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je viens de relire ton messageEnvoyé par phili_b
ce qui te gène c'est qu'il n'y ait pas plus de précisions à part la version adverse
or c'est bien ce que j'ai essayé de faire
filer les conclusions et demandes à tout le monde et ensuite n'importe qui se fait une idée dessus
Tout à fait
Oui mais tu noies ça dans des anecdotes difficiles à suivre. En fait tout le monde a ce genre d'anecdotes dont il a absolument envie de parler. Moi le premier. "L'utilisateur m'a dit que bla bla et en fait derrière mon dos a dit à mon chef de projet bla bla et puis moi je lui ai redis". ça m'arrive ces temps-ci d'ailleurs mais de façon soft. Le seul souci c'est qu'au bout de 2 échanges je te noies et j'ai perdu l'objectif principal de résumer la faute de quelqu'un. C'est toutje viens de relire ton message
or c'est bien ce que j'ai essayé de faire
filer les conclusions et demandes à tout le monde et ensuite n'importe qui se fait une idée dessusEn fait j'ai bien compris que tu avais filé tes conclusions mais c'est seulement un plat de nouilles si je veux me faire une opinion objective. C'est tout
Mais bon le principal c'est ça
Et là c'est clair
Et ça me montre que j'aurais peut-être du dans certains cas aller aux prudhommes et que la clause de mobilité est plus facilement défendable que je pensais...mais bonjour la durée. Mais bon dans l'immédiat ça ne me concerne pas car je ne suis pas en ssii cette fois-ci.
je ne vois toujours pas de quelles anecdotes tu veux parler ?
Simplement tu que délayes trop. Mais bon laisses tomber
ah tu voulais dire ça "décanter, transvaser, éclaircir" ?
vu que tu n'as pas répondu tu n'as toujours pas pigé visiblementTout à fait
Oui mais tu noies ça dans des anecdotes difficiles à suivre. En fait tout le monde a ce genre d'anecdotes dont il a absolument envie de parler. Moi le premier. "L'utilisateur m'a dit que bla bla et en fait derrière mon dos a dit à mon chef de projet bla bla et puis moi je lui ai redis". ça m'arrive ces temps-ci d'ailleurs mais de façon soft. Le seul souci c'est qu'au bout de 2 échanges je te noies et j'ai perdu l'objectif principal de résumer la faute de quelqu'un. C'est tout
[...]
après avoir posté les conclusions et demandes des farfelus, je n'ai pas donné de détails sur le durant du contrat de travail ni un contre argument sur leur torchon
je parle donc simplement de ce que j'ai du faire durant la procédure et non de mon travail chez les loustics
je remonte le fil
visiblement pas d'autres retours sur open ?
dans 1 ou 2 mois vient le document de référence qu'open doit déposer à l'AMF.
ça promet une belle partie de rigolade
Salut,
Je tombe par hasard sur ce fil et je suis plutôt étonné. Attention, ce qui suit n'est que l'expression de mon expérience personnelle, je ne propose aucune analyse ni aucune forme de généralisation.
J'ai travaillé 2 ans pour teamlog rennes, puis encore 2 ans pour teamlog madrid, et j'étais plutôt content. A rennes, j'étais délégué du personnel. A l'époque j'étais militant LCR (ligue communiste révolutionnaire) très actif et tout le monde le savait au bureau. Pourtant tout se passait bien. Les quelques contentieux, entre Teamlog et des employés, sur lesquel je suis intervenu, se sont toujours résolu par consensus. La direction de la BU Ouest était très raisonnable. Peut-être que cela a changé depuis? (c'était en 2006/2007).
En tant que développeur, à Rennes, ils m'ont mis sur des projets passionnants (FT, canon, ...), il y avait une relation de confiance entre eux et moi; les retours des clients étaient toujours très positifs, et mes supérieurs ne me faisaient pas chier lorsque je prenais des vacances au dernier moment ou que je faisais pas mes heures pendant les inter-contrats.
