Dans le jargon des énergéticiens, on parle aussi de “sécheresse énergétique”. Et c’est un “phénomène météorologique exaspérant pour les gouvernements” tant il représente “un obstacle potentiel sur la voie de l’énergie propre”, ajoute le journal. Car, en Europe, une grande partie de l’électricité est désormais produite par des éoliennes et des panneaux photovoltaïques. Et, logiquement, “le dunkelflaute a gagné en notoriété”.
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Dans le calme plat du dunkelflaute, les panneaux solaires sont peu efficaces et les pales des éoliennes ne tournent plus, poursuit le New York Times. Privés de ces deux piliers de l’énergie renouvelable, les opérateurs des réseaux doivent faire appel à des centrales électriques de secours fonctionnant notamment au gaz naturel.”
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