pour passer des vacances.
Pour son dernier voyage au Brésil, macron a offert à son custome un siège en avion 1ere classe.
Si écologiquement le costume de macron peut voyage en avion, je vois pas pourquoi je pourrais pas moi aussi voyager en avion...
OpenAI serait en pourparlers avec Helion Energy pour acheter de grandes quantités d'énergie de fusion pour les centres de données, après que Sam Altman ait investi 375 millions de dollars dans Helion.
OpenAI envisage un accord pour des centres de données alimentés par la fusion afin de répondre aux besoins énergétiques croissants, rapporte le Wall Street Journal. L'intelligence artificielle fait grimper en flèche la demande en énergie des centres de données et les entreprises technologiques se lancent dans une course à l'achat d'énergie propre.
OpenAI est une organisation qui mène des recherches sur l'intelligence artificielle dans le but de développer une intelligence générale artificielle "sûre et bénéfique", qu'elle définit comme "des systèmes hautement autonomes qui surpassent les humains dans la plupart des tâches économiquement utiles". Microsoft a fourni à OpenAI un investissement d'un milliard de dollars en 2019 et un investissement de 10 milliards de dollars en 2023, une partie importante de l'investissement prenant la forme de ressources informatiques sur le service de cloud Azure de Microsoft.
OpenAI, dont le PDG et fondateur est Sam Altman, serait en pourparlers avec une start-up spécialisée dans la fusion nucléaire afin d'acheter de grandes quantités d'énergie propre pour les centres de données gourmands en énergie. OpenAI négocie actuellement un accord avec Helion, une start-up de l'État de Washington présidée par M. Altman, afin d'assurer l'alimentation future de ses centres de données en électricité issue de la fusion nucléaire.
M. Altman a investi 375 millions de dollars dans Helion en 2021 et se serait retiré des négociations avec OpenAI en raison de son conflit d'intérêts. M. Altman a déjà déclaré qu'une "percée" dans le domaine de l'énergie propre était nécessaire pour répondre à la demande croissante d'énergie de l'IA, en privilégiant le nucléaire, l'énergie solaire moins chère et le stockage.
Helion est entré dans l'histoire l'année dernière en concluant ce qui était considéré comme le premier contrat d'achat d'électricité au monde pour de l'énergie issue de la fusion, qui vise à exploiter les réactions qui alimentent les étoiles pour produire de l'énergie illimitée, à la demande et sans émission de carbone. Helion a signé cet accord avec le géant technologique Microsoft, qui entretient des liens étroits avec OpenAI. Les deux entreprises technologiques prévoiraient de construire un centre de données de 100 milliards de dollars doté d'un superordinateur d'intelligence artificielle appelé « Stargate », dont le lancement est prévu en 2028.
Helion prévoit de mettre en service sa première centrale d'ici à 2028. Cela représente une avance considérable sur les autres start-ups spécialisées dans la fusion, dont beaucoup visent le début des années 2030 pour commencer à produire de l'énergie à des fins commerciales. L'approche de la fusion magnéto-inertielle adoptée par Helion consiste à générer du plasma aux deux extrémités du réacteur. Ces plasmas sont ensuite accélérés vers une chambre de compression centrale où la fusion s'amorce et produit de l'électricité. Helion affirme que son « objectif à long terme » est de fournir de l'électricité à 0,01 $/kWh. Parmi les autres grands investisseurs d'Helion figurent Reid Hoffman, cofondateur de LinkedIn, et Dustin Moskovitz, cofondateur de Facebook.
Les géants de la technologie font actuellement la course pour acheter suffisamment d'électricité afin d'alimenter les centres de données dont la demande en énergie devrait augmenter de 160 % d'ici à 2030. Cela représente une augmentation d'environ 650 TWh, soit bien plus que la demande d'électricité de la Corée du Sud. Selon une récente analyse de Goldman Sachs, cela représente une opportunité d'investissement de près d'un milliard de dollars pour le secteur de l'énergie aux États-Unis et en Europe. Les producteurs d'énergie propre sont bien placés, compte tenu des objectifs « net zéro » de la plupart des grandes entreprises technologiques.
M. Altman a également investi récemment dans une autre start-up américaine qui prévoit d'alimenter les centres de données à l'aide d'une solution solaire « unique » trois-en-un qui vise également des prix d'électricité de seulement 0,01 $/kWh.
Source : Wall Street Journal
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Voir aussi :
Le patron de ChatGPT prétend que la fusion nucléaire est la réponse aux besoins énergétiques croissants de l'IA. « Pas si vite », affirment les experts, de nombreux défis restent à relever
L'IA a besoin de tellement d'énergie que les vieilles centrales au charbon sont maintenues en service, alors que la demande en énergie des centres de données devrait tripler d'ici 2030
Le PDG d'OpenAI, Sam Altman, a déclaré qu'une percée énergétique était nécessaire pour l'intelligence artificielle (IA) de demain qui consommera beaucoup plus d'énergie que prévu
Ah bon... Il faut espérer que les data centers de OpenIA fonctionneront à parti de courants d'air...OpenAI serait en pourparlers avec Helion Energy pour acheter de grandes quantités d'énergie de fusion pour les centres de données
Pour information, à la date de ce jour, il n'y a aucun système qui a réussi à produire de l'énergie à partir de la fusion nucléaire pendant plus que quelques fractions de seconde et après avoir dépensé une quantité d'énergie bien supérieure à ce qui a été produit...