A Madrid ce fut très différent, car après un an et demie, ils n'avaient aucune mission intéressante à me proposer et je suis resté en inter-contrat pendant 2 ou 3 mois. Moi ça ne me dérangeais pas car j'en ai profité pour avancer des projets persos. De temps en temps ils m'envoyaient à des entretiens concernant des technos dont j'ignorais même le nom, mais ça me faisait plutôt marrer et ça me permettait de discuter avec les recruteurs, ce qui est toujours une bonne expérience. Ils ont tout de même fini par me licencier, mais c'est ce que voulais (j'avais déjà des plans pour la suite), j'ai même fais en sorte d'accélérer leur décision (eux ne voulaient pas au début, ils ne me l'ont jamais dit mais je pense qu'ils espéraient que je démissionne). Bon, à Madrid j'étais représentant syndical (suppléant), peut-être que ça leur faisait peur? Je ne sais pas.
Enfin bref, j'ai travaillé pour Teamlog de 2005 à 2009 grosso modo, et ce fut plutôt une bonne expérience pour moi. Depuis, j'évite les SSII comme la peste, mais j'avais l'impression que dans la jungle des SSII, Teamlog était plutôt une des "moins pire".
allez je me fais un petit plaisir
une partie de la plaidoirie :
"
Concernant cette accusation de faux et usage de faux, je n'ai jamais porté la moindre accusation y compris celle-ci.
Par contre il est vrai que j'ai mentionné le fait que mes fiches de payes sont erronées. En particulier pour mes congés qui sont présentés sur le mois de juillet 2009 alors qu'ils ont été pris en juin 2009.
- Cette mention de congés en juillet 2009 n'est pas possible car mon entretien préalable avant licenciement a été effectué le 17 juillet 2009 alors que selon la fiche de paye j'aurais été en congé du 5 juillet 2009 au 30 juillet 2009.
- Tout les congés et jours fériés reportés sur ces fiches de paye sont décalés d'un mois (ex: jours fériés les 13 mai 2009, 1 juin 2009, 8 juin 2009, 21 juin 2009, 1 juillet 2009, 14 août 2009).
La société Ouverte a d'ailleurs l'habitude de faire des erreurs :
- selon ma lettre de licenciement j'ai été embauché en septembre 1998 au lieu de
septembre 2008.
La société Ouverte nous ayant démontré qu'elle avait l'habitude de faire dire aux gens ce qu'ils n'ont pas dit :
- elle a donc sûrement transformé dans son esprit cette information en accusation de falsification de fiche de paye et donc de faux et usage de faux vu que la société Ouverte sait très bien qu'elle s'est servie de ces fiches de paye pour "essayer de démontrer" devant les juges des prud'hommes lors du jugement du 12 mai 2011 que j'étais en congés non pas en juin 2009 mais en juillet 2009.
Si la société Ouverte décide de s'accuser elle-même de falsification de fiche de paye et de faux et usage de faux c'est son problème, il n'y a pas besoin de me mettre en cause injustement encore une fois...
Ce n'est pas moi qui ai décidé de verser au dossier ces fausses fiches de payes et d'en faire usage -> C'est la société Ouverte.
"
avec le point CNIL :
Point CNIL :
Ne m'y connaissant pas en termes juridiques j'ai donc repris dans mon mail du 28 novembre 2011 le terme "plainte" précisé dans la sommation interpellative de la société Ouverte.
Or, la société Ouverte transforme encore une fois la réalité, car je n'ai jamais initié une plainte à la CNIL comme elle veut bien le faire croire aux juges des prud'hommes :
- J'ai demandé l'intervention de la CNIL. De plus le libellé de cette intervention décidée par la CNIL ne s'appelle pas plainte mais saisine.
Si la société Ouverte désire obtenir le document complet de cette demande d'intervention ainsi que toutes les pièces versées à celle-ci (9 pièces), la société Ouverte n'a qu'à me le demander, je lui fournirais tous ces documents.
Je rappelle qu'il m'a fallu attendre 10 mois pour obtenir le mail qu'avait envoyé la société MoneyCamelotte pour le point de mission. Ces demandes répétées n'avaient donné lieu à aucune réponse de la part de la société Ouverte. Après une mise en demeure imprimée à partir du site la CNIL et envoyée en décembre 2009 pour exercer mes droits et enfin obtenir cet email, la société Ouverte avait encore décidé de ne pas répondre à mon injonction malgré le délais de deux mois fixé par la loi. J'aurais très bien pu demander l'intervention de la CNIL mais j'ai décidé de relancer la société Ouverte qui m'a alors envoyé tous les documents que j'avais déjà reçus lors de mon licenciement mais sans le mail du point de mission de MoneyCamelotte. J'ai alors pris sur moi d'appeler Maître L* (la personne qui m'avait envoyé ces documents) pour lui dire qu'il avait oublié ce document lors de son envoi.
