Oui c'est l'avantage de l'inconvénient ! Je trouve ça finalement mieux qu'en France où tout prend des mois. Le boss est obligé de t'écouter davantage sinon tu peux partir très rapidement...
D'un autre côté, aux États, si tu es démotivé, tu te cherches une autre job.
Si tu te plains de ta job, on va te dire d'en changer.
Ça se fait beaucoup moins de moisir dans la médiocrité contractuelle comme en France.
oui je suis d'accord avec toi.
mais je trouve juste moralement injuste de revenir sur des conditions de travails de tous le monde sans réel raisons objective.
un salarié qui fou rien, avec le système usa, il est viré dans la journée, donc les employés glandeurs il ne devrait pas y en avoir.
Si on fait une méta études, le télétravail n'a pas boosté la productivités, mais ne la pas fait descendre non plus.
Un peu comme les études sur l'ia qui commence a sortir, pas de boost de productivité, mais pas de perte non plus, es ce pour autant qu'il ne faut plus utiliser les llm ? Amazon devrait aller au bout de son raisonnement et fermer Amazon Q aussi dans ce cas.
Les travailleurs d’Amazon dans la consternation par les remarques du PDG d’AWS sur le retour au bureau demandent qu’il revienne sur sa décision
Qui laisse penser qu’ils sont moins productifs en télétravail
Plus de 500 employés d'Amazon ont envoyé une lettre au PDG de l'unité AWS pour l'exhorter à revenir sur sa politique de retour au bureau et rejeter son affirmation selon laquelle la nouvelle règle bénéficie d'un large soutien et que les opposants doivent quitter Amazon Web Services. C’est en sus le débat sur la comparaison de la productivité des employés en télétravail et au bureau qui refait surface.
Les employés d'Amazon devront être au bureau cinq jours par semaine à partir de l'année prochaine. Le PDG Andy Jassy a expliqué dans un mémo envoyé au début du mois de septembre au personnel que l'entreprise a pris cette décision pour favoriser une culture de la collaboration. Précédemment, Amazon exigeait que les employés soient présents au bureau au moins trois jours par semaine. Jassy a déclaré que les 15 derniers mois au cours desquels le personnel est retourné au bureau au moins trois jours par semaine ont renforcé la conviction de l'entreprise quant aux avantages de cette mesure.
En toile de fond, c’est la question de savoir qui des employés en télétravail ou de ceux au bureau qui sont les plus productifs'Breaking the trust' | 500 Amazon Web Services workers sign open letter to CEO challenging RTO mandatehttps://t.co/9x6khydQHb
— Remote Work Alliance (@joinremotework) October 31, 2024
Dans bien de pays au monde, la journée de travail a une durée de 8 heures. Pour un employé de bureau, on arrive au lieu de service, s’installe sur un siège devant un ordinateur et se lance dans ses activités. Mais, lesquelles ? De quoi s’agit-il dans la réalité ? De « 8 heures de travail » ou « 8 heures au travail » ? En d’autres termes, pour combien de temps les travailleurs sont-ils productifs sur une journée de travail ? Dans une publication parue en 2017, Invitation Digital Ltd – une firme de marketing basée au Royaume-Uni – répond aux questions.
L’étude d’Invitation Digital Ltd a porté sur près de 2000 (1989 pour être exact) employés de bureau (à temps plein) âgés de plus de 18 ans et disséminés sur l’ensemble du territoire du Royaume-Uni. En réponse à la question de savoir s’ils se considèrent productifs tout au long d’une journée de travail, la grande majorité (soit 79 %) avait répondu non. D’après les résultats de l’étude, seul le cinquième (donc les 21 % restants) a répondu par l’affirmative. Le sondage avait ensuite révélé que la durée moyenne de productivité sur le lieu de service est de 2 h 53 min, soit moins de 3 h.
