Hey bin... chez moi c'est pas comme ca.. rien à voir...y a des touriste mais ca va les coins que je fréquentes restent desert et a part y avoir plus d'ambiance ca change rien..Envoyé par BiM
Hey bin... chez moi c'est pas comme ca.. rien à voir...y a des touriste mais ca va les coins que je fréquentes restent desert et a part y avoir plus d'ambiance ca change rien..Envoyé par BiM
les dames agées n'ont plus le physique de leur jeunesse mais de là à les traiter de médusesil y a des méduses dans la mer
Envoyé par Louis-Guillaume Morand
N'y aurait-il personne pour relever le gant - marqué du sceau de la blague - lancé par Louis-Guilaume??
Personne ne sent l'âme d'un joyeux drille de bon matin ( c'est midi et j'ai pas encore réussi à ouvrir les yeux au boulot )
Bin j'osais pas le faire.. car aprés mes exploits recent en mode Troll, je risque d'avoir la peau verte pour le restant de mes jours..lolEnvoyé par Gueritarish
sinon +1 pour les dames agées.. lol le problème c'est qu'on peut même pas les noyer.. car comme elles ont les os poreux, elles remonterai à la surface..
il existe une solution: maintenir la vieille dame dans l'eau, ça finit comme un aspro500 dans un verre d'eau
Ça devient :
- de très mauvais goût
- bien plus affligeant que drôle
Donc à votre place je cesserais cette dégringolade (nan je ne peux pas appeler ça une "escalade") dans la bêtise.
Commodore, je te trouve d'une délicatesse plein de prévenance envers ceux qui, comme moi, vienne de finir de manger et entame la phase cruciale dite 'de la digestion'... Raccourci un peu trop rapide à mon gout pour désigner une phase durant laquelle on passe son temps surtout à dormir sur son clavier ^^Envoyé par Commodore_Psykopate
Ah ca va je suis pas le seulEnvoyé par Gueritarish
mÔssieur Kikof, je vous annonce que déjà, on ne dis pas féniants (ce qui n'es pas français :p) mais fénéants...Envoyé par Kikof
Ensuite, sache que pendant cette période de sommeil, qu'est la "digestion", de toute façon, tu ne seras pas trop productif.. Alors que si tu te réveille frais et dispo d'une "mini" sieste --> BAAAMMMMM
Tu te mets à codé comme un dératé (quoique.. pourquoi un type qui n'a plus sa rate coderait plus vite qu'un type qui l'a encore...)
puis-je me permettre de corriger le correcteur: on écrit "fAInéants"
Permettez-moi cette proposition :
Ne voulait-il pas dire : feignant ???
ne pas confondre les ecritures, bien que synonyme, de
(extrait du TLF)
FEIGNANT, ANTE, FAIGNANT, ANTE, adj. et subst.
[Forme pop. de fainéant] Synon. de cossard (pop.), paresseux; anton. bûcheur (fam.), travailleur.
I. Subst. Faudra travailler. Et ce n'est pas un métier de faignant que j'assume (RIVIÈRE, Corresp. [avec Alain-Fournier], 1905, p. 70). Le vieux Péloueyre criait à Marie de Lados lorsque, épuisée, la jeune fille se laissait choir sur une chaise : « Lève-toi, feignante. » Il ne supportait pas de voir une servante assise. Même ses repas, en ce temps-là, Marie les prenait debout, sur le pouce, en servant ses maîtres (MAURIAC, Génitrix, 1923, p. 346). La voix était bonasse et molle, une voix de franc feignant, sans malice (GENEVOIX Raboliot, 1925, p. 195). Des feignants qui profitent d'être à la table des autres pour s'en mettre plein et tant, qu'ils sont lourds sur l'ouvrage (AYMÉ, Jument, 1933, p. 173).
Loc. pop. Se faire du lard de feignant. S'engraisser. Qu'est-ce qu'elle fourbançait dans sa tête, toute seule, pendant que Raboliot se nourrissait à la table de Touraille, se faisait du lard de feignant? (GENEVOIXRaboliot, 1925 p. 133).
Emploi en interj., région. (Midi). Feignant de bonsoir! Juron. Allez, le Nègre, tire un peu, feignant de bonsoir (GIONO, Regain, 1930, p. 175).