J'ai alors reçu ce fameux email le 24 mars 2010 alors que ma première demande a été effectuée le 26 mai 2009. Il y a eu en tout 7 demandes concernant cet email. Donc :
- Je trouve que la société Ouverte a un sacré culot de venir déclarer à mon domicile et par huissier de justice qu'elle a toujours déféré à mes demandes
- Concernant ces 7 demandes, je constate que la société Ouverte a omis de les mentionner et de crier au scandale en m'accusant de l'avoir harcelée ou menacée à l'époque.
- La société Ouverte ne sait absolument rien des conditions dans lesquelles j'ai demandé l'intervention de la CNIL. De plus si la CNIL a décidé d'intervenir, c'est qu'il y avait matière à intervention. Et pour la gouverne de la société Ouverte, ma demande avait un seul objectif :
- Celui de pouvoir poser des questions à la société Ouverte par l'intermédiaire de la CNIL et d'avoir des réponses actées.
- Car si j'ai eu besoin de demander ces informations à la société Ouverte c'est tout simplement suite aux inventions de la société Ouverte présentes dans ses premières conclusions et demandes.
- Ces questions portaient principalement sur l'obtention des données de l'intranet de la société Ouverte et me concernant -> mes CRA (Comptes Rendus d'Activité) donc les temps d'activités remplis par mes soins qui pourraient prouver entre autres l'invention d'une période d'intercontrat par la société Ouverte et les dates de pose de mes congés sur ce même intranet
- Dans un dossier prud'hommes, les questions sont normalement posées par le plaignant ou par l'avocat du plaignant or j'ai prouvé à la CNIL que la société Ouverte avait l'habitude de modifier les données de l'intranet saisies par les salariés (sources comptes rendus de réunion DP/CE/DS Ouverte 2009-2010). J'avais déjà mis mon avocate au courant et c'est pour cela qu'elle m'avait dit qu'elle avait peur que la société Ouverte modifie ces données avant de nous les envoyer. Elle m'a donc dit qu'elle ne les demanderait pas. Or j'avais quand même besoin de ces informations, c'est donc pour cela que je suis passé par la CNIL.
- Les réponses du directeur des affaires sociales de la société Ouverte et concernant ces données intranet m'ont été fournies le 23 août 2011 et sont très importantes pour le dossier prud'hommes car elles démontrent que pour les points sur lesquels j'ai posé des questions la société Ouverte n'a aucune preuve de ce qu'elle avance aux prud'hommes. En effet la société Ouverte déclare à la CNIL que les informations demandées ne sont pas / plus en possession de l'entreprise (cf cass soc 01-40349).
La société Open (http://www.open-groupe.com/) annonce "vouloir" recruter 600 personnes pour 2013 :
http://yahoo.careerbuilder.fr/Articl...qui-recrutent/
http://www.boursier.com/actions/actu...ir-526697.html
et :
http://travail-emploi.gouv.fr/inform...pour,1099.html
Fait intéressant, la société Open avait annoncé un PSE pour les seniors à partir de 2010 (seniors c'est à partir de 35ans en ssii) après s'être débarrassé de 1200 salariés sur 4200 entre 2008 et 2011 soit un tiers des effectifs, or un PSE est obligatoire lors de licenciement économique de plus de 10 salariés.
Dans le texte :
"Lorsqu'au moins 10 salariés ont refusé la modification d’un élément essentiel de leur contrat de travail proposée par leur employeur pour un motif économique et que leur licenciement est envisagé, celui-ci est soumis aux dispositions applicables en cas de licenciement collectif pour motif économique (obligation pour l’employeur d’élaborer un plan de sauvegarde de l’emploi)."
De ce fait, la société Open étant en pleine vague de licenciements économiques on se demandera bien où la société Open peut bien trouver 600 postes à pourvoir ?
Et de plus, en étant en procédure de licenciements économiques la société ne peut donc se prévaloir d'une hypothétique pénurie d'informaticiens ...