D’après l’enquête, si les travailleurs se retrouvaient avec moins de 3 h de productivité sur une journée de travail c’est parce qu’ils étaient la plupart du temps distraits par des activités comme : surfer sur les réseaux sociaux – 47 % (des répondants au sondage) ; lire les sites Web d'actualités – 45 % ; discuter des activités en dehors du travail avec des collègues – 38 % ; préparation de boissons chaudes – 31 % ; pauses cigarettes – 28 % ; messagerie texte et messagerie instantanée – 27 % ; manger par petits bouts – 25 % ; faire de la nourriture au bureau – 24 % ; téléphoner à son partenaire/à ses amis – 24 % ; recherche d'un nouvel emploi – 19 %. Bref, un ensemble de facteurs aisément applicables à la situation de tiers en télétravail.
87 % des participants de l’enquête de Microsoft disent être plus productifs en télétravail. La publication du géant technologique fait suite à une étude d’une équipe de l’université du Texas qui souligne que le travail à distance a zéro impact négatif sur la productivité des travailleurs. Ce serait même plutôt le contraire. L'équipe de l'université du Texas a travaillé sur des données d’un logiciel fourni par une grande entreprise pétrolière et gazière de Houston. Pendant la période d'étude (de janvier 2017 à décembre 2018), l'entreprise a été contrainte de fermer ses bureaux en raison des inondations provoquées par l'ouragan Harvey, ce qui a obligé les employés à travailler à distance pendant une période prolongée.
Les chercheurs ont examiné les données technologiques des employés (le nombre total d'heures travaillées par employé, le temps de travail actif total, l'utilisation du clavier par minute active, l'utilisation de la souris par minute active, les mots tapés par heure et le nombre d'erreurs typographiques par mot tapé) avant, pendant et après l'ouragan Harvey. Ils ont constaté que, bien que l'utilisation totale des ordinateurs ait diminué pendant l'ouragan, les comportements professionnels des employés pendant la période de sept mois de travail à distance sont revenus aux niveaux d'avant l'ouragan. Cette conclusion suggère que le travail à distance n'a pas d'impact négatif sur la productivité des personnes lancées sur la formule télétravail.
Microsoft a annoncé au personnel qu'il n'y aura pas de retour au bureau à la manière d'Amazon si la productivité ne baisse pas
Microsoft n'imposera pas de nouvelle obligation de retour au bureau à moins que la direction ne conclue à une baisse de la productivité, selon des rapports qui font état de ce qu’un cadre de l’entreprise a déclaré un cadre de haut niveau aux travailleurs. Le tableau n’est toutefois pas étonnant étant donné que le géant technologique a pris position sur la question en soulignant par le passé que ce qui compte c’est le résultat fourni par les employés en télétravail. L’évocation du cas Amazon ravive néanmoins le débat sur la comparaison de la productivité des employés en télétravail et au bureau.
Selon des sources anonymes, le vice-président exécutif Scott Guthrie a récemment déclaré au personnel de son groupe Cloud et IA de Microsoft, qui comprend Azure, qu'un changement de politique n'est pas à l'ordre du jour pour le moment tant que les travailleurs restent productifs. Le géant des logiciels et de l'informatique en nuage permet actuellement à ses employés de travailler à distance, et de nombreux nouveaux embauchés se sont vus promettre la possibilité de travailler à domicile au moins la moitié de la semaine. Le tableau contraste avec la situation chez Amazon qui impose désormais le retour au bureau 5 jours par semaine.
Source : lettre (pièce jointe)
Et vous ?
Partagez-vous l'avis selon lequel le plus important est le résultat fourni par les employés en télétravail ?
Que pensez-vous de ces tendances ? Sont-elles cohérentes avec la réalité dont vous êtes au fait ?
Partagez-vous de l’argument des employeurs selon lequel les employés en télétravail sont moins productifs ?
Télétravail ou bureau : dans quelle situation êtes-vous le plus productif ? Pour quelles raisons ?
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Contribuez au club : Corrections, suggestions, critiques, ... : Contactez le service news et Rédigez des actualités
Le PDG d'Amazon, Andy Jassy, défend la politique de retour au bureau et réfute les allégations d'un "licenciement déguisé", après que certains employés ont demandé une remise en question du plan.
