Bonjour,
Nous sommes sous BO XI (établissement à but non lucratif). Les chiffres ci-dessous sont des exemples.
SAP nous demande de régulariser plusieurs k€ de licences. A l'origine notre établissement a acheté 55 utilisateurs nommés BO XI, nous en utilisons aujourd'hui 51. Parmi ces 55, nous avons acheté 12 webi. En septembre SAP m'a demandé de leur envoyer le contenu de certaines tables d'audit, ce que nous avons fait volontiers car, en conscience, nous pensions être nickel sur nos licences. Aujourd'hui ils nous réclament bcp d'argent car ils nous disent que nous utilisons 21 webi (prix public + maintenance sur 2 ans) ! Or voici le constat :
- si on créé un 56ème utilisateur la CMC nous informe que l'on atteint notre nombre max -> OK
- où pouvons-nous vérifier le nombre d'utilisateurs webi ? -> très difficile, voir impossible
- à priori la CMC ne contrôle pas le nb d'utilisateurs webi et ne nous a donc pas informé que nous avions dépassé le seuil -> aucune info, aucune alerte
- a priori SAP se base sur une option que l'on coche ou pas dans la CMS sur les droits d'un utilisateur ! Si vous mettez les droits sur un groupe (par mégarde), cela donne le droit à tous les utilisateurs du groupe !
- en réalité nous n'avons que 5 utilisateurs formés et capables de faire des requêtes Webi, les autres ne savent pas le faire. Alors oui nous avons acheté 12 webi (c'est du luxe vu que seulement 5 savent), mais là SAP veut que nous payons pour 21 car d'après leur audit 21 utilisateurs ont l'option cochée de créer des rapports !
Votre analyse et vos avis :
Comment un éditeur peut-il demander à un client de payer des licences sur des fonctionnalités non bloquées où le client ne peut même pas savoir où il en est de ses licences ?
Est-ce légal ? Cela ressemble fort pour nous à de la vente forcée non ?
Merci de vos avis avisés car ils nous mettent vraiment la pression, bien sûr je leur ai proposé de mettre tout à plat, mais ils veulent que je paie, étrange en fin d'année non ? Les chiffres, toujours les chiffres...
Ce qui est très dur pour nous c'est que nous n'avons pas fait cela intentionnellement, on a l'impression d'être racketté.
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