À force d'investir dans ces 3 domaines :
- nucléaire
- énergie solaire
- stockage
Des révolutions technologiques vont peut-être avoir lieu.
Si une technologie permettant de stocker efficacement une quantité massive d'énergie pendant longtemps (la consommation d'une mégalopole pendant 6 mois) voyait le jour alors l'énergie solaire pourrait devenir très intéressante.
Ce qui pourrait être cool aussi ce serait de pouvoir transporter de l'énergie sur une très longue distance avec peu de perte. Parce qu'il y aurait moyen de faire quelque chose avec les déserts (le Sahara par exemple).
Ce serait chouette de payer le kWh à ce prix là !
Parce que là si on regarde EDF :
En juin 2024, pour un compteur 6 kilowatts, le prix du kWh de l'offre Tarif bleu EDF est de 0,2516€ TTC en option base.
Pour moi 1 kWh coutait 8 centimes et pas 25, qu'est-ce qui s'est passé ?
Il y a plus de 100 ans que l'on investit dans les solutions de stockage de l'énergie... On a rien trouvé de plus efficace que ce que nous propose la nature... Le pétrole! Beaucoup d'énergie dans un petit volume facilement manipulable car liquide et stable (l'hydrogène explose au contact de l'air, les batteries ont un rendement très faible et se déchargent dans le temps, les barrage avec le réchauffement on va disposer de moins en moins d'eau, etc...).
On sait déjà transporter de l'énergie sur de très longues distances (Lignes électriques à très haute tension, oléoduc, gazoduc, etc...). Il y déjà eu des projets d'usines solaires dans le Sahara avec transfert de l'électricité produite sur le continent européen (entre autre le projet de l'allemand Siemens).
Ce n'est pas un problème technique mais un problème politique, le Sahara est le "bac à sable" de toutes les tendances djihadistes et terroristes imaginales, il est tout simplement impossible d'y construire une activité pérenne pour des raisons sécuritaires!!!
Le pétrole va se raréfier, il faudra de plus en plus d'énergie pour l'extraire donc le prix va augmenter. (pour l'instant le prix est principalement composé de taxes)
L'exploitation du pétrole s'arrêtera avant qu'il soit nécessaire de dépenser l'équivalent énergétique d'un baril de pétrôle pour extraire un baril de pétrôle.
Et sinon pour stocker de l'énergie il existe une solution avec 2 bassins géants (à des hauteurs différentes).
Pompage-turbinage
Les écologistes n'aiment pas les bassines Je ne sais pas ce qu'ils pensent de cette technologie.
Ah oui c'est vrai j'avais déjà vu :
Desertec
Vu le prix du kWh il y a moyen d'avoir le budget pour tuer les terroristes.Un nouveau type de ligne à Haute Tension en Courant Continu (CCHT, ou HVDC pour High Voltage Direct Current) est envisagé pour le projet. Cette technologie de pointe devrait permettre de transporter les électrons sur de grandes distances avec beaucoup moins de pertes en ligne (3% pour 1 000 km), en comparaison avec les lignes classiques à courant alternatif, et presque sans pollution électromagnétique.
À cause des voitures électriques et de l'IA le besoin en électricité augmente.
Le Sahara pourrait rapporter énormément. Si ça se trouve l'Algérie va devenir un pays beaucoup plus riche que la France.
De toute façon l'occident est en déclin, c'est peut-être bientôt le tour de l'Afrique de dominer le monde.
L'Europe a dominé, les États-Unis ont dominé, l'Asie a dominé, c'est peut-être chacun son tour, on ne sait pas
L'appétit énergétique de l'IA met à rude épreuve le réseau électrique des États-Unis qui n'était pas préparé à une augmentation subite de la charge
laissant l'industrie à la recherche de solutions miracles
La croissance rapide de l'IA a fait grimper la demande en énergie à un niveau bien plus élevé que ce qui était prévu. Aux États-Unis, elle mettrait déjà à rude épreuve les capacités de production du pays, ce qui met les entreprises dans l'embarras. Grid Strategies estime que les prévisions de croissance sur neuf ans pour l'Amérique du Nord ont pratiquement doublé par rapport à l'année dernière, car les entreprises construisent des centres de données pour l'IA qui font paraître minuscules les besoins des centres de données traditionnels. Où cela nous mène-t-il ? Comment pouvons-nous naviguer dans un avenir énergétique durable avec l'explosion de l'utilisation de l'IA ?
L'IA entraîne la surcharge des réseaux électriques et fait craindre une pénurie
L'IA gagne en popularité dans presque tous les domaines d'activité de la vie et a poussé les actions des entreprises technologiques vers des sommets historiques. Mais une "vérité dérangeante" apparaît dans de plus en plus de conversations professionnelles : l'IA est un énorme gouffre à électricité. Elon Musk a déclaré récemment que la demande croissante de puces d'IA gourmandes en énergie pourrait bientôt entraîner une pénurie d'électricité. « L'année prochaine vous verrez qu'ils ne trouveront pas assez d'électricité pour faire fonctionner toutes les puces », a-t-il déclaré pendant la conférence Bosch ConnectedWorld fin avril.