II. Adj. Chiffonet. Le porteur d'eau!... C'est toi qui m'as réveillé, imbécile? Machevoine. À midi! ... Faut-il que vous soyez feignant! (LABICHE, Misanthr. et Auv., 1852, I, 7, p. 147). Tu sais que je ne suis pas trop feignant, je n'ai pas du poil dans la main pour l'ouvrage (GONCOURT, G. Lacerteux, 1864, p. 225). Rose est faignante... De là une dissertation sur la façon de « corriger » les enfants (FRAPIÉ, Maternelle, 1904, p. 259). Il se décidait pourtant, entraînait Raboliot derrière lui : Au travail, feignants que nous sommes! Ils s'en allaient dans l'atelier, s'asseyaient sur des escabeaux. Le vieux, tout en besognant, n'oubliait point de faire aller son battant (GENEVOIXRaboliot, 1925 p. 128).
Rem. On relève ds la docum. les graphies a) Faigniant. Ce faigniant, comme tous les jolis garçons, un souteneur de pièces, quoi! est la coqueluche du boulevard du Temple (BALZAC, Cous. Bette, 1846, p. 402). « Le v'là, le gros sapas, le v'là, le propre à rien, le faigniant, ce gros soulot! C'est du propre, c'est du propre! » (MAUPASS., Contes et nouv., t. 1, Toine, 1885, p. 179). b) Fainiant. Il se perpétue et le peuple dit : Fainiant, moriginer, pipie, recipissé, resida, sibile, batiau, siau (GOURMONT, Esthét. lang. fr., 1899, p. 151). c) Feigniant. Tiens! t'as pas seulement fermé la porte d'la rue, tant t'es feigniant! (MONNIER, Scènes pop., 1833, p. 5).
REM. 1. Feignantasse, subst. fém., péj. Synon. C'était cette feignantasse qui ne voulait pas sortir des draps (MAURIAC, Th. Desqueyroux, 1927, p. 264). 2. Feignasse, subst., péj. Synon. Attendez minute, feignasses! (CÉLINE, Mort à crédit, 1936, p. 220). Pour des ramassis de feignasses qui finiront quand même au bagne! (CÉLINE, Mort à crédit, 1936 p. 603). Les ouvriers, au jour d'aujourd'hui, ne s'occupent que de tarabuster le monde. Des feignasses (ARNOUX, Double chance, 1958, p. 215).
Prononc. et Orth. : [], fém. [-], et [fe-]. Faignant ds DUB., Pt ROB. et Lar. Lang. fr. Étymol. et Hist. Cf. fainéant. Fréq. abs. littér. Feignant : 312. Faignant : 11. Fréq. rel. littér. Feignant : XIXe s. : a) 264, b) 476; XXe s. : a) 523, b) 527. Bbg. QUEM. DDL t. 3.Pour simplifier , vous êtes une belle bande de cossardsFAINÉANT, ANTE, subst. et adj.
I. Substantif
A. Personne qui ne veut rien faire. Un grand fainéant. Synon. cossard (pop.), feignant (pop.), flemmard (fam.), paresseux; anton. bûcheur (fam.), travailleur. Avant de donner un sou à un pauvre, il voulait savoir si ce n'était pas un fainéant et pourquoi il ne travaillait pas dans les fabriques (FLAUB., 1re Éduc. sent., 1845, p. 182). Ce n'était pas la peine (...) que l'île payât le presbytère à un fainéant! un grand paresseux bien nourri! (QUEFFÉLEC, Recteur, 1944, p. 137) :
1. Oui, père... Ça vient de sonner en bas.
Dépêche-toi donc, fainéante! Si tu avais moins dansé hier dimanche, tu nous aurais réveillés plus tôt... En voilà une vie de paresse!
ZOLA, Germinal, 1885, p. 1144.
B. Personne qui n'a rien (ou peu de choses) à faire. (Quasi-)synon. désœuvré, inactif, oisif; anton. actif. Mes aventures et mes travaux, à moi, laborieux fainéant que vous connaissez bien (HUGO, Rhin, 1842, p. 309). Je suis un fainéant, bohème, journaliste Qui dîne d'un bon mot étalé sur son pain (NERVAL, Corresp., 1830-55, p. 254) :
2. ... lui et sa servante sont aubergistes à leur corps défendant; ils ont horreur des voyageurs. Quand ils découvrent de loin une voiture, ils se vont cacher en maudissant ces vagabonds (...), ces fainéants qui dérangent un honnête cabaretier et l'empêchent de boire le vin qu'il est obligé de leur vendre.
CHATEAUBR., Mém., t. 6, 1848, p. 173.
II. Adj. Personne fainéante. (Quasi-)synon. paresseux. Les pays aurifères (...) n'enfantent que des populations fainéantes, et jamais les races fortes et laborieuses (VERNE, Enf. cap. Grant, t. 2, 1868, p. 156). Sans avoir à faire un seul geste ni à interrompre sa tournée débonnaire, fainéante et royale (PROUST, Guermantes 1, 1920, p. 224) :
3. Dans ma propriété de Balisac, les résiniers ne sont pas vaillants comme ici : quatre amasses de gemme, lorsque les paysans d'Argelouse en font sept ou huit.