Le PDG d'Amazon, Andy Jassy, défend le plan de retour au bureau et nie qu'il s'agisse d'un "licenciement déguisé". Cette politique exige que les employés travaillent au bureau tous les jours à partir de janvier 2025, contre trois jours auparavant. Plus de 500 employés d'Amazon ont demandé à l'entreprise de reconsidérer l'approche du retour au bureau.
En septembre 2024, le PDG d'Amazon, Andy Jassy, a annoncé un nouveau plan de retour au bureau. Les employés d'Amazon devront être au bureau cinq jours par semaine à partir de l'année 2025. Le PDG Andy Jassy a expliqué que l'entreprise a pris cette décision pour favoriser une culture de la collaboration. Précédemment, Amazon exigeait que les employés soient présents au bureau au moins trois jours par semaine.
Andy Jassy a déclaré que les 15 derniers mois au cours desquels le personnel est retourné au bureau au moins trois jours par semaine ont renforcé la conviction de l'entreprise quant aux avantages de cette mesure. La décision controversée et certains y voient une tentative d'obliger les gens à démissionner. Depuis lors, certains employés d'Amazon ont demandé que l'on repense l'approche qui devrait être mise en place à partir de janvier de l'année 2025.
Le PDG d'Amazon a alors défendu le plan de retour au bureau de l'entreprise et nié les allégations selon lesquelles ce plan ferait partie d'un "licenciement déguisé".
"Un certain nombre de personnes que j'ai vues ont émis l'hypothèse que la raison pour laquelle nous faisions cela était qu'il s'agissait d'un licenciement déguisé ou que nous avions conclu une sorte d'accord avec une ou plusieurs villes", aurait déclaré Andy Jassy, lors d'une réunion. "Je peux vous dire que ces deux affirmations sont fausses. Vous savez, il ne s'agit pas pour nous d'une question de coût. Il s'agit avant tout de notre culture et de son renforcement", a-t-il ajouté.
Dans le message initial concernant le déménagement, Jassy a déclaré : " ...il est plus facile pour nos coéquipiers d'apprendre, de modéliser, de pratiquer et de renforcer notre culture ; la collaboration, le brainstorming et l'investissement sont plus simples et plus efficaces ; l'enseignement et l'apprentissage mutuel sont plus transparents ; et les équipes ont tendance à être mieux connectées les unes aux autres."
Il y a 17 mois, les employés d'Amazon sont retournés au bureau au moins trois jours par semaine, et le PDG a déclaré que cette période avait "renforcé notre conviction quant aux avantages". En octobre, plus de 500 employés de la division "cloud computing" auraient demandé à l'entreprise de revoir ses plans.
Fait intéressant, les grandes entreprises ne vont pas toutes dans le sens d'Amazon. Chez Google par exemple, pour rassurer son personnel, les dirigeants ont déclaré que le plan hybride actuel resterait en place. Les employés du géant de la technologie craignaient de perdre leur horaire de travail hybride après qu'Amazon a exigé que son personnel retourne au bureau cinq jours par semaine. Mais Google estime que son système actuel fonctionnait et qu'aucun changement n'était prévu.
Source : Andy Jassy, PDG d'Amazon
Et vous ?
Pensez-vous que ce plan de retour au bureau d'Amazon est crédible ou pertinent ?
Quel est votre avis sur le sujet ?
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Les entreprises font face à un défi avec les obligations de retour au bureau : leur exécution. Un décalage persiste entre attentes des employeurs en matière de présence au bureau et comportement des employés
Un cadre de Microsoft annonce au personnel qu'il n'y aura pas de retour au bureau à la manière d'Amazon si la productivité ne baisse pas. Chez Microsoft on considère que c'est le résultat qui importe
Publication de communiqués de presse en informatique. Contribuez au club : corrections, suggestions, critiques, ... Contactez le service news et Rédigez des actualités
Ah bah si le PDG le dit, c'est que ça doit être vrai. Désolé pour l'accusation )=
Si c'est pour renforcer les liens et l'image de l'entreprise pour les salariés, retirons leurs des droits et du confort !
affaire a suivre sur le long terme.
Le business devrait je l’espère reprendre dans 2-3ans et c'est a ce moment la ou on verra si Amazon maintiendra le 100% présentiel.