Aux États-Unis, les analystes rapportent que les réseaux électriques atteignent peu à peu leur limite. L'année dernière, les prévisions à cinq ans de Grid Strategies tablaient sur une croissance de 2,6 %. Depuis, ce chiffre a presque doublé pour atteindre 4,7 % et les planificateurs de Grid Strategies s'attendent à ce que la demande de pointe augmente de 38 gigawatts. Cela équivaut à la quantité nécessaire pour alimenter 12,7 millions de foyers, soit un peu plus que le nombre total d'unités d'habitation au Texas. Mais plus inquiétant encore, les analystes pensent que ce chiffre est probablement une sous-estimation des besoins réels.
Ils s'attendent à ce que les prochaines prévisions (en décembre de cette année) fassent état d'un taux de croissance encore plus élevé au niveau national. Grid Strategies émet un avertissement clair : « le réseau électrique américain n'est pas prêt à faire face à une croissance importante de la charge ». Certains experts de l'industrie craignent des pénuries d'électricité. AES, une société de services publics basée en Virginie, a expliqué à ses investisseurs que les centres de données pourraient représenter jusqu'à 7,5 % de la consommation totale d'électricité aux États-Unis d'ici 2030, en citant des données du Boston Consulting Group.
Une éventuelle pénurie d'énergie pourrait entraîner des maux de tête pour les consommateurs. Il y a, bien sûr, les problèmes évidents, comme la la question de savoir comment les compagnies d'électricité établissent un ordre de priorité pour déterminer qui reçoit de l'électricité du réseau lorsqu'il est à pleine capacité ou presque. En outre, les législateurs de plusieurs États s'interrogent sur la manière de protéger les clients résidentiels en leur évitant d'avoir à payer pour des mises à niveau nécessaires qui seront en grande partie utilisées pour alimenter les centres de données. Les fournisseurs font face à de nombreux dilemmes.
En outre, il y a des préoccupations d'ordre environnemental. Bien que l'on s'efforce de passer à des méthodes de production d'énergie plus propre (comme l'énergie solaire), beaucoup d'entre elles ne sont pas encore prêtes. Les compagnies d'électricité font pression pour retarder la fermeture des centrales à combustibles fossiles (et certaines espèrent en mettre d'autres en service) afin de répondre à l'augmentation de la demande.
Les véhicules électriques et les cryptomonnaies viennent aggraver le problème
L'IA est un élément majeur du problème en ce qui concerne l'augmentation de la demande. Les leaders du secteur, comme OpenAI, Amazon, Microsoft et Google, construisent ou recherchent des sites où construire d'énormes centres de données pour héberger l'infrastructure nécessaire au développement de grands modèles de langage, et les entreprises plus petites du secteur sont également très demandeuses d'énergie. Par exemple, selon l'Agence internationale de l'énergie, "une recherche pilotée par ChatGPT consomme environ 10 fois plus d'électricité qu'une recherche sur le moteur de recherche Google".
La consommation annuelle d'énergie d'un centre de données de Meta basé dans l'Iowa est équivalente à celle de 7 millions d'ordinateurs portables fonctionnant huit heures par jour, d'après des données rendues publiques par l'entreprise. La résurgence de l'énergie fossile dans les centres de données contraste fortement avec les engagements de durabilité des géants de la technologie Microsoft, Google, Amazon et Meta, qui affirment tous qu'ils supprimeront entièrement leurs émissions dès 2030. Ces entreprises sont les acteurs les plus importants d'une constellation de plus de 2 700 centres de données à travers les États-Unis.
Par ailleurs, le regain d'intérêt pour les cryptomonnaies, dû au fait que le bitcoin a atteint de nouveaux sommets, pourrait également avoir une incidence sur la demande en électricité. Le bitcoin doit faire face à un événement prévu dans le courant de l'année, ce qui pousse les mineurs de cryptomonnaies à travailler plus dur que jamais. L'événement est connu sous le nom de "the halving" (réduction de moitié) et correspond à une réduction de moitié du nombre de nouvelles pièces mises en circulation. Dans le même temps, les experts indiquent aussi que le nombre croissant de voitures électriques n'arrange pas les choses non plus.
Tout cela a rendu difficile la prévision de la demande d'électricité. Georgia Power, qui est le principal fournisseur d'énergie de cet État, a récemment dû augmenter ses prévisions de demande de mégawatts pour l'hiver de 38 %. Cela est dû en partie à la politique d'incitation de l'État pour le secteur informatique, que les autorités sont en train de reconsidérer. Portland General Electric, dans l'Oregon, a récemment doublé ses prévisions sur cinq ans concernant la demande d'électricité. Selon Grid Strategies, les prévisions à long terme de la croissance de la demande en énergie sont importantes pour assurer la fiabilité des réseaux.