Au prix où est la gemme, faut-il qu'ils soient fainéants!
MAURIAC, T. Desqueyroux, 1927, p. 272.
Loc. proverbiale, fam. Être fainéant(e) comme une couleuvre. Être très paresseux/se. Fainéante comme une couleuvre, elle était d'un mauvais rapport et d'une exigence qui croissait à mesure qu'elle travaillait moins (HUYSMANS, Sœurs Vatard, 1879, p. 309).
HIST. Les rois fainéants. Derniers rois mérovingiens qui ont abandonné l'exercice du pouvoir et leurs charges aux maires du palais (d'apr. LEP. 1948, DAVAU-COHEN 1972). Je ne veux pas que l'Europe m'accuse de faire de vous un roi fainéant pour régner à votre place (STENDHAL, Chartreuse, 1839, p. 401). Lesdits chariots étaient toujours les rustiques basternes des rois fainéants (P. ROUSSEAU, Hist. transp., 1961, p. 90).
Rem. La docum. atteste a) Qq. emplois adj. de ce mot appliqués à d'autres types de chefs d'état et créés p. anal. avec ce dernier emploi (hist.) : Il ne voulait pas jouer le rôle d'un dictateur fainéant (Fondateurs 3e Républ., Floquet, 1888, p. 150). Sous ce titre modeste qui respectait l'autorité théorique des khalifes-fainéants de la maison fâtimide (GROUSSET, Croisades, 1939, p. 203). b) Les dér., très péj. et pop., fainéasse, fainéasson, adj. et subst. À ne rien foutre chez Merrywin... j'étais devenu franchement fainéasse (CÉLINE, Mort à crédit, 1936, p. 363). Il voulait ainsi l'obliger ce lecteur, toujours fainéasson, à des entreprises... (ID., ibid., p. 434).
Prononc. et Orth. : [] ou [fe-], fém. [-] et, pour la forme pop., [] ou [fe-], fém. [-]. Pour l'orth. de la forme pop. on trouve feignant (LITTRÉ, ROB., Lar. Lang. fr.), faignant (Pt ROB., Lar. Lang. fr.), feigniant, faigniant. Ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1306 Loïs Faineant (G. GUIART, Royaux Lignages, I, 7770 ds T.-L.). Altération pop. d'apr. la forme verbale fait (faire*) et néant*, de feignant part. prés. adj. de feindre* au sens de « se dérober, rester inactif » (ca 1100 pronom. ds T.-L.). Fréq. abs. littér. : 314. Fréq. rel. littér. : XIXe s. : a) 348, b) 730; XXe s. : a) 544, b) 323. Bbg. ARICKX (I.). Les Orthoépistes sur la sellette. Trav. Ling. Gand. 1972, no 3, p. 129. CASSAGNAU (M.). Trois vulgarismes qui n'en sont peut-être pas. Vie Lang. 1970, pp. 647-648. SAIN. Lang. par. 1920, p. 93, 110, 352.
Bande de branleurs...
Comme ça tout le monde est content...
Selon le dictionnaire en ligne disponible sur le site de l'académie française :
(1)*FAIGNANT, -ANTE n. et adj. XIIe siècle. Participe présent de feindre au sens ancien de « rester inactif ».
Syn. pop. de Fainéant (on écrit aussi Feignant).(2)*FEIGNANT, -ANTE n. XIIe siècle.
Syn. pop. de Fainéant (on écrit aussi Faignant).(1)FAINÉANT, -ANTE n. et adj. XIVe siècle. Altération, d'après fait (forme conjuguée de faire) et néant, de faignant, feignant, participe présent du verbe feindre, pris au sens de « se dérober, rester inactif ».
1. N. Celui qui ne veut rien faire, qui refuse de travailler. C'est un fainéant. Un grand fainéant. Une aimable fainéante. On nous a traités de fainéants. 2. Adj. Un écolier, un ouvrier fainéant. HIST. Les Rois fainéants, les derniers rois Mérovingiens, qui, à la fin du VIIe siècle, abandonnèrent l'exercice du pouvoir aux maires du palais. (On dit aussi, pop., Faignant ou Feignant.)
Pour ma propre défense (et non la moindre donc...) je dirais que j'ai déjà attaquer ma phase de "digestion" déjà mentionné plus haut...
Donc, pour reprendre ce qu'à dis un très grand auteur bien connue et attention là je suis en citation directe :
JE VOUS EMM....... BRASSE
Bon, là il faudrait une citation latine, mais y'en à marre
nooon, désolée, je ne me sens pas concernée...Envoyé par ben_harper
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