Effectifs :
2008 -> 4 200 salariés
2009 -> 3 150 salariés
2010 -> 2 800 salariés
2011 -> 2 750 salariés
2012 -> 2 900 salariés alors que la société annonce avoir recruté 550 salariés en 2012
que sont devenus les 400 salariés en moins recrutés en 2011 alors qu'elle voulait en embaucher 750 ?
c'est beau de raconter des contes de fées
- en un point : tout est faux
- 2ème point : au moins ils s'y connaissent en musique, ils jouent du pipeau
Les 400 employés en moins font surement parti du turnover. Si ils ont effectivement employé 550 personnes, cela fait presque 14% de turnover...
pas de quoi fouetter un chat :
14% de turnover et 65000 chômeurs numériques (donc 10% de chômeurs mais existent-ils vraiment vu qu'ils sont numériques ?), un salaire mirobolant de 32k€ par an pour un bac+5 à Paris (dixit la société Linagora du reportage envoyé spécial), dingue encore une parenthèse ! : (bah merde je suis à 36 à Lyon et juste le bac, j'ai du avoir de la chance) et tout ça dans le secteur de l'Ethique aux Services du Numérique -> c'est du plein emploi
CQFD
Perso ça fait longtemps que je ne comprend plus le syntec "numérique", d'ailleurs ils ont bien fait de changer de nom, la france entière le confondait avec Synthol (dixit ma mère -> le syntec c'est ceux qui font les médicaments ?)
Donc on procède à des licenciements économiques dans le secteur des Entreprises au Service du Numérique mais en même temps il y a une pénurie d'informaticiens dans les Entreprises au Service du Numérique, c'est donc pour cela que l'on délocalise en Inde, Chine ou dans les pays de l'Est (CQFD encore)
A côté de ça de plus en plus de talents (en italique, ce ne sont pas vraiment des talents vu qu'ils ne trouvent pas de travail en france), donc de plus en plus de talents français préfèrent partir à l'étranger vu les salaires mirobolants proposés en France, ils préfèrent gagner moins à l'étranger (Linagora ne recrute pas assez visiblement) et conditions de travail indous de nos entreprises championnes du numérique à la française
CQFD de plus
En même temps c'est normal, tout ça est du aux charges et taxes sur nos belles entreprises du numérique
Mais visiblement les salaires des patrons et commerciaux du numérique sont moins taxés que les nôtres vu qu'ils gagnent plus et ne s'en vont pas à l'étranger ... eux ils restent en france au moins !
En voilà une de belle de perspective d'avenir numérique
CQFD multi
Nous sommes donc en face d'un véritable imbroglio fiscal ! (ou numériquement parlant Syntholien)
CQFD itou (j'ai rien trouvé de mieux)
Ça fait beaucoup de CQFD quand même, or tout est logique, vous avez entièrement raison mais c'est complètement faux, dixit mon maître à penser guy mamou mani
PS :
Ça me rappelle un post de JBX2004, où était cité d'après ma mémoire (défaillante ? je me fais vieux j'ai déjà 34ans donc pratiquement senior, grabataire si ça se trouve) à peu près un truc du style (en résumé) : "vu toutes ces conneries (numériques) je me casse, continuez comme ça et dans quelques années il ne vous restera plus que des brêles (numériques) en france"
Comme quoi gilles babinet et son invention inégalée championne du numérique de téléchargement de sonnerie pour téléphones portables ne seront qu'un lointain souvenir dans notre beau pays
Heureusement que LUI Gilles notre CHAMPION du numérique Français n'a pas décidé de partir travailler à l'étranger et qu'il reste chez nous !
Vive le Numérique Français !
Ça va mieux maintenant, et comme le dirait notre GMM numérique national :
"Signé : un des 1200 frustrés (et des poussières) de la société Groupe Open, Teamlog, ou Sylis comme vous voulez, à choisir ..."
Bon c'est bien joli tout ça mais... et depuis l'année dernière ?
Pour ma part je suis chez OPEN depuis bientôt 5 ans.
Mon salaire n'a jamais évolué depuis mon embauche, et c'est le cas de nombreux autres collègues ! Se faire augmenter chez eux relève de l'exception.
Le turn-over dans cette société est élevé et ce n'est pas étonnant.
Ma pierre a l'edifice
Je travaille pour open depuis presque 3 ans.
J'y ai effectué 2 missions :
la première a duré 2 ans
la seconde 4 mois.
entre les deux : 3 mois de congés sans solde et un mois d'inter contrat.
Au cours de mon passage chez Open j'ai effectué quelques demandes de formation et deux demandes d'augmentation.
La stratégie d'open a été simple: ne jamais me répondre, ainsi ils pouvaient prétendre ne m'avoir jamais rien refusé...