L'entreprise explique : « les prévisions de croissance de la demande de pointe annuelle semblent se diriger vers des taux de croissance doubles, voire triples, de ceux des dernières années. Les planificateurs du transport d'électricité ont besoin de prévisions à long terme de la demande d'électricité et des sources d'approvisionnement en électricité afin de s'assurer qu'un réseau de transport suffisant sera disponible au moment et à l'endroit où il sera nécessaire. Un tel défaut de planification pourrait avoir des conséquences réelles sur les investissements, l'emploi et la fiabilité du réseau pour tous les consommateurs d'électricité ».
Les entreprises misent sur des solutions qui sont actuellement hors de portée
Selon un rapport du Washington Post, dans le centre de l'État de Washington, Microsoft explore la production d'énergie à partir de la fusion nucléaire (la collision d'atomes qui alimente le soleil), une percée qui échappe aux scientifiques depuis un siècle. Les physiciens prédisent qu'elle échappera également à Microsoft. Mais Microsoft et ses partenaires et ses partenaires espèrent pouvoir exploiter la fusion d'ici à 2028, une affirmation audacieuse qui renforce leurs promesses de transition vers l'énergie verte, mais qui détourne l'attention de la réalité actuelle. En attendant, les émissions augmentent en raison de la consommation de l'IA.
« Les centrales à charbon sont revigorées par le boom de l'IA. Toute personne soucieuse de l'environnement devrait s'en inquiéter », affirme Tamara Kneese, directrice de projet à l'organisation à but non lucratif Data & Society. Face à ce dilemme, les entreprises technologiques se lancent à corps perdu dans des projets expérimentaux d'énergie propre. Outre la fusion, elles espèrent produire de l'énergie grâce à des projets futuristes comme de petits réacteurs nucléaires reliés à des centres de calcul individuels et des machines qui exploitent l'énergie géothermique en creusant la croûte terrestre à une profondeur d'environ 3 km.
Sam Altman, PDG d'OpenAI, qui soutient Helion Energy, la startup de Microsoft spécialisée dans la fusion, et Bill Gates, cofondateur de Microsoft, qui investit massivement dans d'autres projets de fusion, affirment que des percées dans le domaine de l'énergie sont réalisables. Selon Altman, la fusion nucléaire est la réponse aux besoins énergétiques croissants de l'IA et à réduction de son empreinte carbone. Mais les experts affirment que la fusion nucléaire est hors de portée à l'heure actuelle en raison de nombreux défis qui ne pourront pas être résolus à court terme. Les défis posés par l'IA ont besoin d'une solution immédiate.
Pour de nombreux experts, la fusion nucléaire fait l’objet d’une compétition plus diplomatique qu’industrielle et la plupart des recherches restent théoriques. Ils estiment que la fusion nucléaire est déjà trop tardive pour faire face à la crise climatique et qu'à court terme, il faudra utiliser les technologies existantes "à faible teneur en carbone", telles que les énergies renouvelables et la fission nucléaire. D'un autre côté, de nombreux géants de la technologie affirment qu'ils achètent suffisamment d'énergie éolienne, solaire ou géothermique chaque fois qu'un grand centre de données est mis en service afin d'annuler ses émissions.
Cependant, les critiques voient dans ces contrats un jeu de dupes : les entreprises fonctionnent sur le même réseau électrique que tout le monde, tout en s'appropriant une grande partie de la quantité limitée d'énergie verte. Les compagnies d'électricité compensent ensuite ces achats en augmentant leur consommation de combustibles fossiles, comme le montrent les dépôts réglementaires. À Omaha, dans le Nebraska, où Google et Meta ont récemment installé de vastes centres de données, une centrale au charbon qui devait être mise hors service en 2022 sera désormais opérationnelle au moins jusqu'en 2026.
Les grandes entreprises ne respectent pas leurs engagements sur le climat
Les observations susmentionnées contrastent avec les promesses futuristes des entreprises technologiques. Les entreprises tentent de s'exonérer de la responsabilité de leur contribution au réchauffement climatique par des techniques comptables. Elles prétendent que toutes les nouvelles énergies propres qu'elles achètent ont pour effet d'effacer les émissions qui pourraient autrement être attribuées à leurs activités. Mais les critiques affirment que ces arrangements ne sont pas à la hauteur et les technologies de captation du dioxyde de carbone dans l'atmosphère font également l'objet de controverses.
Un exemple est un accord annoncé en mars, après qu'Amazon a signé un contrat pour acheter plus d'un tiers de l'électricité produite par l'une des plus grandes installations nucléaires du pays, la centrale de Susquehanna dans le comté de Luzerne, en Pennsylvanie. « Si les centres de données prétendent être propres, mais que les compagnies d'électricité utilisent leur présence pour justifier l'augmentation de la capacité de gaz, les gens devraient être sceptiques », a déclaré au Washington Post Wilson Ricks, chercheur en systèmes énergétiques au Zero Lab de l'université de Princeton, qui se concentre sur la décarbonisation.
