Oui comme une drogue dure
Oui mais pas autant qu'une drogue
Non
Sans opinion
C'est pas aussi simple ? Pourquoi les drogues ont de tels effets ? parce que justement certaines drogues produisent les mêmes effets sur le cerveau que les hormones naturellement produites par le corp (avec des effets indésirables en plus). L'esprit et le corps sont totalement liés, les recherches récentes le prouvent de plus en plus de façon irréfutables. Une utilisation intense de jeux vidéos créé des connexions neurologiques spécifiques, et des hormones spécifiques sont produites suite aux émotions intenses subites, ce qui créé bien une dépendance.
Quand une personne se sucide parce qu'elle à perdu un être très cher, ou pour toute autre raison on ne lui à rien injecté... Et pourtant les conséquences sont tout aussi dramatiques...
Qu'une dépendance à quelque chose ou à quelqu'un ait été créé par une substance, ou par influence psychologique le résultat est bien la.
Quand tu regarde cette vidéo il y à pas le moindre doute.
Maintenant ça veux pas dire que tous les joueurs de jeux vidéos sont tous des grands malades heureusement. Comme tu peu consommer un verre de vin de temps en temps et ne pas être alcoolique. Pour les jeux vidéos c'est pareil, une autre étude à montré que de jouer raisonnablement à des jeux vidéos peu être bénéfique (éveil, réflexes, etc). C'est comme pour le vin, c'est l'abus de jeux vidéos qui peu poser problème (en particulier les jeux en ligne qui sont très addictifs). La on est en train de parler de joueurs qui jouent plus de huit heures par jours, voir plus de 15 heures par jours et qui se sont donc créé une dépendance psychologique sérieuse dans la mesure ou ils passent parfois plus de temps dans leur vie imaginaire dans le jeux vidéos que dans la vraie vie.
Comme c'est-il pas mignon tout ça ?
Sommes nous tous de futurs psychopathes avides en jeux vidéo ? "Moi jouer.. Moi Tarzan, moi vouloir clavier + souris"..
Ce qui me fait personnellement marré c'est le super brassage large de ce genre d'étude, et leur conclusion toujours très ciblée..
Les 0,01% de gens qui ont un pet dans le casque, souvent lié à un problème psychologique sans vrai suivi médical.
Simple exemple tragique de ce début d'année. http://fr.wikipedia.org/wiki/Fusillade_de_Winnenden. Bossant pour ma part Outre-Rhin, la polémique fut grande, les gens choqués. Et indirectement on a lié cela à l'utilisation massive de jeux vidéo, CS en grosse cible dans le collimateur..
( Les Allemands sont très rigides sur l'idée de violence, crime .. dans les jeux vidéo. http://files.fluctuat.net/images/cms...3924/40691.jpg, en preuve une jaquette.. enfin bref ceci est un autre débat.. )
Donc lié à cela, ils ont conclu, 2/3 grands penseurs allemands (qui d'habitude ce font ch*** à siroter 2-3 petites bières dans leurs cabinet de travail) que potentiellement tout joueur de jeu de FPS était potentiellement un Serial Killer..
"Oh my God, je suis un potentiel Cereal Killer, vite à moi les chocapic.. "
Enfin bref, le truc horripilant c'est l'extrapolation qui vire au stéréotype.
Donc si on suit leur raisonnement d'un grand brio à pas casser 3 pattes a un canard,
Joueur jeux video -> gros nerd dépendant.
EN tant que Docteur Von Nirvanaskein, brillant Médecin dans la prolifération des huitres du Zimbabwe en milieu fluviale sous l'influence de Mentholine, je vais me permettre de faire quelques comparaisons très subjectives mais toutes aussi véridiques que cette étude :
Infirmière -> petite nympho qui cherche a plumé un médecin.
Boucher -> Oh my God encore un Cereal Killer avide de viande fraiche.. Serait-il dépendant a cette masse froide ?
Enfin bref, je crois que je vais arrêter ici de troll.. pour conclure j'avancerais qu'il "ne faut pas mettre tout le monde dans le même sac", et un tant soit peu éviter de pousser les préjugés a leur paroxysme..
Tu oublie :
Fan de foot -> hooligan.
Mais le foot étant sacré, on ne ferra pas d'études de ce types à ce sujet.
Ou encore :
Politicien -> corrompu.
Jeune -> casseur.
Vieux -> facho.
Et j'en passe.
Quand à la vidéo plusieurs fois citée, je pense que c'est un fake. Les deux gars sont trop bien syncro au début. Comme par hasard.
Ça me rappel un évènement tragique au états unis (2 gamins qui avaient tiré dans le tas dans leur lycée) qu'on avait attribué au cinéma violent ou aux jeux vidéo violent genre GTA!
Les jeux vidéos comme toute activité peut influencer certaines personnes un peu faible d'esprit qui en abusent mais faut arrêter la, pas de généralisation excessive svp...
J'ai beaucoup joué et je joue encore et j'ai pas d'envie de meurtre, même si j'aime bien mettre un HS à CS .
Quoi qu'on dira, j'ai apprit l'anglais grâce aux jeux vidéo et aux séries américaines. Je reste également persuadé que la gestion d'une guilde haut level dans world of warcraft m'a beaucoup apporté.
De toute manière, cette étude est vraiment bidon pour le simple fait que de plus en plus de monde joue aux jeux vidéos tant on voit l'explosion de ce divertissement au cours de ces dernières années....