Pour l'heure l'économie va mal, peu vont démissionner car peu d'offre d'emplois et peu d'offres d'emplois qualitative. Mais dans l'économie la roue tourne, pendant le covid les salariés on eu le pouvoir, maintenant c'est les entreprises.
Je ne doute pas qu’Amazon revoit ces plans si dans le futur elle n'arrive pas a embaucher, le salaire (toute proportion gardé bien sur) ne fait pas tous.
C'est une bonne chose en fait, car çà va effectivement renforcer l'esprit de collaboration via le syndicalisme avec pourquoi pas, une petite grève (collaborative évidemment)
Les retards d’effectivité des retours au bureau initiés par Amazon sont une explication de l’irritation des travailleurs par cette exigence
Les employés en télétravail multiplient les démissions
En septembre, Amazon a annoncé une exigence de retour au bureau sur 5 jours, à partir du mois de janvier de l’année à venir, pour ses employés. D’ici à ce que la mesure soit effective, le lot d’employés en télétravail partiel doit faire la navette entre domicile et bureau pour trois jours, et ce, dans un cadre qui ne permet pas de tous les accueillir. C’est la raison de retards d’effectivité de retours au bureau. En parallèle, les employés en télétravail multiplient les démissions, la cacophonie aidant. En toile de fond, c’est le débat sur la comparaison de la productivité des employés en télétravail et ceux au bureau qui prend un coup de neuf.
Une nouvelle enquête menée auprès de plus de 1000 travailleurs d'Amazon révèle des problèmes majeurs liés à l'obligation de retour au bureau. Près de la moitié des personnes interrogées ont déjà postulé à de nouveaux emplois depuis l'annonce de retour au bureau en septembre. Plus de 2 personnes interrogées sur 3 déclarent qu'elles sont susceptibles de quitter l'entreprise dans les 12 prochains mois. Plus de 500 employés d'Amazon ont envoyé une lettre au PDG de l'unité AWS pour l'exhorter à revenir sur sa politique de retour au bureauAmazon can deliver a package to your house in 2 hours but can't figure out how many desks they need in 4 months? 🤔
— Financial Tech Recruiter (@jenwiderberg) December 19, 2024
Wild that the logistics king just postponed RTO because they...ran out of office space. pic.twitter.com/Pm4UM1868o
Les données à disposition n’établissent pourtant pas que les employés sont plus productifs au bureau qu’en télétravailBREAKING: New survey of 1,000+ Amazon corporate workers finds major problems with return-to-office mandate. Nearly half of respondents have ALREADY applied to NEW JOBS since RTO announcement in Sept. More than 2 in 3 respondents say they are likely to leave company in next 12mos.… pic.twitter.com/s5kvmqhIXT
— Strategic Organizing Center (@TheSOC) December 19, 2024
Dans bien de pays au monde, la journée de travail a une durée de 8 heures. Pour un employé de bureau, on arrive au lieu de service, s’installe sur un siège devant un ordinateur et se lance dans ses activités. Mais, lesquelles ? De quoi s’agit-il dans la réalité ? De « 8 heures de travail » ou « 8 heures au travail » ? En d’autres termes, pour combien de temps les travailleurs sont-ils productifs sur une journée de travail ? Dans une publication parue en 2017, Invitation Digital Ltd – une firme de marketing basée au Royaume-Uni – répond aux questions.
L’étude d’Invitation Digital Ltd a porté sur près de 2000 (1989 pour être exact) employés de bureau (à temps plein) âgés de plus de 18 ans et disséminés sur l’ensemble du territoire du Royaume-Uni. En réponse à la question de savoir s’ils se considèrent productifs tout au long d’une journée de travail, la grande majorité (soit 79 %) avait répondu non. D’après les résultats de l’étude, seul le cinquième (donc les 21 % restants) a répondu par l’affirmative. Le sondage avait ensuite révélé que la durée moyenne de productivité sur le lieu de service est de 2 h 53 min, soit moins de 3 h.