Altman dépense des centaines de millions de dollars pour développer de petites centrales nucléaires qui pourraient être construites sur les campus des centres de données ou à proximité. Sa société AltC Acquisition Corp. a financé une entreprise qu'Altman préside aujourd'hui et qui s'appelle Oklo. Cette dernière déclare vouloir construire la première centrale de ce type d'ici à 2027. Gates a fondé la société nucléaire TerraPower. Sur un site de démonstration dans une ancienne mine de charbon du Wyoming, elle teste un réacteur qui produirait de l'énergie plus efficacement et avec moins de déchets que les réacteurs traditionnels.
Le projet a connu des revers, notamment parce que le type d'uranium enrichi nécessaire pour alimenter le réacteur n'est pas disponible aux États-Unis. En outre, la communauté scientifique est profondément sceptique quant à la capacité d'Helion ou d'autres startups spécialisées dans la fusion à alimenter le réseau électrique d'ici dix ans, et encore moins à fournir le type d'électricité sûre et trop bon marché pour être mesurée que les entreprises technologiques recherchent. « Les prévisions sur la commercialisation de la fusion d'ici 2030 ou 2035 ne sont que du vent », affirme John Holdren, physicien à l'université d'Harvard.
« Nous n'avons pas encore atteint le seuil de rentabilité énergétique, c'est-à-dire que la réaction de fusion génère plus d'énergie qu'il n'en faut pour la faciliter », a-t-il ajouté. Selon Holdren, les promesses sur la commercialisation imminente de la fusion alimentent la croyance du public en des "miracles technologiques" qui nous épargneront la tâche difficile de faire face au changement climatique avec des options qui sont plus proches de la réalité pratique.
Helion a suscité des attentes en assurant que son contrat avec Microsoft était contraignant et qu'elle devrait payer de lourdes pénalités financières au géant de la technologie si elle ne créait pas rapidement de l'électricité de fusion. Mais lorsqu'ils sont interrogés sur les détails du contrat, les dirigeants de l'entreprise répondent avec une certaine opacité, typique des leaders technologiques à la recherche de percées historiques dans le domaine de l'énergie propre.
Source : Grid Strategies
Et vous ?
Quel est votre avis sur le sujet ?
Comment les entreprises technologiques peuvent-elles faire face à la croissance rapide des besoins énergétiques de l'IA ?
Que pensez-vous des déclarations d'Helion selon lesquelles elle pourra commercialiser l'énergie nucléaire dans quelques années ?
La fusion nucléaire est-elle la solution aux besoins immédiats de l'IA en matière d'énergie ? Les entreprises sont-elles sur la bonne voie ?
Le déploiement à grande échelle de l'IA générative répond-elle à un besoin des consommateurs ? Assiste-t-on à une surconsommation inutile de l'énergie ?
Voir aussi
Le patron de ChatGPT prétend que la fusion nucléaire est la réponse aux besoins énergétiques croissants de l'IA. « Pas si vite », affirment les experts, de nombreux défis restent à relever
L'IA pourrait engloutir un quart de l'électricité produite aux États-Unis d'ici 2030 si elle ne se défait pas de sa grande dépendance à l'égard de l'énergie, affirme un cadre d'Arm Holdings
L'IA et les avancées technologiques pourraient-elles donner naissance à une nouvelle ère d'évolution ? Face à la menace existentielle liée à la fusion croissante biosphère-technosphère
Il y a pénurie d'énergie ? pas grave il suffit de vendre plus cher. Les multinationales de l'IA pourront encaisser le cout. Et sinon ils pourront le répercuter à leurs clients, si ils peuvent encore payer après avoir payer leur facture d'électricité.
Bienvenue dans le monde de je marche sur la tête.
Investir dans la fission nucléaire, on sait faire de l'énergie propre et pas cher.
L'humanité a besoin de plus de réacteurs nucléaires.
La fusion sera probablement au point avant qu'on commence a galérer à trouver de l'uranium.
Il est évident que les véhicules électriques aggravent le problème, vivement que cette technologie disparaisse.
Les résumés de recherche fournis par l’IA consomment 10 fois plus d’énergie qu’une recherche normale sur Google, d’après des rapports :
Sauvons la planète en désactivant l’IA dans Google Search
L’idée du « moteur de réponses » n’est pas nouvelle. Elle a fait surface dès les heures suivant le lancement de ChatGPT que plusieurs observateurs avaient qualifié de remplaçant du moteur de recherches de Google étant donné sa capacité à donner de façon directe des solutions à des problèmes et ce, de façon détaillée. Le créateur de Gmail s’était même appuyé sur cet état de choses pour déclarer que « ChatGPT a le potentiel pour détruire Google en une ou deux années maximum. » Les rapports se multiplient sur le fait que les résumés de recherche fournis par l’IA consomment d’importantes quantités d’énergie en comparaison aux recherches normales et ce, pour des résultats mitigés.
Chaque fois que vous effectuez une recherche comme « combien de cailloux dois-je manger » et que l'intelligence artificielle de Google vous répond « au moins un petit caillou par jour », vous consommez environ trois wattheures d'électricité, selon Alex de Vries, fondateur de Digiconomist. C'est dix fois la consommation d'énergie d'une recherche traditionnelle sur Google et à peu près l'équivalent de la quantité d'énergie utilisée pour parler pendant une heure sur un téléphone fixe.