Il y a beaucoup plus de monde à jouer qu'à se droguer et le nombre de dépendant est beaucoup moindre dans le cas des JV. (et les conséquences/dépendances physiques également)
Maintenant, comme tout fait divers "rare", ça fait la une des journaux et tout de suite, on diabolise le tout en mettant tout le monde dans le même panier. Combien sont morts par rester devant leur TV en jouant. J'ai eu ma période également ou je jouais pas mal, mais cela ne m'empêchait pas de m'alimenter et de boire... La, on parle de cas extrême. On pourrait en dire pareil de la TV avec les otaku (fan de manga qui restent chez eux pour ne regarder que la TV) et qu'on retrouve parfois déséchés à leurs domiciles.
Quand au fait d'associer le pétage de cables de certains jeunes qui malheureusement débouche sur des fusillades, est ce que l'attitude des parents ou l'environnement dans lequel vie (autre que les jeux vidéos) ne seraient pas aussi à prendre en compte? Non, car cela voudrait dire remettre en cause la société, donc il est plus facile de s'attaquer finalement à un "loisir"
Faux. Bien que l'on ne les nommes pas vraiment "drogues", le café, le thé et l'alcool ont des effets de dépendances et sont donc aussi, à juste titre des drogues.
Le problème est dans ce que l'on appelle drogue et dans ce qu'on appelle une dépendance.
Pour le cas de la nicotine (qui est incontestablement appelée drogue), il a été prouvé que la dépendance physique disparait au bout d'une semaine si la personne arrète de fumer. C'est la dépendance morale qui est la plus dur.
Même si on en a plus besoin, on en a envie et c'est ça qui pose problème.
Dans le cas des jeux vidéo, ça devient grave quand la personne n'arrive plus à faire la différence entre monde fictif et monde réel.
Enfin, pour rebondir sur ce qu'a dit Pierre Louis Chevalier, il faut un petit peu de tout, mais trop de n'importe quoi est dangereux.
Un petit peu de jeu détend mais trop c'est trop
Idem avec l'alcool,
...
[TROLL]Lorsque je ne respire plus d'air, les symptômes apparaissent ... -> l'air est une drogue ! [/TROLL]
Sujet brassé, rebrassé, re re re... brassé donc au final, à quoi bon. Pour un peu différencier, je dirais que les contraintes de sociétés influencent également l'adiction au jeu vidéo (liens sociaux en voie de disparition par exemple ... bien que certains diront que la faute revient aux jeux et à la télé ).
Ceux qui disent que jouer aux jeux vidéos créent des liens sociaux, ils me font vraiment, mais vraiment rire !
La manière dont l'étude est raporté ici biaise le propos en faisant disparaitre les nuances.
Les jeux sur ordinateurs portent [en eux] le risque de réelle dépendance physique.Computer games carry the risk of real physical addiction
Le problème existe lorsque le joueur ne peut plus prendre de décisions rationnelles à propos du début, de la fin ou de la durée du jeu et ressent un besoin irresistible de jouer.A problem exists when the player can no longer make rational decisions about the start, end or duration of games and feels an irresistible urge to play.
Il n'est pas dit que le jeu est une drogue, que tous les joueurs ont des problèmes mais que chez certaines personnes, le risque est là.
D'autre part, je rigole un peu quand je vois que tant de personnes sur ce forum ralaient sur les hommes politiques qui prennent des décisions en IT sans connaitre le domaine et que je vois apparaitre de nombreux psychiatres, pychologues ou sociologues à même de juger le fond de cette étude
Nous sommes quand meme les sujets de l experience.
Une partie des intervenants a du etre hardcore gamer (moi oui en tout cas, doom like en plus, CS, UT, Q3) a une epoque, et je pense etre devenu quelqu un d equilibré, j ai fait des etudes, je travaille, je suis en couple, pas de probleme de violence, j ai des amis (des vrais en chair et en os), pas brouillé avec ma famille.
Dans les normes sociales quoi.
Que demander de plus ?
On en reviens toujours au meme probleme.
Si 2% de la population est psychopathe, pourquoi c est pas normal que 2% des gamers ne le soient pas ?
Ce genre d etude me gene car on dirait que les problemes d addiction sont récents et sont l apanage des toutes nouvelles technos.
Ce qui me rassure c est que le phénomene est cyclique et que chaque generation a sa dose d evolution technique, et sa dose de vieux cons réfractaires pour lui attribuer tous les malheurs du monde.
Moi je dis que les allemands sont jaloux des USiens et des Japs qui produisent des jeux qui ont énormément de succès auprès de leur jeune.
Moi je dis que le jeu vidéo crée des dépendances.
Comme tout plaisir facile d'accès : l'alcool, la cigarette, le sexe (enfin pas facile d'accès à tous), la bonne bouffe, la télé, les jeux en général (jeux de cartes (poker, black jack), jeux de hasard, jeux de sociétés (exemple jdr)...)
Même se ronger les ongles peut devenir une dépendance
Le jeu vidéo, comme le reste, n'est pas nocif à petite dose (nota les drogues douces ne sont pas nocives à petites doses non plus). Le danger c'est l'abus.
L'abus est dangeureux pour la santé !
Le jour où on interdira le jeu vidéo je demanderai l'interdiction de l'alcool qui fait énormément plus de victimes !
Bon j'aurai perdu deux petits plaisirs dans cette vie éphémère c'est con
Euh ... je ne connais pas beaucoup de médecins qui appuieraient ça (les drogues douces) mais la question n'est pas là.
Pour la question d'être sociologue, psychiatre ou autre pour juger de ces problèmes, je pense que là n'est pas la question, surtout au vu du nombre d'études parues sur le sujet.
A titre d'exemple, certaines thérapies basées sur les jeux vidéos, le bien être procuré par les jeux vidéo à doses raisonnables etc ...
De plus, concernant l'addiction, il ne faut pas confondre jouer beaucoup et être addict. Un addict jouera sûrement beaucoup, mais un gros joueur ne sera pas forcément addict ...
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