D’après l’enquête, si les travailleurs se retrouvaient avec moins de 3 h de productivité sur une journée de travail c’est parce qu’ils étaient la plupart du temps distraits par des activités comme : surfer sur les réseaux sociaux – 47 % (des répondants au sondage) ; lire les sites Web d'actualités – 45 % ; discuter des activités en dehors du travail avec des collègues – 38 % ; préparation de boissons chaudes – 31 % ; pauses cigarettes – 28 % ; messagerie texte et messagerie instantanée – 27 % ; manger par petits bouts – 25 % ; faire de la nourriture au bureau – 24 % ; téléphoner à son partenaire/à ses amis – 24 % ; recherche d'un nouvel emploi – 19 %. Bref, un ensemble de facteurs aisément applicables à la situation de tiers en télétravail.
87 % des participants de l’enquête de Microsoft disent être plus productifs en télétravail. La publication du géant technologique fait suite à une étude d’une équipe de l’université du Texas qui souligne que le travail à distance a zéro impact négatif sur la productivité des travailleurs. Ce serait même plutôt le contraire. L'équipe de l'université du Texas a travaillé sur des données d’un logiciel fourni par une grande entreprise pétrolière et gazière de Houston. Pendant la période d'étude (de janvier 2017 à décembre 2018), l'entreprise a été contrainte de fermer ses bureaux en raison des inondations provoquées par l'ouragan Harvey, ce qui a obligé les employés à travailler à distance pendant une période prolongée.
Les chercheurs ont examiné les données technologiques des employés (le nombre total d'heures travaillées par employé, le temps de travail actif total, l'utilisation du clavier par minute active, l'utilisation de la souris par minute active, les mots tapés par heure et le nombre d'erreurs typographiques par mot tapé) avant, pendant et après l'ouragan Harvey. Ils ont constaté que, bien que l'utilisation totale des ordinateurs ait diminué pendant l'ouragan, les comportements professionnels des employés pendant la période de sept mois de travail à distance sont revenus aux niveaux d'avant l'ouragan. Cette conclusion suggère que le travail à distance n'a pas d'impact négatif sur la productivité des personnes lancées sur la formule télétravail.
Les chefs d’entreprise évoquent la nécessité de bâtir une culture d’entreprise comme justificatif aux ordres de retour au bureau à temps pleinAmazon RTO … it’s like the media story that will never die now… and here it is carrying on because ya know… someone couldn’t count cubicles. 😬😬😬 https://t.co/mfIPCQ5zeY
— Amanda Goodall (@thejobchick) December 20, 2024
Les patrons d’entreprises telles que JPMorgan, Boots, Goldman Sachs et Amazon citent le renforcement de la culture d'entreprise comme l'une des principales raisons qui les poussent à faire passer ses exigences en matière de présence au bureau de trois jours à un temps plein. Le travail « en équipe » au bureau permet l’atteinte de cimes de productivité que l’approche télétravail ne permet pas, d’après ces derniers
« Travailler ensemble sur un problème à l'aide d'un tableau blanc procure un réel sentiment de satisfaction », souligne le PDG de Lyft après avoir indiqué que le télétravail a isolé ses employés. Ces prises de position s’accordent avec celle de Marissa Meyer PDG de Yahoo en 2013 : « certaines des meilleures décisions et idées viennent de discussions de couloir et de cafétéria, en rencontrant de nouvelles personnes et dans des réunions d'équipe improvisées » avant d’ajouter que « la rapidité et la qualité sont souvent sacrifiées lorsque nous travaillons à la maison » et qu'avoir un Yahoo! uni « commence par être physiquement ensemble ». En 2017, IBM a mis en avant des arguments allant dans le même sens pour mettre fin au télétravail. Comme quoi, le présentiel serait un plus dans la stimulation de la productivité des employés.
Et vous ?
Que pensez-vous de ces tendances ? Sont-elles cohérentes avec la réalité dont vous êtes au fait ?
Partagez-vous de l’argument des employeurs selon lequel les employés en télétravail sont moins productifs ?
Télétravail ou bureau : dans quelle situation êtes-vous le plus productif ? Pour quelles raisons ?