La situation est telle que l’intelligence artificielle entraîne la surcharge des réseaux électriques et fait craindre une pénurie. L'intelligence artificielle est un énorme gouffre à électricité. Aux États-Unis, les analystes rapportent que les réseaux électriques atteignent peu à peu leur limite.
L'année dernière, les prévisions à cinq ans de Grid Strategies tablaient sur une croissance de 2,6 %. Depuis, ce chiffre a presque doublé pour atteindre 4,7 % et les planificateurs de Grid Strategies s'attendent à ce que la demande de pointe augmente de 38 gigawatts. Cela équivaut à la quantité nécessaire pour alimenter 12,7 millions de foyers, soit un peu plus que le nombre total d'unités d'habitation au Texas. Mais plus inquiétant encore, les analystes pensent que ce chiffre est probablement une sous-estimation des besoins réels.
Ils s'attendent à ce que les prochaines prévisions (en décembre de cette année) fassent état d'un taux de croissance encore plus élevé au niveau national. Grid Strategies émet un avertissement clair : « le réseau électrique américain n'est pas prêt à faire face à une croissance importante de la charge ». Certains experts de l'industrie craignent des pénuries d'électricité. AES, une société de services publics basée en Virginie, a expliqué à ses investisseurs que les centres de données pourraient représenter jusqu'à 7,5 % de la consommation totale d'électricité aux États-Unis d'ici 2030, en citant des données du Boston Consulting Group.
Les rapports font pourtant état de ce que ces moteurs de réponse à base d’intelligence artificielle inventent des informations à partir de rien et débitent des absurdités
Perplexity AI résume non pas des articles de presse réels, mais des reconstructions de leurs contenus basés sur des URL et des traces laissées dans les moteurs de recherche comme des extraits et des métadonnées, offrant des résumés censés être basés sur un accès direct au texte pertinent. Mais des rapports indiquent que Perplexity AI a tendance à fournir des réponses imprécises et inexactes à certaines questions relativement simples. Dans le cadre d'une expérience, un média a créé un site Web de test contenant comme seule information la phrase : je suis journaliste chez Wired".
Il a ensuite demandé à Perplexity AI de résumer la page. En surveillant les journaux du serveur du site Web, le média n'a trouvé aucune preuve que Perplexity AI a tenté de visiter la page. Au lieu de cela, l'outil a inventé l'histoire d'une jeune fille nommée Amelia qui suit une piste de champignons lumineux dans une forêt magique appelée Whisper Woods. Et lorsqu'on lui a demandé pourquoi il a inventé une histoire, il a fourni une réponse qui suscite de nombreuses interrogations. Ledit rapport expliquait que lorsque le chatbot est coincé, il fournit des réponses qui démontrent à quel point ces outils sont « stupides. »
Lors des premiers retours d’expérience Bing a affiché 2,5 milliards de personnes en réponse à la question de savoir quelle est la population sur la planète Mars. La situation avait soulevé la question de savoir si la montée en puissance de l’intelligence artificielle ne va pas plutôt amener les humains à travailler plus dur pour lutter contre la désinformation.
Tout le monde peut participer à l’initiative de sauvetage de la planète en désactivant l’IA dans Google Search avec le paramètre "udm=14"
Historiquement, Google Search a été synonyme de recherche sur le web, fournissant une liste de liens vers des pages web en réponse aux requêtes des utilisateurs. Cependant, avec l’intégration croissante de l’IA, la nature même de la recherche est en train de changer. La nouvelle fonctionnalité, baptisée “AI Overview”, remplace les liens web traditionnels par un résumé généré par l’IA pour les principales requêtes de recherche.
Dans une démarche qui fait écho aux premiers jours de la recherche sur internet, Google a lancé un nouveau filtre « Web » qui simplifie les résultats de recherche jusqu'à l'essentiel : les liens textuels. Cette nouvelle fonctionnalité répond aux commentaires des utilisateurs et s'adresse à ceux qui préfèrent une expérience de recherche sans encombrement ou qui ont des besoins spécifiques, comme la recherche d'articles longs ou l'utilisation d'appareils dont la bande passante est limitée. Il vous suffit d'aller dans les nombreux filtres du moteur de recherche, de chercher le filtre « Web » et c'est tout : vous verrez tous les résultats de recherche textuels qui sont pertinents pour votre recherche. Cette fonction est utile lorsque vous souhaitez trouver un lien vers un site web et que vous ne voulez pas voir d'autres informations en haut de la page. C'est aussi simple que possible.
Si vous en avez assez des résumés de l'IA de Google qui extrait ses informations d'internet puis conseille aux utilisateurs de mettre de la colle sur les pizzas pour empêcher le fromage de glisser, vous pouvez désactiver cette fonctionnalité en quelque sorte. Google affirme que sa boîte d'IA en haut des résultats de recherche est l'avenir et qu'il est impossible de la désactiver, mais cela ne tient pas compte du fonctionnement de la recherche sur Google : de nombreuses options sont basées sur des paramètres d'URL. Cela signifie que vous pouvez désactiver la recherche AI grâce à cette simple astuce !