Lassé, j'ai décidé de démissionner.
Résultat le client me demande d'effectuer un transfert de compétence d'un mois avant de quitter mon poste.
Quelques jours avant la fin de ce mois de transfert, Open se déchaine.
Ils m'informent que la mission est perdue à cause de mon manque d'implication, motivation, etc.
Après quelques jours d'intimidation (menace de procès), je me résoud à poser tous mes congés sur les deux mois d’inter contrat que je pensais effectuer tranquillement à la maison.
Open se calme, mais une fois mes 22 jours de congés terminés, ils repartent à l'attaque afin de me contraindre à écourter mon préavis (il reste moins de 20 jours). Pour le moment je refuse.
Ceci n'est que mon aventure personnelle, mais elle donne une idée de la bassesse des méthodes d'Open dans l'unique but de nous faire quitter la boite sans recevoir la moindre indemnité ou tout simplement notre dû !
Je ne recommande pas cette entreprise.
Je doute qu'elle fasse faillite car elle encaisse de bons revenus et est experte pour ne pas payer ses employés dès qu'ils ne sont plus corvéables.
Bonjour,
Mon feedback:
Groupe qui présente bien, belles paroles, etc...
Ils vous font venir, passer un entretien avec une Rh + le directeur d'agence, vous annonce que vous aurait de leur nouvelles très vite car ils ont pleins d'opportunités... Pour ne JAMAIS vous recontacter! (même après relance par mail de ma part, c'est dire mon degré de masochisme!)
Et je vous fait grâce de leur discours comme qui le fondateur de la boite est aussi président du Medef ou je ne sais quoi et que par conséquent il se doivent d'être irréprochable... LOL!
vue de l'intérieur
Bonjour,
Pour confirmer les quelques dires des posts précédents, le groupe Open est exactement pareil que d'autres SSII. Et plutôt dans le giron des pires d'ailleurs.
Ils ne sont pas assez petits pour être agile et proche de leurs salariés.
Ils ne sont pas assez gros pour avoir une bonne variété de clients et des méthodologies/moyens efficaces.
Bref ils ont le cul entre deux chaises et quant on les écarte, ça tombe les pattes en l'air.
Leurs outils sont désuets. Rien que la plate-forme de mail interne fonctionne très mal. Les calendriers partagés n'existent pas. La plupart des outils internes sont de l'open source (wiki, GED, outil de dev) et ça frôle l'illégalité vu le contexte d'utilisation.
Leur blabla sur la méthode Agile ne repose sur pas grand-chose. Dans l'agence où j'étais, personne ne maîtrisait cette méthode de gestion d'équipe.
Les commerciales sont jeunes et jolies mais avec peu de relations et pas assez d'expérience.
Après 15 ans de SSII, je conseille fortement aux nouveaux venus sur le marché de l'emploi de se diriger vers des très grosses sociétés ou des très petites.
Mais sûrement pas Open...
Cela dit, j'y ai trouvé de bons collègues très amicaux.
A bon entendeur.
merci pour ton témoignage (et à tous les autres également j'ai appris certaines choses ) on est au moins 2 à ne pas comprendre à quoi sert ce syndicat..
j'aurais bien écris certaines choses pas très politiqument correct et puis ça risque d'être hors-sujet
disons que j'ai l'impression que ce "syndicat" est plus familier et plus relationnel avec les équipes dirigeantes bref les directions qu'avec la base....un peu comme un certain syndicat agricole
malheureusement ce que tu décris semble être le lot d'une majorité d'entreprises du numérique
donc quitter la société mentionnée pour une autre je crains que ça ne soit de reporter le problème...
ehh non pas tout à fait ;c'est pas du Medef mais du syndicat mentionné précedemmentEt je vous fait grâce de leur discours comme qui le fondateur de la boite est aussi président du Medef ou je ne sais quoi et que par conséquent il se doivent d'être irréprochable... LOL!
ceci dit le Syntec fait partie du Medef.
ceci dit étant président de ce syndicat et patron d'une grande entreprise ça permet de mieux "verrouiller" les salariés donc la base et comme ça ils n'ont pas de revendications...
Syntec, priez pour nous!
Etant ancien IRP, on avait une petite blague entre nous : Syntec, priez pour nous.
Tiens, ils m'ont fait le même coup il y a 3 semaines. Mais c'est quand même positif car ça me fait un justificatif de plus pour pôle emploi.
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