Voir aussi :
Twitter encourage fortement tous ses employés du monde entier à travailler à domicile pour réduire la probabilité de propagation du coronavirus
Coronavirus : après avoir recommandé le travail à domicile, Twitter demande à ses employés de travailler chez eux, une mesure adoptée par les grandes enseignes de la tech comme Google
Télétravail : cinq raisons pour lesquelles les entreprises lui disent non, Gagnerait-il à être plus largement adopté ?
Le coronavirus ralentit la production d'écrans LCD, et les prix des TV et moniteurs devraient monter en conséquence, cinq usines de fabrication à Wuhan étant actuellement touchées, selon un rapport
Une IA aurait fourni les premières alertes sur l'épidémie du coronavirus de Wuhan à l'aide du big data pour suivre et anticiper la propagation des maladies infectieuses les plus dangereuses au monde
Contribuez au club : Corrections, suggestions, critiques, ... : Contactez le service news et Rédigez des actualités
Ah, la fameuse culture d'entreprise Mais qui définit cette "culture" ? Pourquoi chaque entreprise a-t-elle la sienne (si elle en a une) ? Peut-on me donner un exemple de "culture d'entreprise" ? Les unités locals (en Inde, en Chine), suivent-elles toutes cette même culture ? Qui "vérifie" que cette "culture d'entreprise" est respectée par tous ? Y-a-t'il certains "collaborateurs" qui peuvent s'en affranchir ? Y'a-t-il des "indicateurs" qui peuvent dire que telle ou telle "culture d'entreprise" est meilleur qu'une autre ?
Le renforcement de la culture d'entreprise ? En quoi consiste se "renforcement" ? Que fait une entreprise et comment fait-elle pour "renforcer" sa "culture d'entreprise" ?
Oui, peut-être, mais on ne passe pas sa journée a discuter d'un problème sur un tableau blanc, ou a faire des "brainstorming" . A un moment, il faut bien mettre les mains dans le cambouis. Il y a assez de "collaborateurs" qui passent leur journées dans de réunions stériles dont seule une infime partie les concernent . Pour ce qui est de "l'isolement" il se fait déjà très bien dans les "open-spaces" où pour se concentrer, il faut s'isoler, d'une manière ou d'une autre, pour ne pas devenir gaga
Certes, des solutions peuvent surgir de discution autours de la machine à café. Et pourtant, si un petit groupe de personnes passent 2 ou 3h à la cafétariat, on dira d'eux qu'ils glandent
Des réunions d'équipes improvisées ? Je rencontre rarement des personnes que je ne connais pas près de la machine à café. Et encore plus rarement quelqu'un qui connait mon métier. Il faudrait peut-être mettre en place des réunions non-improvisées, réunissant uniquement des personnes comprenant un minimum de quoi on parle, et dont on ressort avec des solutions claires et connues de tous...
Ce "Yahoo! uni", c'est bien celui qui ne représente plus rien ? C'était quoi sa "culture d'entreprise" qui a si bien fonctionné ? La "stimulation" ne peut venir que du respect du travail bien fait (et d'un salaire/bonus adéquoit). Mais on sait tous qui reçoit ces salaires et bonus adéquoit. Et si la "productivité" d'un grand nombre n'est reconnue que pour un petit nombre, j'y vois un petit soucis pour la "stimulation".
Ce ne sont pas des tendances, c'est la même rengaine à chaque fois. Et il n'y a rien de "cohérent" dans quelque chose que l'on ne peut pas "définir".
Non, que du contraire.
Voir plus haut...
BàV et Peace & Love.
Il s'agit des "valeurs" et des règles qui régissent le fonctionnement d'une entreprise. C'est la direction qui va la définir. Chaque entreprise va avoir la sienne car chaque direction est différente.Mais qui définit cette "culture" ? Pourquoi chaque entreprise a-t-elle la sienne (si elle en a une) ?
Certains aspects vont être similaires car en général les personnes dirigeantes de grands groupes sortent des même écoles de commerce. Il va y avoir une grosse différence dans les petites structures car justement les directeurs n'ont pas fait ses même écoles.