Cette méthode pour en finir avec les résumés IA consiste à utiliser par défaut le nouveau filtre de recherche « web », que Google a récemment lancé comme un moyen de rechercher sur le web sans l'aide de l'IA de qualité alpha de Google. Ce filtre est en fait plutôt agréable, puisqu'il n'affiche que les 10 liens bleus traditionnels, ce qui vous donne une page de résultats propre (à l'exception des publicités) et épurée, qui semble dater de 2011. Malheureusement, l'interface utilisateur de Google ne permet pas de faire de la recherche « web » la recherche par défaut, et pour y accéder, il faut fouiller dans le menu déroulant des options « plus » après avoir effectué une recherche, ce qui nécessite quelques clics à chaque fois.
Comment ça marche ?
- 1. Trouvez l’URL de recherche : Après avoir effectué une recherche sur Google, examinez l’URL dans la barre d’adresse de votre navigateur. Vous verrez une URL longue avec des informations de suivi et des paramètres de mode. Cherchez la ligne “&udm=14” dans cette URL.
- 2. Ajoutez “&udm=14” à la fin de l’URL : Si vous ajoutez “&udm=14” à la fin de l’URL de recherche, vous basculerez automatiquement vers l’interface de recherche “web”. Cela affichera uniquement les 10 liens bleus traditionnels, sans publicités ni autres éléments superflus.
De plus, vous pouvez configurer la barre d'adresse de Chrome pour qu'elle affiche par défaut la recherche sur le Web, ce qui vous évite d'avoir à la configurer manuellement à chaque fois. La procédure est d'une simplicité déconcertante :
- 1. Allez dans les paramètres de Chrome : cliquez sur les trois points dans le coin supérieur droit du navigateur et ce sera l'avant-dernière option.
- 2. Cliquez sur l'onglet Moteur de recherche à gauche de l'écran, puis sur Gérer les moteurs de recherche et Recherche de sites.
- 3. Faites défiler vers le bas jusqu'à Recherche de site et cliquez sur Ajouter pour créer une nouvelle entrée.
- Nom : Google (Web)
- Raccourci : www.google.com
- URL : {google:baseURL}/search?udm=14&q=%s
- 4. Cliquez sur les trois points à droite de la nouvelle entrée Google (Web) et sélectionnez Faire par défaut.
Et c'est tout : en tapant une recherche dans la barre d'adresse de Chrome, vous accédez directement à la recherche sur le Web. Les options sont un peu plus limitées sur mobile, mais au moins sur PC, ce bastion du contrôle et de la personnalisation par l'utilisateur, vous pouvez cultiver un jardin zen où la recherche Google fonctionne davantage comme vous le souhaitez.
Firefox peut nécessiter un peu plus de travail, car vous devez d'abord activer les moteurs de recherche personnalisés. Tapez d'abord « about:config » dans la barre d'adresse et appuyez sur Entrée, puis recherchez « browser.urlbar.update2.engineAliasRefresh » et appuyez sur le bouton « plus ». Allez ensuite dans Paramètres -> Recherche, descendez jusqu'à la section des moteurs de recherche et cliquez sur « Ajouter ».
Dans les deux navigateurs, vous ne pourrez probablement pas modifier la liste Google existante. Vous devrez donc créer un nouveau raccourci de recherche, l'appeler Google Web et utiliser https://www.google.com/search?q=%s&udm=14 comme URL.
Source : Alex De Vries
Et vous ?
Moteur de recherche avec intelligence artificielle ou moteur de recherche sans intelligence artificielle : de quel bord êtes-vous ?
Partagez-vous les avis selon lesquels les moteurs de recherche avec intelligence artificielle ont le potentiel pour mettre la recherche en ligne classique au rebut ?
Pensez-vous que la recherche basée sur l’IA est bénéfique ou nuisible ? Certains soutiennent que l’IA améliore la pertinence des résultats, tandis que d’autres craignent que cela ne crée une bulle de filtres.
Quelle est votre expérience avec les résultats de recherche basés sur l’IA ? Avez-vous déjà été frustré par des résultats qui semblaient trop personnalisés ou biaisés ?
Préférez-vous une interface de recherche plus traditionnelle ou êtes-vous ouvert à de nouvelles approches ? Le paramètre “udm=14” offre une alternative, mais est-ce quelque chose que vous adopteriez ?
Comment pensez-vous que cela affecte la neutralité des résultats de recherche ? Certains affirment que l’IA peut introduire des biais, tandis que d’autres pensent que c’est inévitable dans toute technologie de recherche
Voir aussi :
La startup de recherche Perplexity AI a levé 73,6 millions de dollars auprès d'un groupe d'investisseurs comprenant Nvidia et le fondateur d'Amazon Jeff Bezos
La plateforme de recherche alimentée par l'IA Perplexity a levé 62,7 millions de dollars en capital-risque pour concurrencer ChatGPT d'OpenAI et double sa valorisation à 1 milliard de dollars
Apocalypse de l'IA ? ChatGPT, Claude et Perplexity reviennent en ligne après être tombés en panne en même temps, un avertissement pour les entreprises qui embrassent l'intelligence artificielle à tout va ?
c'est complétement con de désactivé l'ia pour ca...
Le passage du dos à l'ihm ca a fait explosé le besoin en énergie dans les pc
Les jeux 3d par rapport à la 2d ca a fait explosé la consommation d'énergie
Le passage au FHD ca a fait explosé le besoin en energie, par rapport au bon vieux 640*480
On peut faire des ordinateurs sous freedos qui consommeront que 1watt, supprimer internet et revenir aux encyclopédies stocké dans les bibliothèques de ville (ainsi ça fera que 1 exemplaire pour 1 ville).
Ceux qui vont désactivé l'ia vont juste perdre en compétitivité et d'autres salarié, entreprises et pays majeurs vont pas se gêner pour prendre le lead et vont "polluer" autant.
Au 18ieme siecles certaines personnes pensaient que les voyages à des vitesses supérieures à 30 km/h pourraient causer des problèmes de santé comme l'étouffement ou des hémorragies internes. Ces gens la ont se doute bien n'ont pas créer les 1ere empires ferroviaires.
le résumé que propose Google je m'en sers tous le temps, c'est un gain de temps énorme sur 1 années. Ont parle pas de feature inutile ou qui font perdre en productivité ici (par exemple les pubs affiché sur windows 11 pro optimisé par l'ia), mais de vrai truc utile.
Je veux pas faire peur aux écolos, mais les prochaines versions des navigateurs web vont intégrer l'ia pour la traductions temps réel et la production de résumé des pages webs, ca va augmenté drastiquement la consommation électrique
Plutot que de se farcir des pages de docs et des controle+f pour chercher ce qu'on veux, l'ia pourra chercher dans la page l'information voulue. Et le traduire en français avec le bon contexte.
Bon y'a des logiciels ia qui n'apporte rien comme le futur copilot+
Pas forcément, tout le monde n'en a pas besoin dans le contexte que tu décrits, et dans ce cas ils pourraient désactiver.c'est complétement con de désactivé l'ia pour ca
Je suis pas spécialement écolo mais je pense que l'écologie est nécessaire (qu'en c'est traité intelligemment).Je veux pas faire peur aux écolos, mais les prochaines versions des navigateurs web vont intégrer l'ia pour la traductions temps réel et la production de résumé des pages webs, ca va augmenté drastiquement la consommation électrique
Mais quand on aura plus les moyens de payer son électricité car devenant une ressource à forte demande avec l'essentiel des ressources raflées par les multinationales et GAFA, le prob. se règlera de lui-même : plus de clients.
Moteur de recherche avec intelligence artificielle ou moteur de recherche sans intelligence artificielle : de quel bord êtes-vous ?
Je me contente des moteurs traditionnels.
Partagez-vous les avis selon lesquels les moteurs de recherche avec intelligence artificielle ont le potentiel pour mettre la recherche en ligne classique au rebut ?
S'ils proposent quelques réponses complètes et sourcées, oui.
Mais nous sommes encore dans un monde où les IA hallucinent régulièrement sans nous en avertir, dans ces conditions il me semble compliqué de se contenter d'une seule réponse non sourcée.
Pensez-vous que la recherche basée sur l’IA est bénéfique ou nuisible ? Certains soutiennent que l’IA améliore la pertinence des résultats, tandis que d’autres craignent que cela ne crée une bulle de filtres.
Se contenter d'une réponse est rarement bénéfique.
La diversité des réponses et des sources ne fait jamais de mal.
Préférez-vous une interface de recherche plus traditionnelle ou êtes-vous ouvert à de nouvelles approches ? Le paramètre “udm=14” offre une alternative, mais est-ce quelque chose que vous adopteriez ?
Je suis un "utilisateur lambda", je ne vais pas commencé à modifier mes urls à chaque recherche.
D'autant plus qu'il est illusoire de penser que c'est ça qui sauvera le monde du changement climatique.
PS : je suis de base une personne qui n'utilise pas tant que ça les moteurs de recherches.
Comment pensez-vous que cela affecte la neutralité des résultats de recherche ? Certains affirment que l’IA peut introduire des biais, tandis que d’autres pensent que c’est inévitable dans toute technologie de recherche
Je penses que nous devons être honnête avec nous même.
Les moteurs de recherches ont des biais et c'est ce que veulent 90% des utilisateurs, c'est à déplorer pour la diversité de l'information mais ça rend aussi la recherche "plus efficace".
tu sais que le prix de l’électricité et du a des conneries politiciennes en Europe et ne reflète absolument pas le prix réel de la production ?
les européens oui vont finir à un retour à l'age de pierre, mais tkt pas si en France le prix est à 0.25kw/h et va continué à augmenter, aux usa c'est 0.18, en chine c'est 0.08, en russie c'est 0.06, eux vont aliementer leurs IA.
Et aux usa les gafam achètent des centrales électriques pour controller eux mêmes leurs approvisionnements stratégique, il ne font pas confiances aux gouvernements pour maintenir un prix faible et stable (et ils ont raisons !)
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