Tout faire pour "imposer" cette culture d'entreprise. Au niveau recrutement, les entreprises vont essayer de faire matcher au maximum les candidats et dans les cas extrêmes faire partir ceux qui ne sont pas dans la culture d'entreprise.Le renforcement de la culture d'entreprise ? En quoi consiste se "renforcement" ?
En général ils sont mal vus, ne vont donc pas avoir de perspectives d'évolution et, soit se barrent, soit le vivent mal pouvant aller jusqu'à des situations de burnout ou de harcèlement moral dans les cas extrêmes.Y-a-t'il certains "collaborateurs" qui peuvent s'en affranchir ?
Ma page sur developpez.com : http://chrtophe.developpez.com/ (avec mes articles)
Mon article sur le P2V, mon article sur le cloud
Consultez nos FAQ : Windows, Linux, Virtualisation
la meilleur façon de renforcer la culture d'entreprise et
1) de maximiser son temps à communiquer à la machine a café
2) de bien sucer le plus haut placé dans le local.
Je conseilles a ces salariées au bureaux de mettre en secondaire les délais du livrable et leurs qualités et de faire à la place de la politique. Car c'est ce que amazon souhaite.
Et bien sur de respecter scrupuleusement son contrat de travail, d'arriver à l'heure et de partir à l'heure (pas d'heure sup) et surtout de bien respecter sa fiche de poste, tous ce que st hors du scope ne doit pas être fait.
ce qui fait la culture d'entreprise ? A mon tour
*le dirigeant d'entreprise doit avoir tout de même du leadership et être capable d'imprimer sa marque dans la gestion de l'entreprise
*pouvoir pratiquer la novlangue et à grands renforts d'éléments de langages comme ASAP, Pls Fix It etc
*Divide et Imperia entretenir la division sociale du travail bref la division entre la base salariale/ouvrière et le management
Je veux bien, mais quelles peuvent être ces valeurs ? Et quelles sont leurs "opposés". "Etre unis" ? "Travailler en équipe" ? "Diffuser son savoir ?" , etc.. qui va dire le contraire ? A part des évidences, quelqu'un peut-il me citer UNE "valeur" particulière d'une entreprise ?
Si pour les grands groupes ces valeurs sont inculquées au sortir d'une telle ou telle école, il ne peut donc pas y avoir de "particularité". C'est finalement du Blabla insipide. Pour une petite structure, on ne se gargarise pas avec ce genre de "BlaBla", on fait le taf.
Une "culture" ne s'impose pas, et c'est souvent le bal des faux culs. Les "lèches bottes" qui on les bons camarades montent, les autres, quelque soit leur "qualité" (pas leur valeur), restent en bas.
Quand on recrute, on lit souvent qu'on cherche des gens qui savent prendre des initiatives, d'être pro-actif. Et dès les premiers jours, celui dont la tête dépasse un peu du groupe, est squalpé scèchement. Même proposer une "évidence" pour améliorer le travail est vu comme une attaque directe par son supérieur. Game Over.
BàV et Peace & Love.
Je confirme: à une époque, c'est en discutant de nos salaires avec des collègues sur site que je me suis aperçu que j'étais mal payé, ce qui m'a encouragé à demander une hausse de salaire conséquente (refusée), puis à quitter l'entreprise pour une autre qui payait mieuxCes prises de position s’accordent avec celle de Marissa Meyer PDG de Yahoo en 2013 : « certaines des meilleures décisions et idées viennent de discussions de couloir et de cafétéria, en rencontrant de nouvelles personnes et dans des réunions d'équipe improvisées »
+1, expérience un peu similaire pour moi.
c'était ma 2ieme expérience pro, encore jeune et naif on sait rendu compte dans mon équipe qu'on étaient tous mal payé par rapport au prix du marché, on a jamais été augmenté, on a tous démissionner quasiment en meme temps (à 6 mois d'intervalle), le projet est tombé a l'eau par la suite, car avec toute l'équipe qui sait barré, le temps de reformer une équipe et maitrisé la techno la boite avait perdu son marché.
On a foutu en l'air le projet, mais j'en suis assez content, a nous prendre pour des cons, on les a pris eux aussi pour la meme chose.
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